Vengeance

Rodrigue – Chimène – Elvire Rodrigue apparaît et lui propose de le tuer, mais Chimène lui dit de s’en aller et qu’elle ne le hait point. Rodrigue s’en va. Scène 5 Don Diègue Don Diègue craint la vengeance des amis du comte. Scène 6 Don Diègue – Don Rodrigue Don Diègue félicite son fils, mais Rodrigue lui confie tous ses malheurs. Don Diègue demande à son fils de prouver au roi qu’il est un bon chevalier. Acte IV Scène 1 Chimène

bonheur et son avenir. Ses 14 années de prisons l'ont littéralement perverti. Le lien entretenu avec l'Abbé Faria symbolise le dernier lien qui le rattache à l'humanité. Dantès devenu le Comte de Monte-Cristo est totalement submergé par son désir de vengeance, et oublie tout ce que caractérisait l'homme qu'il était avant la prison. Le monde est désormais divisé en deux : Les amis, et les traîtres. Tout est alors mis en oeuvre pour satisfaire son désir vengeur. Chacun de ses ennemis sont éliminés ou

Emmanuel Lévinas dans « la loi du talion », l'homme est plus humain à mesure qu'il punit par sa justice pour réparer ce qui est réparable et rééduquer le méchant . Il faudrait donc une justice sans peine de mort. Lorsque la punition est synonyme de vengeance, la passion l'emporte sur le droit qui n'est plus juste (Hegel). La chanson de Michel Sardou « Je suis pour » parle de la loi du talion, « œil pour œil, dent pour dent » et nous voyons bien qu'elle n’aboutit qu'à un cercle infernal où le sang continue

phénomène de la vendetta qui est encore en pratique par certain famille dans cette région. La vendetta s’agit de la vengeance d’une famille envers une autre par la notion d’  « œil pour œil, dent pour dent ». Dans le cas de « La vendetta », la veuve veut tuer le meurtrier de son fils appelé Nicolas Ravolati. Un des passages qui expriment le mieux la grande place que prend la vengeance pour les familles sardes est celui-ci : « Va, va, tu seras vengé, mon petit, mon garçon, mon pauvre enfant. Dors,

pas" (scène 3). Don Diègue est hors de lui, il doit se venger (scène 4). Il demande à son fils Rodrigue de le venger en combattant le père de Chimène (scène 5). Le dilemme cornélien apparaît avec la conclusion suivante de Rodrigue : "Courons à la vengeance" (scène 6).


ACTE II
Le comte ne regrette pas son geste et ne craint pas la colère du roi (scène 1). Rodrigue retrouve l'offenseur de son père et réussit à le convaincre de se battre avec lui (scène 2). Chimène, en visite chez l'Infante, craint

origines Première période et la plus longue. Marqué par trois grandes idées, des idées de vengeance, d’expiation et d’intimidation. Mais évolution d’une justice privée à une justice publique. La justice privée = les personnes privées ont un rôle fondamental. Mais peu à peu l’Etat va s’accaparer l’exercice de la répression pénale ( Justice plus publique. I - La justice privée A) La vengeance privée Première forme que va prendre la répression pénale. A l’époque on considère que la

nouvelle littéraire La Meute La justice, où est-elle je vous le demande? Sans preuves, sans raison, mon père, on l’a fait pendre Moi, je crie à l’injustice. L’argent corrompu, c’est le pire des vices. À mes parents, je leurs ai promis vengeance; Maintenant, leurs assassins, n’auront pas de chance. Au bout de leur sang ils vont crier pitié; Ces quatre personnes, on ne va jamais les retrouver Au beau milieu des Appalaches, dans un village éloigné. Depuis quelques années j’ai prépare

Toujours l'argent et la vengeance...Dans son deuxième opus, Némirovsky quitte les affres de la vieillesse pour étudier les aspirations de l'enfance..Le Bal est considéré comme l'un des rares chef-d'oeuvre consacrés à la description des tourments de l'enfance, au même titre de Frankie Adamsde Carson MacCullers. Les Kampf sont une famille de parvenus récemment passés de la gêne à l'opulence grâce à de l'argent habilement placé en bourse. Pour "épater la galerie" et faire leur entrée dans le monde

                               Scène 4 --   Le monologue de Don Diègue Etudiez les questions à qui s’adressent-elles ? Le monologue de Don Diègue est composé de plusieurs questions qu’il s’adresse. Il demande à son ennemi s’il faut qu’il « mourir sans vengeance ou tombe mon honneur ». En général Don Diègue est très fâcher parce que il est sous l’impression qu’il se fait mal traiter par son ennemi (le comte). Il se rappel de son « cruel souvenir de ma gloire passé ». Il dit qu’il a sauvé cet empire tant

l’organisation sociale, il apparaît impérieux de pouvoir se défendre contre la violence et ses conséquences. Un 1er modèle pénal apparaît : Incluant une notion n’ayant pas besoin d’être juridique pour exister, notion de la « vengeance » : dans les sociétés premières, cette vengeance est avant tout privée, elle correspond à une réaction de l’homme dans l’état de nature. Le philosophe Spinoza nous campe cette état de nature : état où règne la loi du plus fort, l’homme est un être de désir et par conséquent