Une Bonne Loi Hobbes

adorateur devant un Dieu inspirateur de la loi. Cette symbolique nous montre que si le roi est législateur l’inspiration de la loi vient de Dieu. De même, dans l’épilogue : « Hammurabi, roi du droit, c’est moi à qui Samas a fait présent des lois. » « roi du droit » insiste sur la force, la valeur et le rôle en tant que défenseur de la justice du roi. Cette place prépondérante du roi s’applique bien au fait que ce sont les Dieux suprêmes qui ont la loi et la transmette pour que celui-ci fasse régner

Cet ouvrage de Rousseau est la réponse de Rousseau à un concours, de l’Académie de Dijon : ‘Quel est l’origine de l’inégalité parmi les hommes et si elle est autorisée par la loi naturelle ?’ Ce sujet porte sur les inégalités pour savoir d’où elles viennent et si elles sont légitimes ou justes. De quel type d’inégalité parle-t-on ? Il y a deux types d’inégalités : - naturelles : qui intègrent les inégalités morales, certains hommes sont naturellement plus robuste, plus fort, voire plus indulgent

Hobbes, défini la liberté comme l’absence d’opposition. D’après le sens propre du mot, un HOMME LIBRE est celui qui, sachant les choses que sa force et son intelligence lui permettent de faire, est libre de faire celles qu’il a la volonté de faire. Beaucoup d’entre nous pense qu’obéir aux lois, c’est aussi renoncer à sa liberté, puisque le respect d’une loi, ne nous permet pas d’être totalement libres de nos choix. La loi est une série de règles générales qui indiquent le permis, le défendu et l’exigible

du point de vue de la morale, comme Machiavel l'avait montré pour la politique. Du côté de Kant ensuite, si l'on veut bien considérer que l'absolue séparation de la norme morale et de la vie réelle des hommes permet justement de mettre en place la loi morale comme quelque chose d'obligatoire. Que les hommes préfèrent les prospérités du vice a la pauvreté (économiques) de la vertu est sans doute déplorable d'un point de vue moral. Mais on ne peut pas juger la vie sociale et les activite economique

compétences de la souveraineté II- L'application des principes de JJ. Rousseau La Majesté de la Loi → Il cite Moise, Licurge, Mahomet La suprématie de la Loi → le peuple fait la loi, la loi est appliqué par le gouvernement Les formes de gouvernement : il les critique toutes → la démocratie qui a fonctionné dans les cités antiques car il s'agissait de petites cités Elle est bonne pour les Dieux Ne peut être réalisé quand l'intérêt particulier règne sur l'intérêt général →

ouvrier de fabrique, menuisier) alors que le travail improductif ne produit pas de valeur (le domestique,les juges, les artistes, les prostituées...). Pour Smith le profit ne vient pas d'une spoliation de l'ouvrier (comme le pensera Marx) mais d'une bonne organisation du travail. Smith reprend l'exemple de la manufacture d'épingles: tout seul une vingtaine d'épingles mais si on divise le travail avec 10ouvriers on fait 4800épingles par ouvrier. Il constate que même si des égalités persistent la condition

Etats soit entre un homme est un Etat. Toute ces branches présente de nombreux point de convergences exemple de la peine de mort qui relève du droit pénal mais en même tant la prohibition est constitutionnel. Le contrôle de constitutionnalité de la loi permet cette convergence. Le droit constitutionnel touche fondamentalement la notion de démocratie, cette dernière n’est autre que le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple. La démocratie est un mode de gouvernement dans lequel les

tournée vers la subjectivité et ne pourrait donc rien formuler de nécessaire. Au contraire , la science serait objective et seule capable de former des capacités nécessaires. => Auguste Comte : Il pense avoir découvert la loi du dvt de l'esprit humain et donc la loi du progrès de l'humanité. Pour lui , cela prend trois formes : (A) les hommes commencent par connaître la réalité d'un point de vue théologique = domaine des croyances , c'est « l'enfance » de l'humanité et de l'esprit humain. (B)

reconnu qu'il pose des valeurs dans le délaissement, il ne peut plus vouloir qu'une chose, c'est la liberté comme fondement de toutes les valeurs. Cela ne signifie pas qu'il la veut dans l'abstrait, Cela veut dire simplement que les actes des hommes de bonne foi ont comme ultime signification la recherche de la liberté en tant que telle. Un homme qui adhère à tel syndicat communiste ou révolutionnaire, veut des buts concrets ; ces buts impliquent une volonté abstraite de liberté ; mais cette liberté se

de son "concours" de philosophie. Nul doute qu'il ne doutât jamais du futur poids du "Contrat social". Pourtant, quel renouveau au sein même de la pensée politique, en cette période de bouillonnement intellectuel des Lumières ! Contrairement à Hobbes, différemment de Montesquieu, Rousseau propose les fondements de nos Etats modernes, et cela en un peu plus de cent pages. Comment organiser l'apport de cette oeuvre, quelles lignes directrices en retenir ? Il ne faut pas s'y tromper : Rousseau