Verité Et Superstition

des humanistes contre l’ignorance, puis nous aborderons les nouveautés scientifiques qu’apporte l’humanisme, et enfin le rapport de l’humanisme aux croyances religieuses. L’humaniste lutte contre l’ignorance, en prônant comme valeur suprême la vérité. Il considère les humains comme des personnes pensantes, qui peuvent réfléchir et qui possèdent une conscience et un libre-arbitre. A ce titre, il souhaite que l’homme possède des connaissances, afin de les exploiter pour sa réflexion. Il est donc

signifie en grec ancien « amour de la sagesse ». La philosophie est une activité qui concerne tout les domaines si nous nous concentrons sur les idées, elle recherche continuellement la vérité. Cependant c'est aussi une activité critique car elle cherche à chasser les idées fausses. Ces idées ainsi que les vérités que nous découvrons peuvent modifier, parfois profondément, notre existence. Il faut tout de même préciser que nous formulons des idées spéciales, en effet il faut s'interroger, s'examiner

que le peuple a tjrs connu par instinct naturel, n’eût été l’effet de la superstition et de l’intrigue des prêtres. H : la religion n’a aucune immédiateté, aucune évidence naturelle et est le terme soit d’une chaine causale d’événements, soit d’une démonstrative de raisons. Polythéisme (non le théisme) comme 1ère religion de l’humanité, genèse du théisme populaire à partir du polythéisme et sous l’influence de la superstition, histoire condamnée à un flux et reflux incessant, interdisant la purification

touche tous les domaines reliés aux êtres humains par exemple l’économie, la politique, les technologies, la philosophie, etc. Avec ce courant, le passé et les traditions des anciens sont remis en question. Les croyances religieuses ainsi que les superstitions font dorénavant partie de la vie personnelle des gens. Les modernes utilisent désormais l’être humain pour comprendre le monde contrairement aux anciens qui définissaient l’humain par sa place et sa fonction au sein d’une société. Selon Piotte

agrandit notre puissance en nous donnant les moyens d’agir, de nouveaux moyens : des forces naturelles. 2) La science et le bonheur Au XVIIIème siècle, la confiance en la science naissante est grande : elle sortira les hommes des ténèbres, de la superstition, de l’injustice. Les lumières de l’esprit, c’est-à-dire la science partagée par tous, sera la source du renouveau humain sur tous les plans : matériel, politique, spirituel. Le bonheur sera la conséquence de notre puissance d’agir accrue par nos

entre le mensonge à but individuel et le mensonge à but collectif. Il affirme que le mensonge égoïste ne peut qu’être un mal alors que le mensonge servant l’intérêt de l’Etat est justifié. Or, seuls les gouvernants peuvent, selon Platon, falsifier la vérité car ils ont la connaissance leur permettant d’opter pour un choix rationnel. Les « particuliers incompétents » (Platon, La République) ne doivent pas mentir, car ils sont ignorants. L’Etat est la seule instance pouvant usé de cette pratique. De plus

Thucydide. Lorsqu’on évoque le « miracle grec » d’Athènes on parle d’une volonté nouvelle « d’éclairer des phénomènes ». Phénomènes : ce qui arrive, ce que l’on voit. Le passage du mythe à la raison est donc le passage de la croyance et des superstitions à la volonté de prouver/démontrer ce que l’on dit. Avec la volonté de raison apparaît l’examen critique des choses. Critique : avoir un regard objectif sur les choses, donner un avis argumenté/fondé, remettre en cause. Les Grecs inventent

universelle fut d'ailleurs créée par Diderot et D'Alembert, et représente un vrai travail de titan ! Si les Lumières ont su emprunter différents noms et visages, elles se reconnaissant partout dans ce combat commun contre les préjugés, les superstitions et les idées reçues qui, invariablement, nourrissent l’ennemi juré des philosophes du XVIIIe siècle : l’intolérance. Sortir l’homme de l’obscurantisme pour le mener vers les lumières de la Raison, voilà ce que souhaitent avant tout les défenseurs

domaine de philosophie spontanée peut être étudié : ce qu’on pourrait appeler le « folklore », composé de croyances populaires, de superstitions. Ainsi, porteraient malheur, parmi d’autres choses, les chats noirs, les échelles, le nombre 13, le pain retourné à table, le fait d’allumer 3 cigarettes avec la même allumette, etc. Si on étudie l’histoire de chacune de ces superstitions, cela change tout. Chat noir : animal des sorcières et incarnation du diable au Moyen Age. Echelle : elle dessine un triangle

lumières et de combattre les préjugé et divulguer la vérité. But : faire évoluer la société Les valeurs des lumières : La raison, l 18-19-37 La vérité, l10-14 La tolérance, l 37 L humanités l 37 Le respect l 35 La nature l 34 Les combats des lumières : _ l 3 l oppression, la dureté, la barbarie _la violence _ l indifférence, l inhumanité l 36 _ la tirani l 20-31, le despotisme _l Abu de pouvoir _l absurdité religieuse, la superstition, le culte _les préjugé l 16-4 Les armes que