Verité Et Superstition

 Humain, trop humain ,Nietzsche 1878 La science est enorme, car qu’elle nous permet de découvrir des vérités. Mais il suffit d’une remise en cause d’une des vérités scientifiques pour qu’au contraire on croit plus totalement la science. Quelle est la valeur de la sciences ? c'est le problème que se pose et résoud Nietzsche dans ce texte extrait d’Humain, trop humain ,1878. Le philosophe veut montrer que dans la science, les méthodes sont

croient en ce qu'elle a envie. nous somme libre de croire et de penser ce que l'on veut. Une question se pause, peut on ne pas croire et en avons nous la possibilité et le droit? Dans un premier temps nous verrons qu'on crois en ce que l'on sait. une vérité fondé par des preuves, dans un second temps qu'on peut ne pas croire dus à un manque d'information et de connaissance et dans un dernier temps qu'il est possible de douter de la croyance de quelque chose, on ne sait pas si on doit y croire ou non

encyclopédie. Il apparaît ici que la description de la plante, qui nous fait sourire, n'est qu'introduction à une réflexion de Diderot sur la vérité et la vraisemblance. L'article est en effet conçu comme un ensemble de recommandations méthodologiques posant les principes d'un raisonnement simple et comme les étapes d'une recherche qui est celle de la vérité. IV. Analyse 1°§ Le paragraphe commence sur une note ironique grâce au choix de la comparaison (l.2). La première ligne précise la nature

  Arguments :les exemples peuvent toujours être réfutable et établir une vérité ne peut pas être fait qu’à partir d’exemple, mais un exemple peut réfuter une réfuter une vérité. ·         Exemple mathématique et moral : « 2 fois 2 font 4, et qu’il faut préférer son ami à son chien ». Tous les hommes appartiennent à une vérité parce qu’il possède la Raison ; qu’il s’agisse d’une vérité mathématique ou même d’une vérité morale. Il se réfère à une intuition sensible « et je suis certain qu’il y a

des lumières Registre : Didactique ( enseigner ) , satirique ( attaque moqueuse ) * Structure : L.1 à 5 : Intro thèse, didactique présent de vérité générale. L.6 à 7 : Changement de ton , paradoxe , satirique ? Intro de l'anecdote. L.8 à 24 : Passage narratif , histoire racontée au passé. L.25 à 30 : Conclusion. Argumentatif. Présent de vérité générale. Il s'agit donc d'un apologue. Apologue : Court récit qui visent à démontrer ou d'illustrer une leçon de moral ou un principe philosophique

utile pour de multiples sujets. La démonstration est l’opération permettant d’établir une proposition ou une théorie en s’appuyant sur des preuves et/ou une argumentation appropriée. La présentation d’une démonstration dès lors que l’on recherche la vérité est parfaitement légitime. Pourtant elle est parfois trompeuse, parfois vouée à l’échec : on ne peut tout attendre de la démonstration. La logique : a été élaborée par Aristote (384-322) au 4ème siècle av. J.C. Cette invention avait pour objectif

donc que la compréhension du monde relève de la seule raison, reniant, pour beaucoup, la notion de Créateur. Sur le plan politique, ils considèrent que les prêtres participent à la domination des princes sur les peuples, régnant sur eux par la superstition. L'école de Padoue conteste en particulier la notion de miracles et d'oracles, affirmant la seule existence du déterminisme naturel[]. Alors que la monarchie française repose sur une légitimité divine, on comprend facilement la menace que pouvaient

→ André comte Sponville : la vie avec la vérité comme norme → Gramsci : la manière dont on conçoit le monde et dont on agit sur lui → Russel : se libérer des préjugés, questions qui restent insolubles dans les autres sciences et qui ne sont pas encore résolus → Jaspers : tout ce qui existe et la situation de l’homme dans l’être, les questions que posent les enfants A quoi ça sert ? → André comte Sponville : procurer le bonheur dans la vérité, sagesse, béatitude → Gramsci : être son propre

l'illusion religieuse. - c’est en rompant avec les explications religieuses ou les mythes, bref les approches de la foi, de la croyance religieuse que la pensée scientifique ou philosophique est née ( la loi des 3 états de A. Comte) - le souci de la vérité, exigence de la raison, s'oppose à l'adhésion de la croyance : « Penser n’est pas croire » Alain ; la raison invite à la distance critique, au doute.. Transition : la croyance semble donc contraire à la raison aussi bien dans ses fondements

RELIGION ET SUPERSTITION, LES DEUX SŒURS 1. DES JUMELLES ENNEMIES J’imagine la religion et la superstition comme deux soeurs qui cheminent ensemble, côte à côte, tantôt complices ou de connivence, et c’est grave, tantôt en se disputant ou en se chamaillant, et c’est mieux. Je suis incapable de désigner l’aînée, de déterminer celle qui est venue en premier : faut-il voir dans la superstition une religion déformée, pervertie, qui a mal tourné, soeur cadette indigne et jalouse d’une belle