Univers Totalitaire

religieux ou politique, de travailler comme il l’entend ? Bien-sûr que non. Le rire peut être critique, mais il n’impose rien. L’humour n’est pas une action liberticide alors que le condamné serait bafoué la liberté. C’est pour cela que les régimes totalitaires où même encore l’église, dans le passée, condamnait le rire car il tourne en ridicule les dogmes farfelus qu’ils essayent d’imposer par la force. L’humour est capable de porter en son sein les causes de la révolte. Le rire nous maintient éveillé

Contrairement au phalanstère, le familistère avait pour objectif de préserver la vie familiale. · Marx : 1.3. Utopies Et contre-utopies (dyspoties) au XXème siècles1.3.1. Des univers tragiques et cauchemardesques (littérature et cinéma) Le U de utopies est remplacé par « dys » qui a une connotation péjorative. Tous sont des mondes totalitaires mais ne vise pas le bonheur des gens. C’est ça la différence avec l’utopie. · Adaptation du roman d’Emile Zola, l’automobile est priorisé 1.3.2. La mort de l’utopie 

inspiré tous les romans dits « arthuriens » : traditions et des légendes celtiques. Chrétien de Troyes apparaît comme l’auteur le plus représentatif et le plus innovant de cette matière ; il lie étroitement ces aventures à la notion de quête, dans un univers romanesque qui allie des éléments surnaturels et merveilleux à des effets de réel HUMANISME  C’est la naissance du roman moderne ; au début de l’histoire du roman cohabitent deux traditions très contrastées : o La première est celle du roman comique

dictateurs, qui voient leur peuple trouver dans les livres des idées de libertés. Hitler brûlant les livres juifs pendant les autodafés et Staline envoyant les écrivains ''gênant'' au Goulag tel Soljenitsyne sont les exemples de cette haine des Etats totalitaires envers les livres.      Le livre est donc un libérateur sous certaines formes : il peut libérer de l'ennui, du quotidien mais il peut aussi jouer un rôle important dans certains moments historiques.        Mais le pouvoir libérateur du livre

cité qui sera repris au cours des siècles par toutes les utopies : exorciser la mort. Les grands traits communs à toutes les utopies Nous avons vu succinctement comment l'architecture des villes utopiques tend à se constituer comme l'image d'un univers ordonné s'opposant au chaos et nous avons suggéré la capacité de celle-ci à modeler les comportements, l'esprit de ses habitants. Les villes aux maisons identiques s'efforçant de reproduire l'harmonie cosmique renvoient au mode de vie communautaire

I) Les obstacles À l’analyse politique Produire un discours rigoureux sur la politique n’est pas simple. Le politiste est un individu quelconque, socialisé à la politique. La politique est quelque chose de familier pour lui : c’est son univers professionnel ((relations de familiarité avec des institutions, avec des actes comme le vote ou les manifestations, …), dont l’apprentissage s’est fait tout au long de sa scolarité. Ce rapport familier pose problème : l’acquisition de savoirs

théologique des jeux olympiques ? La difficulté à saisir le sport tient aussi à sa dynamique. Elargissement continu du champ sportif, processus de différenciation culturelle et sociale. Sport= fait social total. Outil de propagande favori des sports totalitaires, le sport a par ailleurs été un terrain d’affrontement idéologique. Ex : JO= théâtre des guerres diplomatiques. 1980’s : sport se détache de l’Etat et s’inscrit dans une logique de marché. Sport moderne= violence, dopage, corruption. * Valeurs

ce n'est pas du réel ? L'artiste nous permettrait il pas d’accéder à une certaine forme de réalité ? Son but ne serait il pas de nous faire accéder à une nouvelle forme de réalité, plus celle que nous percevons ? Serait il la création d'un nouvel univers ? Nous verrons donc dans un premier temps que l'art imite la réalité, et donc pour être plus précis la nature. Pour ensuite affirmer que l'art ne peut être imitation de la réalité, du faite de la complexité de celle ci et de la place émotionnelle

monde d’en-bas: instincts, pulsions, colères, contradictions, pulsions, angoisses, désirs… -) sous l’éclairage impitoyable des projecteurs Pas de beaux costumes, bas de décors bourgeois, des objets sont cassés sur scène Plongée brutale dans notre univers grotesque et mesquin Il souligne le sous-réel, l’hypocrisie sociale Il ne cherche pas à embellir quoi que ce soit, mais à montrer la laideur, les motivations secrètes, les aspirations les plus viles… “La Cantatrice Chauve” Critique du langage

mouvement fut popularisé dès le début des années 1980 grâce à des courants littéraires et cinématographiques décrivant un monde lugubre, souvent post-apocalyptique, où la société est contrôlée, via une technologie futuriste, par une multinationale totalitaire. On y décrit souvent l’image d’une société postindustrielle ou apocalyptique ayant en quelque sorte été engloutie par le cyberespace et les technologies. À la tête, le Système, ’âme dirigeante de la société domine la vie des gens « ordinaires «