Verité Et Superstition

affaires publiques sans la permission des magistrats ; leur art était absolument subordonné à la volonté du sénat ; et cela avait été ainsi ordonné par les livres des pontifes, dont Cicéron nous a conservé quelques fragments 10 . Polybe met la superstition au rang des avantages que le peuple romain avait par-dessus les autres peuples : ce qui paraît ridicule aux sages est nécessaire pour les sots ; et ce peuple, qui se met si facilement en colère, a besoin d’être arrêté par une puissance invincible

savoir selon Spinoza, les causes finales par conséquent ayant trouvé des moyens qui leur procurent ce qui leur est utile sur terre, ils sont forcés de penser que ceux-ci ont été déposé pour eux par une autre personne d'où la superstition. Ainsi, pour Spinoza la superstition est du aux préjugés. De plus, dans Race et Histoire Levi-Strauss explique ce qu'est l'ethnocentrisme c'est à dire le rejet et la dépréciation des autres cultures. Or, on peut penser que ce rejet provient éventuellement de préjugés

expression a priori contradictoire : on ne peut être l’esclave que d’autrui, d’un système économique ou politique. Chacun veut spontanément être libre et refuse d’emblée l’aliénation. Cependant, la liberté, la volonté peuvent s’enchaîner elles-mêmes : superstition, préjugé, mode, volonté d’ignorance, coutume, tradition, habitude, passion exacerbée et tyrannique (Dostoïevski, Le joueur ; Goethe, Les souffrances du jeune Werther) Paradoxalement, on peut vouloir librement ne plus être libre. Rousseau : « L’esclave

le rationalisme, sur la philosophie de Descartes. On pourrait craindre en effet avec ce sujet, une pure et simple récitation du cours. La question centrale : Pourquoi faut-il faire des mathématiques le modèle de toute forme de recherche de la vérité ? Pourquoi les mathématiques sont-elles un modèle de démarche rationnelle? Descartes définit ici ce qui fait la grandeur des mathématiques par opposition à l’incertitude de l’expérience. Le modèle déductif devant être celui de toutes les sciences

l'adhésion à une vérité révélée (par des textes religieux ou des prophètes), il s'agit d'un savoir dogmatique. Au contraire de la certitude sensible, ce que l'on perçoit pas les sens, ce qui suscite en moi l'objet d'un sentiment, par exemple « je crois en ce que je vois , du moins au moment où je le vois » ou encore « je crois à la douleur que je ressent, il serait inutile de me soigner si la douleur n'était qu'une simple vision d'esprit » qui est ressentie, la foi n'est que superstition. Elle est subjectivement

raisonnable et rationnel, on va pouvoir nuancer ce sujet. Cet extrait des Pensées, écrit par Pascal, est un texte philosophique où est évoqué la confrontation entre la foi, la croyance, et la raison. Par cette confrontation, vient également jouer la vérité, souvent expliquée par la raison, mais également par la foi. Pour soutenir cette thèse, Pascal use d’exemples, comme celui du rêve : l’explication que nous ne rêvons pas est « la faiblesse de notre raison ». La raison et le cœur ont chacun des connaissances

arts et de la culture. Les lumières c'est une métaphore : « Les lumières de la raison dissipent les ténèbres de l'obscurantisme ». La connaissance, la logique, la rationalité, l'intelligence, l'esprit critique permettent à l'homme d'abandonner la superstition. Les philosophes sont des engagés, ce sont des intellectuels. Ils veulent développer l'esprit critique. Ils prônent le progrès et le bonheur. Ils luttent contre l'absolutisme, contre l'intolérance, etc... => Gens instruits appartenant à une élite

Qu’elles sont les caractéristiques de la philosophie et qu’est ce qui caractérise le philosophe ? Thèse : C’est l’humanité qui caractérise la philosophie et le philosophe ; c’est l’esprit observateur, c’est l’amour de la vérité, l’affection du genre humain c’est l’indignation et la pitié des calamités qu’il éprouve.

La dernière phrase sépare la domination défendue dans l'esclavage de la liberté proposée par les Lumières => les 2 sont incompatibles ! * La première repose sur le domination et la soumission * La deuxième sur la raison, la liberté et la vérité ! CONCLUSION : Texte primordial au XVIII ème siècle parce qu'il provoque des prises de consciences quant à l'illégitimité entre les rapports de domination. Permet aux Hommes de réaliser que la soumission sociale n'est pas une fatalité et que par

sentiment accompagnant une connaissance fondée, vrai. * Une opinion : affirmation non-vérifiées, non-fondées à propos de tout. * Une croyance : adhésion réfléchies à des idées, des vérités indémontrables. * Assujettis : rendre esclave. * Asservissement : esclavage. * Dogme : vérité in démontré que le croyant doit admettre sans preuve. * Juger : penser. * Andro : l’homme. * Antropo : l’humanité. * Géo : terre. * Ethno : culture. * Sophoi :