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INTRODUCTION Souvent, les gens font de gros voyage pour défiler le temps, sortir de l'ordinaire et surtout en apprendre d'avantage sur différentes cultures. C'est normal car on veut toujours enrichir nos connaissances. Les humain sont curieux. Cependant, nous pouvons le faire sans voyager. Montréal est une ville multiculturalisme. Depuis, des générations il y a plusieurs communautés culturelles qui y arrivent. Alors, on peut y trouver du dentifrice pakistanais, assister à une cérémonie vandou

Français 1ère ES5 PLANNING DE TRAVAIL – RENTREE DE JANVIER Nous commençons à la rentrée de janvier la séquence sur la poésie. Vous aurez un travail personnel de recherche et surtout de révision à fournir. Nous ne pourrons pas revoir en détail, par exemple, toutes les notions de versification ou toutes les figures stylistiques. Vous pouvez (et devez) revoir ces notions dans vos cours de 2nde et dans votre manuel : les figures stylistiques : fiches 6 et 7 (p.534-534) ; les registres

car celle-ci a marqué les deux derniers siècles de l’histoire littéraire : les guerres ont souvent été des périodes très florissantes de la poésie engagée avec des poèmes comme Le mal ou Le dormeur du val de Rimbaud mais aussi Le déserteur de Boris Vian qui, au XIX siècle comme au XXème siècle ont poussé une plainte, un cri pour dénoncer l’horreur du premier mal du monde. J’ai ensuite décidé de présenter dans un même ensemble deux poèmes de deux auteurs ne s’étant jamais connu mais dont les poèmes

A chap XXI L'écume des jours de Boris Vian, lecture analytique chapitre XXI (Depuis « L'église n'était pas trop éloignée » à la fin) Introduction: Sacrement religieux, le mariage est également un motif récurrent dans les grands romans du XIX°. Le mariage de Georges Duroi à la Madeleine dans Bel Ami de Maupassant est ainsi l'occasion de souligner l'ascension sociale du héros. Il en va tout autrement dans L'écume des jours, roman publié par Boris Vian en 1947. Si le mariage, consécutif au coup

Edeline Paul-Emmanuel PCSI2 Français : Boris Vian, "Le déserteur" : Monsieur le président Je ne veux pas la faire Je ne suis pas sur terre Pour tuer de pauvres gens "Le déserteur" est une chanson écrite pas Boris Vian, connu pour son antimilitarisme. Publiée en 1955 lors de la guerre d'Algérie, cette chanson est un chant de protestation contre la guerre en général. Ce poème, sous la forme d'une lettre direct au président de la république, affirme le refus de partir à la guerre d'un jeune

Victor Hugo, Châtiments, « II » publié en 1853. Puis « Ce cœur qui haïssait la guerre » de Robert Desnos, écrit pendant la Seconde Guerre mondiale, publié de façon posthume dans le recueil Destinée arbitraire en 1975. Pour finir avec le poème de Boris Vian, « A tous les enfants » de 1954 à 1959. Nous comparerons les points de vue sur la guerre dans ces différents textes. Pour commencer dans une première partie nous parlerons de la guerre, de ses difficultés et autre. Puis dans une seconde nous exposerons

de sujet à traiter. Nous avons choisi ces poèmes, car ils collent bien au thème de la révolte. Et aussi parce qu’ils représentent bien les différentes visions qu’on peut avoir de la guerre. De la désertion dans « Le déserteur » de Boris Vian Vous verrez que ce devoir est illustré. Ces images ont été choisies car elles illustrent bien les poèmes avec lesquels je les ai associés Les poèmes présentés pourront montrer au lecteur que la révolte a plusieurs facettes LISTES DE

République pour lui expliquer son choix de déserter, ayant reçu une lettre demobilisation la veille. Cet homme décrit la lassitude du peuple français envers la guerre: chaque famille a connu le deuil, la séparation, la peur… Dans cette lettre, Boris Vian incite le peuple à se révolter, à faire comme lui (« Refusez d’obéir », « Refusez de la faire »). Il provoque le chef du pays en le mettant face à ses responsabilités (« Allez donner le votre »). La chanson se termine sur un homme, sans défenses, face

Boris Vian naît le 10 mars 1920 à Ville-d'Avray dans les Hauts-de-Seine. Son père Paul est rentier, sa mère Yvonne Ravenez est pianiste et harpiste amateur. Son premier roman célèbre est J'irai cracher sur vos tombes, écrit en 1946. Le roman est très controversé, notamment parce qu'il est retrouvé sur les lieux d'un crime passionnel. Boris Vian est condamné en 1950 pour outrage aux bonnes . S'ensuivent des romans tout aussi noirs et sarcastiques : Les morts ont tous la même peau, Et on tuera tous

temps, Vian de même, Ferré aussi, Le Forestier dérangeant, Béranger écarté, Aragon catalogué, Brel oublié. Pourtant leurs textes mériteraient de figurer dans les manuels scolaires pour la qualité de leur écriture et comme témoignages de leur temps. Mais les médias ont mieux à faire : faire fructifier leur usine à gaz qui font de l'audimat. Je fais donc de la résistance, heureux et debout dans mes bottes. Mais voilà, ces textes dérangent, comme "L'affiche rouge" d'Aragon ou "Le déserteur" de Vian, "Lily"