Vertu

 Menon demande à Socrate si la vertu s’enseigne si elle s’acquiert par l’exercice, si elle est un don naturel ou si elle peut advenir d’une autre façon encore. Socrate lui répond qu’ignorant ce qu’est la vertu, il ne peut rien dire à ce sujet. C’est à Gorgias qu’il faudrait s’adresser ; sans doute avait-il fourni une réponse du temps qu’il était à Athènes, mais Socrate ne s’en souvient plus. Il incombe à Menon de rappeler ce que disait ce grand orateur ou d’élucider la question pour son propre compte (70a-71e)

Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s'enseigne ou, sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est donc celle de l'essence de la vertu. Néanmoins, après plusieurs vaines tentatives de réponse, Socrate et Ménon examinent la question plus générale encore : la connaissance est-elle seulement possible ? Et comment ? L'interrogation sur la vertu se poursuit dans un troisième temps, avec l'examen de

de sa vertu Convaincre de sa vertu et de sa fidélité (l.8/9). Elle tente de rassurer son mari qu'il n'est pas cocu (l.3) (l.10/11). Emploi des deux négations: renforce le contrôle permanent qu'elle exerce sur elle-même pour préserver sa vertu. (l.14/15)>Elle ne passera jamais à l'action. Il garde son honneur public, notion essentielle du XVIIème. Lexique codes moraux: conduite innocence, intentions (pureté d'intentions, Jésuites), digne, estime, admiration. Vb volonté: affirmation vertu (l.10

meurtre ? L. semble dans ce dialogue en plein état de crise : il ne croit plus en l’homme et semble désabusé. Déçu par les hommes, il constate dans une interrogation rhétorique qui résonne comme un octosyllabe que l’humanité n’a plus d'honnêteté ni de vertu. A ce point de l’action le spectateur peut se demander si L. va passer à l’acte ou s’il va continuer à porter un masque et à jouer au corrompu car les hommes l’ont déçu. Il pense que son meurtre ne servira pas. Intérêt psychologique Un être solitaire

sont les vertus. Le mot vertu vient du mot latin « vir »: force, excellence. Saint Thomas d’Aquin définit la vertu comme « habitus opératif bon ». La vertu est une manière d’être stable, qu’on peut acquérir par la répétition de bonnes actions. On n’acquiert pas une vertu avec une action isolée ni on peut parler des vertus innées. La vertu perfectionne les puissances (les capacités) de la personne et facilitent le bien agir (exemple : travail). Le contraire est le vice. Classement des vertus : - Intellectuelles

soleil ait vu » disait Saint François de Sales en parlant de saint Louis. Pour avoir droit à pareil éloge et être vénéré de l’Eglise entière, la sainteté de notre roi ne devait pas être ordinaire. Nous tenterons de l’étudier par l’illustration des vertus qu’Il nous donna. Grâce du baptême C’est par le baptême que notre roi était devenu chrétien, sanctifié par la grâce. Cette grâce qui nous rend enfant de Dieu, Saint Louis l’avait en si grande estime, qu’il aimait, en souvenir de son baptême,

s’agit de l’âme, effectivement Socrate dit : « […] l’âme aussi, si elle veut se reconnaître, devra, n’est-ce pas, regarder une âme et surtout cet endroit de l’âme où se trouve la vertu de l’âme, la sagesse, ou tout autre objet qui lui est semblable. » Pour appuyer ses dires, Socrate fait remarquer à Alcibiade que la vertu est constituée de deux éléments, c’est-à-dire le dieu et la pensée, c’est aussi à ce moment qu’on va être apte à mieux se connaître et donc prendre soin de nous. Au final, on peut

le bonheur parfait doit être conforme aux vertus de l'âme rationnelle. Le bonheur c'est une certaine vie pratique de la partie rationnelle de l'âme: on peut entendre deux sens différents.les deux sens sens sont: au sens où l'âme est soumise à la raison, de l'autre ou l'âme possède la raison. Cela renvoie à la téorie aristotélicienne des parties de l'âme. L'âme est une et indivisible, mais pour des raison dexplicitzitons on peut distinguer différents vertus en fonctions de différents parties. La partie

des lois ? L’appétit du pouvoir ne fournit-il pas la preuve que le bonheur augmente à mesure qu'on est moins tenu de rendre des comptes à la justice et aux autres hommes ? I. L'injustice procure plus sûrement le bonheur que la pratique de la vertu La vertu ne vise pas le bonheur mais l'accomplissement de notre devoir. La justice n'est pas le moyen d’être heureux mais une fin en soi qui nous prémunit pas du malheur. En revanche l'injustice parce qu’elle ne recule devant rien fait usage sans état

comme le montre les phrases « que sont devenus ces toits de chaume et ces foyers rustiques qu'habitaient jadis la modération et la vertue » L.3/4 et « simplicité romaine » L.5. Durant l'époque du passé radieux, les romains étaient les maîtres des nations. Leur décadence morale va entraîner la chute de l’empire. Les romains se doivent, selon Fabricius, de pratiquer la vertu pour se montrer dignes de la puissance dominatrice que les dieux leur ont accordé et pour servir d’exemple aux peuple conquis. On