Unité Carolingienne

indices qui annoncent le renouveau futur de l'Etat. Section 1 : Le pouvoir au main des seigneurs. Ce système féodale et seigneurial peut etre défini comme une forme d'organisation politique et sociale qui résulte de l'échec de la politique carolingienne et les caractères de cette organisation féodale montre que l'état semble irrémédiablement condamné et le pouvoir a désormais une assise territorial qui est la seigneurie. 1)Un nouveau pouvoir aux antipodes de l'état : le système féodale

patrimoine privé -Les carolingiens voyaient l'État comme un pouvoir qui repose sur l'unité de la chrétienté occidentale Limites de la conception patrimonial des mérovingiens : -après la chute de l'Empire d'Occident, Clovis arrive au pouvoir. L'idée d'État, de Res publica disparaît.. Les conséquences étant que le Roi peut aliéner le royaume car il lui appartient via le droit de conquête et à la mort du Roi, le royaume est partagé entre ses fils ; Il n'y a donc plus une unité. -On obéit à Clovis

la situation qui prévaut à l’âge d’or de l’empire carolingien, il y a un régime de relation entre les églises, domination très nette de l’empereur. La réforme grégorienne va renverser cette situation. Charlemagne et ses successeurs sont conçus par les clercs eux-mêmes comme les protecteurs et les chefs de la chrétienté, les charges ecclésiastiques sont de gros enjeux politiques. Le résultat de cette situation est que les souverains carolingiens attribuent les charges ecclésiastiques, ils choisissent

du Roi, des comtes, et transmettre aux comtes les instructions de l’empereur. Partie 1 : Les institutions de la France médiévale (9ème – 15ème siècle). Au début du 9ème siècle, l’Europe Occidentale vie dans les structures de l’Empire carolingien. Après la mort de Charlemagne, la situation se dégrade. Le pouvoir central se délite, donnant naissance à la société féodo seigneuriale. Au début du 12ème siècle, de profondes mutations économiques et sociales engendrent des innovations institutionnelles

du 11eme siècle : chateaux, seigneur... Retard 10 min Mise en place d'une nouvelle geographie politique : Affaiblissement de la royauté face aux princes. Le fait marquant est la mort de Charles le gros qui provoque la dislocation de l'empire carolingien. …. Le pouvoir central est train de perdre qui avait ete mis en place Charlemagne comme les capitulaire generaux et les micci dominicci. Fin des convocation gnerals a l'armé royale, on la transforme. Perte du control royal sur la transmition des

987-1789 ********* Introduction La période franque va de la fin de l’empire romain germanique 476 à 987, arrivée d’Hugues Capet. La monarchie franque est composée de deux périodes. Il y a la période mérovingienne (jusqu’en 782) et la période carolingienne (782-987). §1. Monarchie à l’époque mérovingienne À cette époque le pouvoir suprême présente un caractère différent de ce qu’il était sous l’empire romain. À Rome l’empereur romain était considéré non comme le propriétaire mais comme le

Dieu La Paix de Dieu est un mouvement spirituel et social qui émerge au milieu du Xe siècle dans la France du centre-ouest. Nous n'expliquerons pas ici la Paix de Dieu mais simplement ses buts et ses conséquences. A la dissolution de l'empire carolingien, le monde féodale connaît une période d'intense violence interne, et la Paix de Dieu, accompagnée ensuite par la Trêve de Dieu qui s'entame au XIe siècle ont pour but d'obtenir une pacification du monde chrétien occidentale. Mais ces deux mouvements

coup d’état de Pépin le Bref en 751, l‘hérédité a subit sa première atteinte puisqu’une nouvelle dynastie, sans lien avec la précédente, a été mise en place. En 754, Pépin le Bref fait sacrer ses fils et pose le principe selon lequel seul un roi carolingien peut gouverner le royaume : retour à l’hérédité. En 888, l’hérédité est remise en cause et jusqu’en 987 triomphe l’élection des rois. En 987, nouvelle dynastie fondée donc retour à la légitimité des liens du sang. Pourtant, si la légitimité passe

souverains de la seconde dynastie franque, à qui il a donné son nom (« Carolingiens »), poursuivit la politique d'expansion du royaume inaugurée par ses prédécesseurs et se trouva, vers la fin du VIIIe siècle, à la tête d'un groupement de territoires qui s'étendaient de la marche d'Espagne à la Pannonie, de la mer du Nord au centre de l'Italie. Cette zone immense, qui correspondait à la plus grande partie de l'Occident, reçut son unité passagère du titre impérial auquel Charlemagne accéda le 25 décembre

défini, comme on le voit à la lecture de la Chanson de Roland, écrite un siècle plus tôt. Ce terme de « France » fait suite à celui de « Francie occidentale », officialisé au traité de Verdun en 843 pour désigner la partie occidentale de l'empire carolingien, suite à son morcellement. Dès juin 1205, le territoire est désigné dans les chartes sous le nom de regnum Franciæ, c’est-à-dire royaume de France[2],[3]. L'occupation humaine du territoire correspondant aujourd'hui à la France est fort ancienne