Un Heros Qui Fait Rever Le Lecteur

synonyme de moderne. Il s´agit là plus précisément d´une nouvelle sensibilité nostalgique tournée vers le passé mais toujours dans l´idée d´une certaine modernité. Victor Hugo écrit en 1827 “La préface de Cromwell” une oeuvre dans laquelle il fait une sorte de manifeste du Romantisme. Dans ce manifeste, il suit les idées de Stendhal en défendant la liberté et refusant le principe de l´imitation. Il redéfinit l´idée des trois unités, celle du vers romantique et parle du mélange entre le sublime

obligent leurs lecteurs à se confronter à la réalité du monde. Selon Yves Bonnefoy, essayiste, poète et critique d’art du 20ème siècle, Il est des œuvres qui vous obligent à voir un monde que nous préférons ignorer, mais aussi à voir en nous, à découvrir nos propres abîmes, nos tentations et nos abus. Par cette citation, qui n’est certainement pas réfutable, nous pouvons nous apercevoir du pouvoir détenu par l’écrivain. Pas seulement du fait qu’il ouvre les yeux à ses lecteurs, mais de la

personnage éponyme dont la vie nous est racontée. Thérèse s’impose donc comme le personnage principal du roman :l’omniprésence romanesque de Thérèse contraste avec la réalité de son effacement sur le plan social ; au début du roman, en effet, le lecteur a la surprise de découvrir que le personnage qui a donné son nom au roman n’est qu’une ombre, dont l’existence même semble oubliée par les deux hommes qui décident à sa place de son destin, son père et son avocat, qui parlent comme si elle étaient

I. Une atmosphère fantastique 1. Le point de vue Le point de vue est ici interne, c’est-à-dire que le lecteur découvre la boutique à travers le regard de Raphaël. Il s’agit donc d’une situation émotionnelle très intense, et d’un point de vue subjectif. Verbes de perception associés au personnage principal : « Il voyait », « il ne l’avait entendu (…) », « il ouvrit les yeux »…etc. Point de vue qui suit le mouvement de Raphaël avec un effet de rétrécissement : d’abord la boutique, ensuite

COMMENTAIRE RUY BLAS Pour commencer, la pièce fait bien partie du théâtre dramatique et romantique. Tout d’abord, les règles imposées par ce dernier sont parfaitement respectées. En effet, malgré la présence d’une reine « la Reine », il y a tout de même un mélange des classes sociales avec la présence de « Ruy Blas » un modeste valet qui est par ailleurs le héros romantique. Celui-ci, après avoir bravé l’interdit rencontre la fatalité et est sacrifié ce qui le conduit à la mort, ceci est

oncle m’avait aidé à bâtir au bout d’un ravin, au lieu-dit Vieille-Source, un wigwam de Peau-Rouge, une hutte faite de branches et recouvertes d’une toile cirée où je me réfugiais avec les livres de James Oliver Curwood et de Fenimore Cooper, pour rêver des Apaches et des 5 Sioux, ou pour me défendre jusqu’à la dernière cartouche, alors que j’étais assiégé par les forces ennemies, toujours « supérieures en nombre », comme la tradition l’exige. A la mi-juin, alors que m’étant

Nous terminerons en montrant que ces différentes fonctions peuvent s'associer afin d'être plus efficaces et avoir plus d'impact sur le lecteur, tout en étant distrayante comme le faisait La Fontaine. La littérature sert à défendre des idées. Certes la littérature a pour but depuis toujours de faire passer un message précis afin d'atteindre directement le lecteur. Emile Zola, auteur de nombreux ouvrages comme Germinal, L'Assommoir, ou encore « J'accuse » écrit lors de l'affaire Dreyfus et parue

Avec Paul Verlaine par exemple, la poésie se fait musique, légèreté et suggestion. Peintre certes, mais un impressionniste des clairs-obscurs et des demi-teintes, Verlaine nous invite à des « Fêtes galantes » et des « Romances sans paroles ». Grâce aux assonances, à la douceur des rimes féminines, aux répétitions mélodieuses, le lecteur est entraîné dans son univers onirique, et non dans une réalité. Il en est de même Avec Nerval qui invite le lecteur à entrer dans un monde de rêves et de perceptions

théâtre n'est peut être pas un support si idéal pour exposer des idées : le spectateur peut ne pas les prendre au sérieux voire pire, ne pas les comprendre : les pièces peuvent être censurées : Les pièces de Molière comiques sont sensibles vis-à-vis du lecteur. Les rires fusent durant la représentation, les pièces aux intrigues faciles sont très compréhensibles. Mais qu'en est-il des idées transmises ? Celles-ci peuvent ne pas être prises au sérieux, et l'histoire peut supplanter la critique. L'avare est

théâtre n'est peut être pas un support si idéal pour exposer des idées : le spectateur peut ne pas les prendre au sérieux voire pire, ne pas les comprendre : les pièces peuvent être censurées : Les pièces de Molière comiques sont sensibles vis-à-vis du lecteur. Les rires fusent durant la représentation, les pièces aux intrigues faciles sont très compréhensibles. Mais qu'en est-il des idées transmises ? Celles-ci peuvent ne pas être prises au sérieux, et l'histoire peut supplanter la critique. L'avare est