Variations énigmatiques

trois chansons pour baryton et accompagnement sur des poèmes de Paul Morand-dernière œuvre achevée de Maurice Ravel- Une des œuvres les plus célèbres : Extrait de la partition du Boléro Il s’agit du Boléro. Cette œuvre doit sa tenue à la seule variation des timbres et à un immense crescendo de l’orchestre. Considéré modestement par le compositeur comme un simple exercice d’orchestration, le Boléro est une des œuvres musicales les plus jouées au monde de nos jours. Initialement ce Boléro était

la visite. Le gaz carbonique des respirations, l’humidité introduite depuis l’extérieur, les variations de température, les germes et spores des semelles des chaussures, ont rendu « malades » les peintures. Des algues vertes, de la mousse, des champignons ont poussé, de la calcite blanche a voilé les dessins. La grotte a été fermée en 1963 par Malraux. Le fac-similé a été inauguré en 1984 par Jack Lang. J’ai assisté aux premiers résultats de la stéréophotogrammétrie tentés par l’IGN avec le concours

la culture a un sens anthropologique , eduquer ces desirs c'est constuire son humanité. a mesure que nous grandisson les besoin sont toujours la comme le fait de s'alimenter mais la maniere dont nous satisfesons change. cela veut dire que cette variation autour du besoin est une elaboration des desirs . on retrouve l'ambivalence du desir le manque a etre est un manque existentiel. on ne manque pas de qqch en particulier mais on manque tjr de reconnaisance et c'est dans ce manque qu'on s'affirme

fantastiques. Cette entrée par l’énonciation est très productive en matière d’interprétation des textes. • Travail sur le fantastique « J’veux voir le Père Noël » mis à part, les quatre autres textes permettent une approche du fantastique avec des variations intéressantes. On exploitera d’abord les effets de réel propres à chacun des textes (voir ci-dessus) pour relever ensuite les phénomènes étranges (une voix provenant d’une ligne téléphonique en dérangement, une mort mystérieuse où le cadavre est

des points de vue +utilisation style indirect libre- amplification épique des lieux, despersonnages, des objets. | -harmonie dans les sonorités- vers classique, vers blanc, vers libre- symboles dans les images poétiques- utilisation d’un langage énigmatique | Ecrivains & œuvres | Lamartine (Méditations poéti-ques,1820) ; Hugo (Hernani,1830),Musset (Lorenzaccio,1834), Chateaubriand(Mémoi--res d’Outre-tombe, 1848) | Balzac (La Comédie humaine,1842 –1848) ; Stendhal (Le Rouge et le Noir1830) ; Flaubert

l’étrange. Avec lui, le monde entre dans l’univers des enfants, accueilli par celui qui lui ouvre les bras et ignoré des plus éloignés encore tout à leur jeu. La force de ces images ne semble pas ici relever du domaine documentaire, mais d’une fiction énigmatique, transfiguration du réel, fruit de la rencontre de l’intuition du photographe et du surgissement du hasard. On peut y reconnaître le « hasard objectif » ainsi défini par André Breton dans L’Amour fou (Gallimard, 1937) : « forme de manifestation

clinique. 1 2. Une scène sans « moteur » ? Ce qui peut à juste titre surprendre le spectateur, c'est l'aspect saccadé des différentes répliques. Observons d'abord quelques répliques prises isolément. • A priori encore une fois, les répliques sont énigmatiques lorsqu'on les découvre (effet de surprise voulu par l'auteur) => ex la réplique initiale (« On lui a déjà changé le moteur trois fois » Problème avec les pronoms. Le pronom a pour fonction de remplacer un nom. Or ici, étant donné que c'est la toute

mètres de côté, amène deux réflexions : les deux sujets du tableau n'en occupent pas le centre mais sont déportés à droite et à gauche, encadrant un ensemble d'objets qui semblent hétéroclites au premier abord ; à leurs pieds se trouve un objet énigmatique et comme étranger au reste du tableau même s'il en occupe le premier plan, comme si Holbein avait utilisé le portrait pour mettre en valeur autre chose que les personnages qui donnent leur nom à l'œuvre, et dont l'un, Dinteville, est le commanditaire

ces quelques lignes, à la fin du récit (p. 147), Maigret explique à Leroy, son collègue, comment il a mené son enquête. C’est aussi un indice sur la façon dont Simenon écrit un roman, se laissant conduire par une atmosphère et des personnages énigmatiques qui lui plaisent, l’attirent ou le fascinent et qui servent alors de trame à l’histoire. On comprendra qu’ici ce personnage est Emma dont l’histoire lui permet de comprendre ce qui s’est déroulé des années plus tôt et les liens entre ces événements

Dans ces quelques lignes, à la fin du récit (p. 147), Maigret explique à Leroy, son collègue, comment il a mené son enquête. C’est aussi un indice sur la façon dont Simenon écrit un roman, se laissant conduire par une atmosphère et des personnages énigmatiques qui lui plaisent, l’attirent ou le fascinent et qui servent alors de trame à l’histoire. On comprendra qu’ici ce personnage est Emma dont l’histoire lui permet de comprendre ce qui s’est déroulé des années plus tôt et les liens entre ces événements