Vidame De Chartres

dans un décor somptueux. Tout parait beau. Les gens sont décrits avec des physiques toujours avantageux. Lorsque le prince de Clèves aperçoit pour la première fois Mlle de Chartres, il remarque uniquement sa « beauté » avec la phrase « il fut surpris par la grande beauté de Mlle de Chartres ». Le personnage de Mlle de Chartres est donc présenté comme un objet d’admiration esthétique car elle est d’une « beauté parfaite ». M. de Nemours est lui décrit comme un prince qui « était fait d’une sorte

sentimental et moral. Le premier exemple est celui du récit de Mme de Chartres à sa fille sur les intrigues de la Cour (passage dans la 1ère partie). Mme de Chartres parle à sa fille Mlle de Chartres (la future Princesse de Clèves) et la met en garde contre la Cour, ses habitudes, sa bienséances, ses apparences et surtout les hommes. Dans ce discours, elle lui présente la Cour comme un lieu où le bonheur est impossible, Mme de Chartres, sa mère, à une vue très pessimiste de l’amour (certainement influencée

La Princesse de Clèves, « Il parut alors une beauté à la cour... » Le portrait de Mlle de Chartres Objectifs : => Culture Découvrir la société du 17e siècle (portrait de Mlle de Chartres fait partie intégrante d'une réflexion sur la Cour). La préciosité. => Enonciation Discours indirect, discours narrativisé => Langue Lexique précieux; vocabulaire laudatif => L'art du portrait, moral et physique. Etudier la façon dont le portrait physique et le portrait moral se mêlent étroitement Un

LL1 : L’apparition à la cours de Mlle de Chartres Introduction : La 1er moitié du 17ème siècle, le classicisme, voit paraitre de très long roman avec de nombreux rebondissement et des personnages très idéalisés comme L’astrée d’Honorée d’Urfé en 12 volumes. Ces pastorales ou romans héroïques et précieux finissent par lasser le public quand Madame de La Fayette fait paraitre anonymement en 1678 une courte nouvelle historique. Elle invente une nouvelle manière

roman. Lorsque les deux « amants » dansent pour la première fois, toute la Cour les observe, mais en particulier le duc de Guise et Mme de Chartres. Ces deux personnages comprennent la passion naissante tout de suite et tenteront de l’arrêter le plus tôt possible. Grâce à l’éducation qu’elle a donnée à sa fille et la promesse de cette dernière, Mme de Chartres l’empêchera d’accéder au bonheur. Quant au duc de Guise, il narguera la princesse à chaque fois que son amour pour le duc ne devient trop visible

La princesse de Clèves (Madame de La Fayette) Résumé: Mademoiselle de Chartres vient tout juste d'arriver à la cour d'Henri II. Sa beauté est sans pareille et tout le monde l'admire notamment le Prince de Clèves et le Duc de Guise. Après une attente interminable, Mademoiselle de Chartres devint Madame de Clèves. Mais peu à peu, elle se rend compte qu'elle n'a d'yeux que pour le Duc de Nemours, un homme séduisant et fin. Le fait qu'ils se voient souvent fera redoubler d'ardeur leur passion. Mais

la signature de paix entre Henri II et le roi Philippe II d’Espagne. Les noces se voient célébrées par un considérable tournoi à Paris. Avant l’arrivée du duc d’Albe : une partie de jeu de paume (monsieur de Nemours/ le chevalier de Guise/ le vidame de Chartres/ Mme de Clèves). Chastelart prétend remettre à la dauphine une lettre de la maîtresse du duc de Nemours, tombée de sa poche lors du jeu de paume. Un signe de l’attachement de Mme de Clèves pour le duc de Nemours : elle eut une frayeur évidente

roman est celle du courant libertin, libertinage de mœurs, jouissance sensuelle, mais également libertinage d’esprit, liberté prise avec les codes moraux d’une époque. Les deux figures principales de ce libertinage sont le duc de Nemours et le vidame de Chartres. Ils représentent l’homme libertin, qui peut se hisser au-dessus des conventions sociales pour vivre pleinement, jouir par les sens et par l’esprit, et également être libre de toute contrainte. Cette liberté se manifeste sous deux rapports

trouvé intéressant, c'est qu'elle utilise plusieurs personnages pour cela. Il y a bien sûr Mme Chartres, qui est un personnage que j'aime beaucoup pour sa manière d'éduquer sa fille, qui est différente de celle qui est habituelle à l'époque. En effet, elle montre à sa fille « combien la vertu donnait d'éclat et d'élévation à une personne qui avait de la beauté et de la naissance ». Et je pense que Mme de Chartres représente en fait Mme de Lafayette qui s'adresse non pas à sa fille, mais à son

théâtre de la cour, parmi l’aristocratie à Paris. I. Une incarnation de la perfection Le portrait brossé par Mme de la Fayette présente Mlle de Chartres comme une incarnation de la perfection par sa beauté physique, sa noblesse de haut rang et sa vertu. 1. Le portrait physique Cette incarnation de la perfection débute avec le portrait physique de Mlle de Chartres . On a une insistance manifeste sur la beauté du personnage , la répétition du terme « beauté » pour la désigner : « Il parut alors une