Universalité De La Poésie

science. Elle laisse aussi l’objet libre. Elle cherche à transformer l’objet en idée universelle et concept. Elle cherche à saisir le concept de l’objet dans ce qu’il a d’universel. L’objet de la science, c’est l’idée du sensible, son essence, son universalité, son concept, sa loi. La science cherche la pensée, l’universel absolu, l’idéalité absolue de la pensée. A/ L’objet du désir, c’est la matérialité concrète, indépendante, immédiate du sensible, c’est le sensible dans son extension empirique

grande maîtrise technique pour créer des oeuvres qui, paradoxalement, n'ont pas de fins utilitaires immédiates. On les range dans l’un ou l'autre des sept «　beaux-arts　» que sont : l'architecture, la sculpture, la peinture, la musique, la danse, la poésie et, le plus récent, le cinéma. Nées de l'activité créatrice d'un génie, elles expriment la pensée et la sensibilité de l'artiste et à travers lui, celles d'une époque et font l'objet d'un jugement esthétique qui en apprécie la beauté et qu'on nomme

des personnages face au deuil révélant la difficulté de gérer l’incompréhensible et l’inacceptable. Face à l’incontournable et à la peur de la mort, nous ne pouvons qu’être seuls. Un point semble relier tous les personnages et constituer une universalité du deuil. La perte d’un enfant est tellement contre nature et choquante que non seulement les personnages en sont à jamais transformés mais en plus ils n’arrivent plus à s’exprimer par les mots de tous les jours qui leur paraissent vides de sens

d’accès à la réalité mais plutôt un éloignement. C’est un artifice qui nous égare et nous met à distance de la vérité et qui se donne comme étant cette réalité avec tous les effets de distorsion possibles. D’où la méfiance de Platon La question de la poésie, et plus spécialement sous sa forme tragique, revient deux fois au cours de la République. A la fin du livre II (p.130) Platon reproche à Hésiode et à Homère d’avoir écrit des choses fausses à propos des dieux et constate que ces histoires ont toujours

"Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant..." De même qu’il existe une porte d’entrée dans la poésie moderne « nommée » Baudelaire, une autre transitant par l’œuvre de Mallarmé, et une autre par celle de Rimbaud, il existe une entrée Apollinaire… A des titres différents, tous ces poètes sont « de grands commenceurs », pour reprendre un mot de René Char, même si, en chacun d’eux, l’esprit de crépuscule est également à l’œuvre… Apollinaire entre deux mondes C’est, me semble-t-il, à la porte

(Tomachevski). Une œuvre doit capter l’intérêt du lecteur (thèmes universels et atemporels, thèmes actuels), tout comme son attention (sympathie) * Rapport entre fable et sujet : œuvres à sujet (nouvelles, romans, épopées, etc.) ≠ œuvres sans sujet (poésie, récits de voyage). Fable= l’ensemble des événements liés entre eux qui nous sont communiqués au cours de l’œuvre. On peut résumer la fable par ordre chronologique, peut-être d’une manière différente de comment elle est présentée dans l’œuvre.

BIOGRAPHIE non exaustive .............................................................................................. 14 CONFRONTATION ...................................................................................... 16 RELATIVITE / UNIVERSALITE...SUBLIME ......................................................................... 16 CULPABILITE ........................................................................................................................... 18 CRITIQUE ........

d'artistes comme Bosch, Uccello, Arcimboldo, Blake, Redon, Chagall ou Klee. Les premiers artistes surréalistes venaient du Dadaïsme et étaient entre autres Duchamp, Ernst, Arp ou Miro sans oublier Dali. Leur but était que la peinture "fasse partie" de la poésie. En général on peut distinguer deux tendances dans la peinture surréaliste: -d'un coté, il y a les artistes comme Dali ou Magritte, qui essayent de peindre des objets de la vie courante d'une manière réalistes mais dans un contexte nouveau et

de déconstruction n’aboutit pleinement que dans la deuxième partie du XIXe siècle, en particulier dans la poésie de Rimbaud. Entre révolution romantique et modernité poétique, elle se situe à un moment charnière de l’évolution et de la conception des genres. Ainsi, dans Une saison en Enfer, le jeune poète brouille les frontières entre deux genres a priori opposés : la poésie lyrique et la poésie épique. Remettant en cause l’évidence d’un « je lyrique » romantique, fondé sur la subjectivité et l’introspection

notre question. Or nous émettons un doute sur la possibilité d'obtenir de telles connaissances par les sens comme par la raison et comme par les deux. Alors, pourquoi ne pas chercher le degré de nécessité d'une connaissance ailleurs que dans son universalité ? Doit-on en revenir à l'empirisme ? Comment vivre sans connaissance certaine ? Il ne paraît pas concevable qu'un homme puisse vivre sans avoir une certaine idée et une certaine foie de et en la vérité de ses connaissances. C'est au nom de