Verité Et Superstition

prise de décision et la progression vers la connaissance ? Ou l’incertitude serait-elle , non pas un frein , mais un moteur pour la réflexion et l’accès à la vérité ? Le doute peut passer à première vue pour une faiblesse, une instabilité de la pensée. Douter, c'est reconnaître que l'on ne sait pas et que l'on ne parvient pas à atteindre la vérité. Celui qui doute peut sembler être dans un état de faiblesse. L'indécision et l'incertitude le dominent. On dit d'ailleurs qu'on "est dans le doute" comme

en propre", a rejeté dans l’ombre cette vérité ; – comme si, quand j’apprends ce que c’est que la substance, la cause, ou quoi que ce soit, – "je" ne pensais pas "moi-même", comme si "je" ne produisais pas "moi-même" ces déterminations dans ma pensée, et si elles étaient jetées en celle-ci comme des "pierres" ! - comme si, encore, lorsque je discerne leur vérité, je n’acquérais pas "moi-même" ce discernement, je ne me persuadais pas moi-même de ces vérités ! – comme si, une fois que je connais bien

suis dans le vrai et qu'un avis contraire au mien serait nécessairement faux. Dès lors on ne voit pas en quoi il serait nécessaire d'écouter l'avis autre que le mien que pourrait me donner autrui. Pourtant " j'ai raison " peut masquer un manque de vérité de mon propre savoir, manque que je ne pourrai combler sans prendre en compte l’avis d’une autre personne, d’où le fait d’exposer ses pensé pour ensuite recevoir l’avis d’autrui. On peut constater que cette question en contient réellement deux car

doit pouvoir être confirmé par l'expérience. Il semble donc que la savoir, la connaissance scientifique exclue la croyance, les superstitions. Certains affirme que différentes rationalités se valent. Ainsi, les vérités apportés par la religion ou par la science se vaudraient, elles ne représenteraient que différent point de vue, différents angles d'approche de la vérité. Or, la rationalité scientifique est là seule légitime dans ses domaines de compétences. En effet, elle seul est rigoureuse et

une loi garantissant la liberté de religion. Ù Recherche d'une société idéale, d'un despote (=monarque) philosophe, éclairé ž définition d'un gouvernement éclairé 2) L'attitude critique Une attitude critique dirigée contre les superstitions et les fables Ù Humanisme L'Eloge de la Folie d'Erasme ž critique le côté aberrant et fou du discours théologiques, ainsi que ses questions absurdes. Lettre de Gargantua de Rabelais ž critique de l'astrologie Naissance de Gargantua de

la science (« l'arithmétique ») car celle-ci peut aveugler : paradoxe puisqu'elle est censée éclairer le monde, aider à le comprendre ! Sa vision de la foi s'apparente plus à la superstition qu'à la religion : il évoque « le moine bourru » grâce à un présent de vérité générale + superlatif associé à l'idée de vérité (« il n'y a rien de plus vrai que le moine bourru »). Les adversaires de molière ont bien vu la malice de Molière ici : la foi est défendue par un valet ignorant, ridicule et superstitieux

seulement ‘’spirituel’’, c’est pourquoi le programme de terminale place le chapitre sur la religion ds le chapitre général sur la culture. Pour problématiser cette notion, ns pouvons ns arrêter sur deux points. D’une part, le croyant est certain de la vérité des propositions qu’énonce sa religion, par ex ‘’Jésus Christ est vrai Dieu et vrai homme’’, ‘’Il est vraiment ressuscité’’ etc. Ces propositions ne peuvent être prouvées ou démontrées, l’on ne peut qu’y ‘’croire’’ justement, ce qui peut sembler

ne nous paraît résumer l’idée principale du texte. Cette thèse, cependant, se dégage très clairement de l’étude des champs lexicaux dominants.             Le texte apparaît structuré par l’opposition entre les champs lexicaux du mensonge et de la vérité. Il y a deux parties distinctes dans le texte. Dans la première (lignes 1-11, les accusations) domine nettement un champ lexical du mensonge : « mensongers », « frauduleux »,  « égarer l’opinion »,  «acquitter sciemment un coupable » ;  auquel on

une nouvelle poésie. Ce nouveau mouvement de pensée permet d’amener, en conséquence, les abstractions de la poésie antique à la vérité et au réel. Face à cette vérité, on aperçoit que le laid existe á côté du beau, le grotesque au revers du sublime et le mal avec le bien. C’est-à-dire, le grotesque est quasiment obligé de s’imposer dans l’art pour représenter la vérité, car, Dieu a créé les deux parts. Supposons qu’on fasse abstraction du groteque, cela signifierait critiquer et rectifier Dieu. Mais

cultes religieux établis chez les différents peuples de la terre. Le culte extérieur suppose des cérémonies, dont le but est de frapper les sens des hommes, & de leur imprimer de la vénération pour la divinité à qui ils rendent leurs hommages. La superstition ayant multiplié les cérémonies des différents cultes, les personnes destinées à les remplir ne tardèrent point à former un ordre séparé, qui fut uniquement destiné au service des autels; on crut que ceux qui étaient chargés de soins si importants