Variole

(indélébile). Les fibroblastes activés par le travail de cicatrisation deviennent fibrocytes. Ils construisent une marque d’abord rouge, puis blanche, dépigmentée, moins souple et insensible. Lors de maladies infectieuses bulleuses (varicelle, zona, variole) ou eczéma, le derme est atteint, la bulle laisse une marque définitive. Idem acné si la pustule est traumatisée. • Les plaies profondes avec perte de substance Par défaut de vascularisation sont : les ulcères de jambes, les escarres

dans l’effondrement démographique des Amériques au XVIè siècle. Les chercheurs pensent que dès la 1ère moitié du XVIè siècle, plus de 80% de la population amérindienne succombe : travail forcé, syphilis apportée par les conquistadores, ainsi que la variole font des ravages. Un bouleversement social et culturel des peuples du Nouveau Monde peut donc être observé. Ces civilisations disparaissent : Mexico a recouvert Tenochtitlán. Toutefois, des traditions sont restées vivaces. Dans les Andes on continue

soviétique. Il est né sous le nom de Losif Jughashvili le 18 décembre 1878 à Gori en Géorgie, qui faisait partie de l'empire russe après 1801. Ses parents étaient artisans, pauvres, et son enfance a été difficile. À l'âge de 7 ans, il a contracté la variole. Il survit, mais sa peau est restée couverte de cicatrices. En 1894-99, il suit les cours d'un séminaire théologique orthodoxe à Tbilissi, mais en est exclu parce qu’il était radical. Il adopte alors une vision athée du monde et, en 1899, rejoint

surtout intéressés par l’or qu’ils découvrent en quantité. L’exploitation de ces richesses est fondée sur le travail forcé des indiens. Des millions d’Amérindiens meurent à cause des mauvais traitements et des maladies apportées par les Européens (variole). Par manque de main d’œuvre, ils vont donc chercher des esclaves d’Afrique. Des plantations sont créées (cannes à sucre, tabac) et des mines d’or sont exploitées. Mais ces conquêtes et l’exploitation des nouveaux territoires provoquent des maladies

ils ont eu à faire face à la même réalité : La rencontre de la civilisation du métal contre la civilisation de pierre. Ils ont tous été exposés aux microbes apportés par les Européens tels l’influenza, la rougeole, la coqueluche ainsi que la variole. Mise à part le fait que la majorité des indigènes aient été décimés par les maladies, il semble que le stade d’évolution au niveau du type de société ait été un facteur déterminant à la résistance coloniale. Plusieurs caractéristiques, tant politiques

l'occupation par les Britanniques de terres aborigènes. Selon l'historien Geoffrey Blainey, pendant la colonisation de l'Australie : « dans mille endroits d'isolement il y avait les décès occasionnelles par le pistolet et la lance. Encore plus mauvais, variole, rougeole, grippe et d'autres nouvelles maladies balayés de l'une communauté indigène à l'autre… Le conquérant principal des aborigènes était la maladie et la démoralisation. Les maladies européennes tuèrent des Aborigènes en grand nombre et l'occupation

infectieuses restent une des principales causes de mortalité notamment dans les pays en voie de développement ▪ Malgré les progrès en terme de traitement et de prévention, il n’y a finalement que très peu de maladies infectieuses éradiquées (Variole…) ▪ La situation aurait même tendance à s’inverser: ▪ Réémergence de pathologies « anciennes »: tuberculose, syphilis, maladie du charbon en relation avec des changements comportementaux humains ▪ Émergence

universel ? Au cours de sa vie, tout individu a des maladies successives ou simultanées, des altérations de son état de santé . Tout individu est exposé à des causes extérieures, le prédisposant à être malade ( causalités environnementales: peste, variole , intoxications alimentaires Tout individu a des prédispositions très varies et spécifiques et des protections plus ou moins efficaces contre la maladie: prédispositions génétiques ( hémophilie), immunité qui varie en fonction des populations (

n’en restait plus que 2.7 millions en 1570 !Les mois de siège laissent Tenochtitlàn dans un état lamentable (pillages, monceaux de cadavres, manque d’eau potable…). A ceci s’ajoute le choc microbien . Les Espagnols contaminent les Indiens (typhus, variole). Les épidémies font des ravages bien au-delà de la conquête : en 1531-1532 et surtout en 1545-1548 et jusqu’au XVIIe s. La détresse morale (ravages de l’alcool, suicides…) vient accentuer la chute démographique. La colonisation prend alors différents

le virus de l ’hépatite B ‐Paludisme d ’importation dans les départements d ’Outre‐mer ‐ Suspicion de maladie de Creutzfeld‐ Jacob et autres ESST (encéphalopathie subaiguës spongiformes transmissibles) Maladies rares ou disparues : Plan BIOTOX : Variole ‐ Charbon ‐ Choléra ‐ Fièvres hémorragiques africaines ‐ Peste ‐ Typhus exanthématique ‐Tularémie ‐ Botulisme ‐ Brucellose Surveillance nationale renforcée : Tétanos ‐ Paludisme autochtone ‐ Poliomyélite ‐ Rage ‐ Dengue ‐ Chikungunya ‐ Diphtérie ‐