Une partie de plaisir

Freud (le plaisir n’est que par contraste), et « Malheur à celui qui n’a plus rien à désirer » de Rousseau. Pour le sens critique : Spinoza et le désir comme puissance. Le plan : De manière générale, l'explication de texte peut être faite soit selon un plan I. Explication, II. Analyse critique, soit selon un plan comprenant autant de parties que de parties dans le texte, la critique étant insérée dans l'explication. Les professeurs de philo tolèrent les deux plans ! Première partie : Texte

précisant les parties et l’ordre où ils vont apparaitre Dans la première partie de ce commentaire, nous étudierons le lyrisme de Baudelaire à travers l’hommage qu’il rend à son amante, l’importance des sensations et des sentiments et la façon dont son expression est en accord avec l’univers. Dans une deuxième partie, nous analyserons l’intimité du cadre qu’il propose à travers l’intimité amoureuse, les lieux clos et l’atmosphère des fins de journées. Enfin, dans une dernière partie, nous analyserons

peurs, désirs, souvenirs honteux, pensées immorales… – Le Préconscient: représentations qui ne sont pas présentes a la conscience mais qui peuvent le devenir – Le Conscient: informations du monde extérieur et du monde intérieur (sensations de plaisir/déplaisir et reviviscence mnésiques)/aucune information durable ne s’inscrit dans la Cs • Entre chaque systèmes Freud situe des censures qui inhibent et contrôlent le passage de l’un a l’autre La censure – Frontière entre les différents territoires

le bonheur comme excellence du corps Défini comme « plaisir durable », le bonheur se présente d’abord comme un plaisir, c’est-à-dire comme une action agréable par elle-même ; or le plaisir relève des sensations, donc forcément du corps (pour les Grecs, la pensée ne « sent » rien). Quel est ce plaisir ? Il s’agit de la jouissance ressentie lorsqu’un besoin est satisfait. (Au passage, qu’il me soit permis de dire ma consternation qu’aucune copie ne mentionne la jouissance – y compris dans son acception

◊vvla composition de la fable A. La structure de la fable Il existe dans cette fable deux parties qui ne peuvent être dissociées : la partie qui s’adresse à Mr de Barillon et la fable en elle-même. Celle-ci est également divisée en deux : du vers 34 à 64 il s’agit du conte, et du vers 65 à la fin, de la réflexion générale. Cette séparation est remarquables grâce d’une part aux temps utilisés: dans la première, le fabuliste utilise le passé « il parla fortement sur le commun salut. On ne l’écoutait

inconsciente 1.Aspect dynamique -Pendant l’enfance , l’appareil psychique (personnalité) se forme Pulsions innées : pulsion de vie (libido) & pulsion de mort (agressivité) Libido : énergie qui nous pousse à rechercher et à vivre le plaisir Frustration : atteinte du plaisir menacée -Expériences pendant l’enfance influencent les comportements et les difficultés de la vie adulte - Enfance = période de développement psychologique (stades psychosexuels) -Il se produit des conflits psychiques lors des

LESCURE Anne. Terminale littéraire. Littérature. Sujet 1 : « Bonheurs et plaisirs dans Les Liaisons dangereuses ». L'œuvre épistolaire Les Liaisons dangereuses à été écrite par Choderlos de Laclos et publiée en 1782. Celle ci, considérée comme un chef-d’œuvre de la littérature française du XIIIème siècle, narre le duel libertin auquel se livre deux membres de la noblesse. Laclos, auteur appartenant au siècle des Lumières, écrit donc le libertinage, qui met en scène une liberté de penser

Conçu comme béatitude, ou félicité, le bonheur est défini comme « Souverain bien » (summum bonum, diront les philosophes latins) – auquel tous les hommes s’efforcent d’accéder. Envisagé comme bien suprême, le bonheur se distingue donc de la joie, du plaisir, ou de la jouissance. Il constitue un bien difficile à obtenir, qu’il est rare de posséder. Les conceptions du bonheur varient cependant en fonction des époques, ou des doctrines. C’est pourquoi nous devons essayer, dans un premier temps, de circonscrire

désiré comme une fin pour tendre vers quelque chose de plus haut. L’aspiration au bonheur constitue une quête que chaque individu mène de façon personnelle. Ainsi, si le bonheur était mis sur un pied d’égalité avec le plaisir, cela voudrait dire que la quête du bonheur n’est qu’un plaisir éphémère, sans valeur en comparaison avec la représentation du "bonheur". Et lorsque Aristote dit: " Mais s'appliquer et se donner de la peine, encore une fois, uniquement pour arriver à s'amuser, cela paraît aussi

à ne s’interdire de réaliser aucun désir, à vouloir accomplir n’importe quel désir sans faire de choix. · Mes désirs = Le plaisir n’est pas seulement une sensation qui accompagne la satisfaction d’un besoin ; les hommes recherchent le plaisir pour lui-même ; cette recherche du plaisir constitue le désir. Ne pas confondre un désir et une pulsion, qui est un appétit de plaisir soudain et qui exige impérativement d’être assouvie et qui ne veut se plie à aucune règle : exemple l’enfant qui réclame soudain