Utilitarisme

Tout d’abord, d’un point de vue utilitariste, plus précisément selon Bentham, pour qu’une guerre soit juste, il faudrait qu’elle soit déclarée dans le but de satisfaire l’intérêt commun. Elle devra donc défendre une cause qui soit profitable à tout le monde et non uniquement que pour quelques individus. En d’autres mots, il faut que cette cause soit directement liée à l’intérêt collectif et non privé. Pour se faire, celle-ci devra respecter le principe de moralité, ou encore, le principe d’utilité

La raison semble être la faculté de calculer et de penser correctement, d’amener l’homme à prendre les meilleures décisions en agissant de manière juste et morale. En effet, comme le dit Malebranche : « Je vois que deux et deux font quatre et qu’il vaut mieux préférer son ami à son chien ». La raison est censée nous faire du bien, et nous mettre à l’abri du mal. Or depuis le XXème siècle elle est soupçonnée d’avoir contribuée aux pires catastrophes telles que la seconde guerre mondiale. Le mal est

N’y a-t-il que l’intention qui compte ? Lorsque nous offrons un présent, il peut ne pas être à la hauteur des espérances du destinataire alors que nous avions la conviction qu’il serait idéal. C’est dans ce cas que l’expression « C’est l’intention qui compte » peut être utilisée. En effet, notre volonté de bien faire peut être différente de la réelle valeur du cadeau aux yeux du destinataire et être moins apprécié que ce que l‘on pensait. Même si cette attention part d’un bon sentiment , il est

L'éthique utilitariste La théorie éthique du devoir de Kant est l’une des approches les plus importantes dans la délibération éthique aujourd’hui. Mais ce n’est pas la seule. La pensée utilitariste a aussi eu une énorme influence sur notre manière d’envisager les normes morales. L’idée fondamentale de cette approche pragmatique est que la valeur morale découle de l’utilité d’un acte c’est-à-dire de ses conséquences avantageuses. L’utilitarisme a pris naissance en Angleterre et on pourrait dire

Un député a-t-il le devoir moral de renoncer à ses convictions pour les intérêts immédiats du plus grand nombre, aussi bien les siens que ceux de son parti et de la population en général? La morale utilitariste est-elle en mesure de nous éclairer sur cette quesiton? Le problème qui se pose ici est la protection juridique de toute contestation, ou non, du nouveau Colisé à Québec. Suite au projet d'une loi visant à le protéger, trois députés du Parti québécois ont donné leur démission afin d'exprimer

Depuis plusieurs années, le monde a connu une belle évolution, que ce soit à travers la technologie, les moyens de transport ou de différentes autres manières. D’ailleurs, depuis environ 10 ans, l’électronique a renouvelé entre autres les casettes VHS en disques vidéo compacts pour se transformer en disques haute définition. Le domaine médical a aussi beaucoup changé ainsi que le domaine biotechnologique. En effet, les scientifiques sont maintenant capables de modifier la nature. Plusieurs s’opposent

LES DELIAISONS DANGEREUSES SOMMAIRE : |INTRODUCTION |Page |6 | | | | | | | | | |PREMIERE PARTIE : OBJET DE L’ETUDE

Une bonne partie du débat qui oppose la théorie de la justice comme équité à la théorie utilitariste concerne les conceptions divergentes de la personne : telle est la thèse que nous essayons de défendre dans ce papier. Agent moral, agent économique, rationnel ou raisonnable, citoyen libre, conception volontariste de la personne, individu égoïste ou à la recherche de ses propres intérêts, somme de désirs, moi libre et indépendant ou moi empirique… Les interprétations sont multiples et les domaines

Kick-ass Contrairement à Bruce Wayne pour qui la création du personnage de Batman est une démarche personnelle réfléchie visant à constituer une figure mythique supra humaine qui frappe l’imagination de terreur et de respect, le père et la fille de Kick-ass ne crée leur personnage que par opportunisme lorsqu’ils voient combien le personnage de Kick-ass est populaire dans l’opinion. Pour eux, il s’agit de brouiller les pistes pour leurs ennemis pour n’être reconnus que le plus tard possible

L’école classique  L’école classique repose sur : le libre arbitre l’hédonisme le contrat social le rationalisme  Les grands principes : - Une justice égale pour tous - Les lois doivent être écrites et codifiées donc tout le monde les connaît - Les lois doivent être sûrement et obligatoirement correctement appliquées - Pas de crimes et de peines qui ne sont pas définies par la loi - Les peines doivent être proportionnelles à l’acte  Deux philosophes ont une vision différente : Jeremy