Un Amour De Swann Les Personnages

passionnément sur ceux de ma grand-mère, ne voulant pas voir le reSl:e de son visage, et elle dit, commençant la liSl:e de ces faux serments que nous ne pouvons pas temr : « Maman, tu seras bientôt guérie, c'eSl: ta fille qui s'y engage. » Et enfermant son amour le plus fort, toute sa volonté que sa mère guérî�, dans un baiser à qui elle les confia et qu'elle accompagna de sa pensée, de tout son être jusqu'au bord de ses lèvres, elle alla le déposer humble­ ment, pieusement sur le front adoré. Ma grand-mère

automate, qui n’a que l’esthétique pour ressort. SWANN donne l’image de lui-même dans son aventure amoureuse avec Odette de CRECY. SWANN ne devient véritablement amoureux d' Odette que par la grâce d'une ressemblance avec le visage de Zéphora, la fille de Jéthro, tel que l’a représenté BOTTICELLI dans la chapelle Sixtine : le visage d’ Odette est désormais transfiguré par l’art, comme si la vie s‘était calquée sur l’art et que, ce faisant, elle autorisait SWANN à désirer Odette. - STENDHAL : la beauté

l’histoire…………………………………………………………. 41 3. L’identité bafouée…………………………………………………………… 42 4. Le rôle du paysage………………………………………………………….. 46 5. La démesure du paysage……………………………………………………. 48 6. Le paysage de la Lézarde…………………………………………………… 49 7. La fusion Paysage-Personnage ……………………………………………... 51 8. La vocifération du paysage………………………………………………….. 54 9. Le symbolisme du paysage………………………………………………….. 58 10. L’opacité du paysage antillais ……………………………………………...66 11. La vocation génésique de la terre…………………………………………

Conclusion…………………..…………………………………………………109 6 Troisième partie : Analyse interne………………………………………….111 Introduction…………………………………………………………………..112 Chapitre I : Regard porté sur la société haïtienne à travers les personnages dans le roman……………………………………………………………………….113 III.1.1. Les personnages cités dans le roman………………………………….113 III.1.1.1. Marie………………………………………………………………...113 III.1.1.2. Tante Renée…………………………………………………………116 III.1.1.3. La grand- mère………………………………………………………118 III.1.1.4. Les amis……………………………………………………………

Cette métaphore est d’origine photographique, en effet à l’époque de Marx dans les années 40-50 on est encore sous la forme du vielle appareil photo, avec le voile. Le photographe s’enferme sous le voile et au moment il regarde la caméra il voit le personnage à l’envers, et Marx veut dire que les hommes pensent l’idéologie à l’envers, c’est comme dans la chambre obscure ceux qui pensent ça voient le monde à l’envers : « il semble à certains, que les hommes et leurs rapports leur apparaissent placés la

Ducrest, l’inventeur du Palais-Royal. Ces personnages ne reparaissaient que trop souvent dans les anecdotes de M. de Rênal. Mais peu à peu ce souvenir de choses aussi délicates à raconter était devenu un travail pour lui, et, depuis quelque temps, il ne répétait que dans les grandes occasions ses anecdotes relatives à la maison d’Orléans. Comme il était d’ailleurs fort poli, excepté lorsqu’on parlait d’argent, il passait, avec raison, pour le personnage le plus aristocratique de Verrières. 15

plongeai dans un monde confus, peuplé d'hallucinations simples et de frustes idoles. A la mort de mon père, Anne-Marie et moi, nous nous réveillâmes d'un cauchemar commun; je guéris. Mais nous étions victimes d'un malentendu: elle retrouvait avec amour un fils qu'elle n'avait jamais quitté vraiment; je reprenais connaissance sur les genoux d'une étrangère. Sans argent ni métier, Anne-Marie décida de retourner vivre chez ses parents. Mais l'insolent trépas de mon père avait désobligé les Schweitzer:

l’humain, l’être humain - Kill Bill I et II : le mélange des genres La féminité - Pulp fiction : le traitement du temps La structure narrative - Saw : la justice - le Seigneur des anneaux : le mal - Star Wars : Darth Vador est-il un personnage diabolique ? - V pour Vendetta : l’anarchie - Whatever works : la quête du bonheur La normalité Séries télévisées - Alias : l’identité - Desperate housewives : le couple La normalité - Dr House : autrui La déontologie Le raisonnement

plongeai dans un monde confus, peuplé d'hallucinations simples et de frustes idoles. A la mort de mon père, Anne-Marie et moi, nous nous réveillâmes d'un cauchemar commun; je guéris. Mais nous étions victimes d'un malentendu: elle retrouvait avec amour un fils qu'elle n'avait jamais quitté vraiment; je reprenais connaissance sur les genoux d'une étrangère. Sans argent ni métier, Anne-Marie décida de retourner vivre chez ses parents. Mais l'insolent trépas de mon père avait désobligé les Schweitzer:

Georges ZARAGOZA Professeur de littérature comparée Président du jury d’agrégation externe de lettres modernes   6   Première composition française Alain Robbe-Grillet écrit : « Comme il n’y avait pas, dans nos livres, de « personnages » au sens traditionnel du terme, on en a conclu, un peu hâtivement, qu’on n’y rencontrait pas d’hommes du tout. C’était bien mal les lire. L’homme y est présent à chaque page, à chaque ligne, à chaque mot. Même si l’on y trouve beaucoup d’objets