Univers Totalitaire

L'ART  DANS  LES  RÉGIMES  TOTALITAIRES      PROBLÉMATIQUE  :     QUEL  EST  LE  RÔLE  DE  L'ART  DANS  LES  RÉGIMES  TOTALITAIRES  DE   LA  PREMIÈRE  MOITIÉ  DU  XXE  SIÈCLE  EN  EUROPE?   BRUNE  POUGET   BAPTISTE  CARRATERO   LEAH  MARX      "La  terrifiante  originalité  du  totalitarisme,  ne  tient  pas  à  ce  qu’une  nouvelle  «  idée

Malebranche, « la folle du logis » ; elle condamne également la pensée mythique comme primitive et prélogique. ■ Ainsi, en refusant de prendre en considération tout ce qui lui est étranger, la raison se fait totalitaire, et construit des mondes où elle règne seule. Mais ces mondes sont des univers clos, plaqués sur le réel qu'ils veulent masquer, mondes sans vie ou allant contre la vie : tel est un des reproches majeurs qu'on a pu faire aux utopies politiques en tant qu'hyperrationalisations du monde

de la Propagande dirigé par J. Goebbels, qui contrôlait le secteur culturel et les médias les mettait au service de la propagande. « L’art doit édifier, façonner le peuple et la nation » disait Goebbels. L’art n’est donc pas libre sous un régime totalitaire. Tous ceux qui n’étaient pas allemands étaient considérés comme dégénérés. « Leur musique est le résultat de déraillements. » « L’Allemagne est le premier peuple musicien de la Terre » était la pensée hitlérienne avec cet éternel sentiment de supériorité

donc transféré dans le réel par rapport à l'utopie. Contre-utopie ou anti-utopie sont les appellations les plus courantes et sont faciles à comprendre, ce sont des écrits s’opposant résolument aux utopies. Ils en rejettent l’univers conformiste et totalitaire. Ils se projettent, le plus souvent dans l'avenir pour critiquer le présent. Néanmoins, ils ne tiennent pas de la prophétie. On retrouve souvent le modèle de la satire accompagné d'humour. Le terme de contre-utopie fait référence à un genre littéraire

prenons appui sur notre échelle personnelle des valeurs que nous tentons toujours d’appliquer voire même d’imposer à autrui. C’est au moment où l’individu au pouvoir tente d’imposer sa vision aux autres que peut naitre la dictature ou le régime totalitaire. Les sociétés objet de ce type de système politique sont souvent encadrées et embrigadées. On constate souvent que la jeunesse de ces pays - et quelle que soit l’époque - se fait souvent endoctrinée dans des organisations contrôlées par le parti

000 ans en arrière ; où bien dans un avenir plus proche, comme dans la contre-utopie « 1984 » de George Orwell, qui est publié en 1949 et qui relate la déchéance d’un monde plongé dans le totalitarisme le plus dur et le plus fou. En créant ces univers imaginaires, les écrivains incitent les lecteurs à découvrir des mondes différents. Le voyage et son récit séduit les lecteurs : les hommes rêvent de l’évasion et du merveilleux, et les écrivains se servent de cet attrait pour capter le lecteur

(Chomsky) | Etre partisans de la théorie du complot, de la conspiration | Critiquer le fonctionnement de la démocratie parlementaire (Rancière, Badiou) | Etre antidémocrate | Soutenir certaines (hypo)thèses communistes | Etre pour un régime totalitaire | Cette dynamique de 2 poids, 2 mesures s’applique aussi au traitement envers la religion chrétienne, juive ou musulmane. On peut y voir une nette tendance en Occident à stigmatiser les méfaits de l’Islam quand les dérapages de la Chrétienté

d’identité de l’œuvre Cette œuvre est une affiche de propagande réalisée en 1950 en URSS par l’Etat contrôlé par Staline et par le parti communiste. Ce document officiel témoigne de la pression exercée par l’Etat totalitaire de Staline. A cette période, il y a un Etat totalitaire, c'est-à-dire un Etat dans lequel un parti unique, dirigé par un seul homme, contrôle tous les aspects de la vie publique et privée. Staline dirige l’URSS par la propagande et la terreur, il exige une soumission absolue

prise sur sa russité, le français est la langue " grand-maternelle ", la France au travers des contes et souvenirs de Charlotte, puis par le biais des lectures d’Aliocha incarne une forme de romantisme qui s’oppose à la brutalité sourde du système totalitaire russe. Concernant la lecture du texte, j’ai eu l’impression qu’elle était laborieuse sans pour autant que je ne puisse m’en détacher. L’écriture de l'auteur russe est belle, maîtrisée. Personnellement, j’ai souvent un peu de mal avec les romans

stigmatisés cette littérature maghrébine d’expression française, qualifiée comme étranger. Néanmoins, il apparaît que cette littérature, déjouant les sombres pronostics, a refusé de disparaître, elle s’est entêté à dire la vérité malgré les idéologies totalitaires, au pouvoir qu’entendaient restreindre considérablement la marge d’expression, pour cela elle du s’expatrier pour se faire entendre.   Ces grandes lignes montrent surtout que, en tant que francophones les auteurs écrivent directement en français