Vice-Premier ministre

été prévue en 1688, n’est plus la même aujourd’hui. L’application diffère aujourd’hui. Comment est appliquée, aujourd’hui, la séparation des pouvoirs au sein du régime parlementaire anglais ? Pour répondre à cette question, nous étudierons dans un premier temps le fonctionnement et les rapports des organes du pouvoir entre eux, puis dans un second temps le rôle du système de partis qu'est le bipartisme. Les organes parlementaires et leurs rapports A) Les organes parlementaires Le régime parlementaire

1er ministre et Président de la République sous la Vème République « Certes, on ne saurait accepter qu'une dyarchie existât au sommet », De Gaulle en posant ce principe dans un discours de 1964, présente la fermeté des constituants d‘instaurer un exécutif fort, composé d’un chef de l’Etat et d’un premier ministre qui lui est associé. Si la Constitution de 1958 offre une place prépondérante au Président de la République, il n’en a pas toujours

ensuite au Premier Ministre (il est à noter que le peuple sous la Vème République est considéré comme souverain et intervient par le biais des médias mais que ces derniers ne sont pas institutionnalisés et que par conséquent, leur étude relève plus d'une analyse politique). Ce dernier doit après consulter obligatoirement le Conseil d'État qui rend un avis sur la forme et non sur le fond du texte. Ce faisant, l'avant projet de loi devient un projet de loi, et est transmis au Conseil des Ministres. C'est

vqevdeqvcevLe premier ministre et le pouvoir réglementaire 1. Le premier ministre, titulaire du pouvoir réglementaire sous réserve de l'article 13 de la Constitution 1. Une compétence réglementaire de droit commun 2. Un pouvoir réglementaire exercé en concurrence avec le Président de la République 1. En pratique, un pouvoir réglementaire mis à la disposition d'autres autorités 1. Une pratique favorable à l'extension des compétences présidentielles et ministérielles en

droits et les libertés des citoyens ainsi que l’organisation et les séparations de pouvoirs comme le pouvoir législatif (détenu par le parlement qui vote les lois) , le pouvoir exécutif ( détenu par le président de la république ainsi que le premier ministre et le gouvernement qui se chargent d’exécuter les lois, et de définir les règles) et le pouvoir judiciaire (détenu par l’état qui doit contrôler l’application des lois). Une constitution est en général élaborée par une assemblée nationale.

d’abord le Premier ministre, et, en concertation avec lui, il choisira les ministres. Toutefois, le gouvernement n’est pas responsable devant le président de la République, cela signifie qu’à aucun moment il ne pourra demander leur révocation. Par contre, les membres du gouvernement pourront démissionner, par le biais de leur Premier ministre. Lors d’une cohabitation politique, les rapports sont plus tendus entre eux, ainsi, le Président sera obligé de choisir un Premier ministre parmi la majorité

également l'organe qui conçoit et dirige la politique de la nation. Le pouvoir exécutif peut être monocéphale (détenu par une seule personne, le roi ou le président de la République) ou bicéphale (le pouvoir est partagé entre le chef de l'État et le Premier ministre). REPRESENTATION -Le Sénégal est une république, régie par la Constitution du 17 janvier 2001. Celle-ci instaure un régime de type semi-présidentiel. Le pouvoir exécutif est détenu par le président de la République et par le gouvernement.

convient donc de se demande si la séparation des pouvoirs est une théorie utopique irréalisable dans nos sociétés ou si elle a la possibilité de réellement s’appliquer dans un Etat afin de garantir sa cohésion et les libertés individuelles. En premier lieu, l’utopie post révolution a mené les Etats à se munir d’une séparation des pouvoirs plus ou moins rigide (I) ; d’autre part, malgré ses nombreuses imperfections et opposants c’est un modèle qui perdure depuis plus de trois siècles et s’impose

matière d’organisation et de répartition des pouvoirs sont ainsi introduits dans le système institutionnel marocain, qui permettent au Maroc de s’affirmer comme une monarchie constitutionnelle, démocratique, parlementaire et sociale, avec un Premier ministre dont le pouvoir est renforcé et devient chef du gouvernement. La Constitution stipule à cet effet que : « Le Roi nomme le chef du gouvernement au sein du parti politique arrivé en tête des élections des membres de la Chambre des représentants

tutelle du ministre de l’agriculture et de la pêche maritime. Cet office a son siège à Ksar-el-Kabîr. Les limites territoriales du ressort de l’office régional sont fixées par décret pris sur proposition du ministre de l’agriculture, du ministre de l’intérieur, du ministre des travaux publics et des communications et du secrétaire d’Etat auprès du premier ministre charge du plan et du développement régional. Ainsi, dans le cadre de son programme d’intervention approuvé par le ministre de l’agriculture