Un Homme Avare

la première occasion. Mariane, conduite par Frosine, arrive, pleine d’appréhension et toute tremblante à l ‘idée de rencontrer Harpagon. Elle a une pensée émue pour le mystérieux jeune homme dont elle est amoureuse. Le physionomie d'Harpagon la rebute, elle est paralysée. Lorsqu’elle reconnaît Cléante, le jeune homme qui lui a fait la cour, elle est troublée. Les deux jeunes gens se font comprendre l'un à l'autre leurs véritables sentiments, en usant un langage à double sens, devant un Harpagon qui

les interprétations, la punition du suicide ou du péché de colère (5). I.S.F.E.C. Cours d'histoire J. Dérosier On voit ensuite un démon musicien qui arrache la langue d'un homme pour le punir d'avoir détourné la musique sacrée à des fins profanes, ce qui constitue un blasphème (6). enfin, à l'extrémité droite, un homme, probablement braconnier, est rôti à la broche par un lièvre (animal symbole de luxure) (7). Puis, en-dessous, se présentent le Paradis (à gauche) et l'Enfer (à droite). Plusieurs

Dieu, commencez. — Je tâcherai d’être court. — Cela n’en sera pas plus mal. Ici, un peu par malice, je toussai, je crachai, je développai lentement mon mouchoir, je me mouchai, j’ouvris ma tabatière, je pris une prise de tabac ; et j’entendais mon homme qui disait entre ses dents : « Si l’histoire est courte, les préliminaires sont longs… » Il me prit envie d’appeler un domestique, sous prétexte de quelque commission ; mais je n’en fis rien, et je dis : « Il faut avouer qu’il y a des hommes bien

vers 18/19/20/21 qui témoigne du rapport du savetier à l’argent (heureux et insouciant, il vit au jour le jour « chaque jour amène son pain »v22 -une fois qu’il possède les cents écus : vers 38 enjambement : transformation du Savetier en Harpagon (avare) + rapport au temps modifié, redoute l’avenir + angoisse de perdre ce nouveau bien, nécessité de dissimuler l’argent (dans sa cave il enserre/L’argent et sa joie à la fois) B) Le renversement des valeurs (destruction par l’argent) -Valeurs de Savetier

lettre est tombée à mes pieds" (vers 915). Il confie donc la ruse d’Agnès à Arnolphe qui n'est qu'autre que le tuteur de celle ci. Horace croyant parler de Mr De la souche, Il le désigne donc par des formules anonymes : "mon homme" , "il", "mon jaloux", " personnage", "cet homme" ... Il le présente comme un personnage ridicule, colérique, extravagant ... Son obsession de ne pas être « cocu » tourne à la monomanie, et le rend ridicule. En écoutant Horace, Arnolphe apprend donc que son stratagème

humble et pieuse comme sa mère. Elle découvre en Charles son grand amour, dont son coeur noble ne pourra jamais comprendre la trahison. À la fin de sa vie, elle «marche au ciel, accompagnée d'un cortège de bienfaits». Charles : C'est un jeune homme à la mode, élégant, futile, de vingt et un ans, neveu de l'avare. Avant d'arriver à Saumur, son éducation d’enfant gâté et sa vie dissipée de Paris ont déjà commencé à émousser ses volontés de bons sentiments. Tenant une haute estime de sa personne

demanda immédiatement si elle était morte ou vivante, et l’hôte lui répondit qu’elle était décédée depuis deux ans, après un bal. Théodore comprit alors qu’il ne rencontrerait plus jamais le bonheur sur terre. Le portrait ovale : C’est l'histoire d'un homme blessé et de son domestique qui s'installent pour une nuit dans un château étrange et abandonné. La nuit, alors que le maitre ne trouve pas le sommeil, il contemple les tableaux exposés dans sa chambre. Un surtout l'intrigue : le portrait d'une jeune

publié en trois parties entre 1836 et 1843 : les Deux Poètes, Un grand homme de province à Paris et Ève et David. Il fait partie du vaste ensemble des « études de mœurs », et plus précisément des Scènes de la vie de province. Inspiré à Balzac par son expérience d’imprimeur, il raconte l’échec de Lucien de Rubempré, jeune provincial épris de gloire. Le parcours malheureux et nourri d’impardonnables faiblesses du « grand homme de province » (périphrase récurrente), alternativement héros et antihéros

nouveau père Mais il s’est, de façon originale, fabriqué sa propre identité, trouvé seul une famille. Fils de l’Empire, il perdra son père lorsque l’Empire s’écroulera : « Je me trompe, j’avais un père, l’Empereur ! Ah ! s’il était debout, le cher homme ! et qu’il vit son Chabert, comme il me nommait, dans l’état où je suis, mais il se mettrait en colère ». c) « Moi, Chabert, comte de l’Empire » À la différence des aristocrates de l’Ancien Régime ou de la Restauration, comme le comte Ferraud, Chabert

la propreté «la Mort se dirigeant vers le lavabo»,mais elle est cruelle-infaillible et rusée:elle choisit sa victime et passe sans hésiter à l' action sans aucune chance d' échec. Cocteau a qualifié la mort d' être avare et égoïste. Cela est bien révélé par Heurtebise «[...]elle est avare ,elle aime mieux prendre que donner »(scène vii,page70). Donc le dramaturge nous a peint une image féroce de la mort qui vient pour prendre son proie avec une atrocité extrême. Remarquons qu' il ya une ressemblance