Un Choix Rationnel

indépendant, et ce en adoptant une démarche méthodique et rationnelle qui le conduit in fine à opérer le meilleur choix possible dans un ensemble donné d’alternatives. Le premier chapitre de cet ouvrage expose cette théorie du choix rationnel, sur laquelle se fonde l’approche économique pour analyser des choix plus complexes impliquant d’autres décideurs (chapitre 4 et 5) ou soulevant la question de la coordination entre les choix individuels (chapitre 7). Cependant, ainsi que le chapitre

Chapitre 4 : Décision dans les organisations 1. Le processus de prise de décision dans les organisations. Toute activité humaine, tout comportement suppose que l’acteur prenne une décision. En prenant cette décision il réalise un choix entre toutes les actions qu’il peut matériellement réaliser. Dès lors l’individu renonce à d’autres alternatives. Le processus de sélection peut-être, dans le sens retenu ici, conscient ou inconscient. Alors que de nombreuses actions font appel à des processus

BADIANE MARIE 12 ES DISSERTATION Sujet : Le discours rationnel peut-il se passer d´un recours à la persuasion ? De son Dom Juan , Molière nous a laissé cette célèbre réplique :“ je crois en deux et deux font quatre „. Si cette réplique exprime l'attachement du personnage à la rationnalité , elle nous amène à la question suivante : la rationnalité peut elle se suffire à elle meme ? Déjà les penseurs antiques divergeaient sur ce point : d'une part les sophistes , partisans de la rhétorique

et organisationnelle un individu rationnel qui maximise son utilité  choix solution optimale en fonction de ses intérêts Une conception plus réaliste du comportement humain  individu rarement en mesure de se formée une idée complète et exacte de la situation et de tous les choix possibles choix de la premier solution" satisfaisante" fonctionnement par essai/erreur Différentes approches : Approche rationnelle (20 %) Définition précise du pblm Listes des choix possibles Calcul de la meilleur

nécessité de faire des choix Chaque décision apporte son lot de satisfaction lorsqu’elle cohérente (nous reviendrons sur la question de la rationalité plus loin dans ce chapitre), mais elle comporte également un coût qui dépasse le simple débours financier qu’elle occasionne. Il convient donc de mettre correctement en balance les avantages d’une activité (utilité, bénéfice, revenu) par rapport à son coût d’opportunité. La rareté et les coûts d’opportunité nous obligent à des choix efficients. - Distinction

l’efficacité de l’action et on définit les principes qui gouvernent l’action concertée de groupe d’individus dans cette analyse toute fois on se s’appesantit guère sur le choix qui précède toute action la détermination de ce qu’il faut faire plutôt que l’action concrète proprement dite. Cette étude s’intéresse à ce problème de choix préliminaire Bien que toute activité pratique comporte à la fois une phase de « décision » et une phase d’ »action » l’idée ne s’est pas encore imposé qu’une théorie de

Chapitre 1 : le consommateur est-il toujours rationnel dans ses choix ? Les consommateurs sont des personnes physiques ou morales de droits privés qui se procurent et/ou utilisent des biens et des services pour un usage non professionnel. Seulement est-ce que ces personnes agissent toujours dans leurs choix d’une manière raisonnée et réfléchie ? Les consommateurs sont différents tout comme leurs achats. Des stratégies de marketings spéciales sont misent en œuvres afin de faire plus de ventes. Les

dispose de techniques pour l’aider à formaliser les problèmes et l’aider à effectuer ces choix. Emploi outils adoptés suivant les contextes différents. ( Dans un contexte déterminé (certitude) : programmation linéaire, actualisation, graphiques (diagramme de GANT) (Dans un contexte aléatoire (probabilité) : calcul probabilités (Dans un contexte incertain (ni déterminé ni probabilités) : trouver des critères de choix par tâtonnement. (Dans un contexte hostile (environnement est contraire) outils= ceux

facteurs retenus. - L’optimisation est trop compliquée et l’homme cherche seulement une solution satisfaisante : la plupart des décisions humaines se rapportent à la découverte et à la sélection de choix satisfaisants ; ce n’est que dans des cas exceptionnels qu’elles se rapportent à des choix optimaux. ENCGM 2008/2009 THEORIES DES ORGANISATIONS : Herbert Simon 6 « L’homme administratif » de Simon est donc différent de l’homme économique ou statistique : il ne maximise

entend par raison, les démarches de l’esprit par lesquelles on découvre la vérité, en quoi celle-ci est contraire à la foi religieuse ? Si on entend par raison, l’angle de l’action, efficace ou l’angle de l’action morale, faisant intervenir le rationnelle ou le fait d’être raisonnable, celle-ci est-elle nécessairement contraire à la foi religieuse, ou ne peut-elle être envisager comme compatible avec cette dernière ? Tout d’abord, on peut se demander qu’est ce que la religion ? Et donc qu’est-ce