Vieil Horace

dernier livre. C'est au duc de Bourgogne qu'il fut dédié. Ce dernier est le petit fils du roi Louis XIV. Pour l'écriture de ses fables Jean de La Fontaine s'inspire principalement de la culture des fables greco-latine : Ésope, Phèdre, Tite-Live, Horace, Hippocrate, de l'écrivain italien Abstémius de la fin du XV em siècle, mais aussi de la culture indienne : Pañchatantra. Jean de La Fontaine a effectué un gros travail de mise en vers des textes. On trouve dans ses fables une place prépondérante

d'autres noms, sous ceux de ses petits-fils, de sa femme et de sa sœur. Un âge d’or culturel Passée à la postérité sous le nom de « Siècle d’Auguste », cette période faste de la littérature romaine est marquée par les noms des poètes Virgile, Horace, Ovide, Tibulle, Properce, ou encore de l'historien Tite-Live. Tous ces auteurs doivent beaucoup à la protection du fidèle conseiller d'Auguste : Mécène. Introduits auprès du Prince par l'intermédiaire de Mécène, la plupart de ces auteurs sont des

mère et de sa soeur auprès desquelles il semble avoir passé son enfance en Latinium (entre Tivoli et Palestrina actuellement) ; mais on ne sais rien sur son père . Il fit deux voyages, l'un en Aquitaine (avec MESSALA CORVINUS chez qui il connut Horace et Ovide), l'autre en Orient pour participer à la guerre contre Antoine et Cléopatre (la célèbre bataille d'Actium menée par Auguste en – 31). Tibulle chante surtout l'amour avec ses joies, ses espoirs, ses déceptions, ses souffrances ; il exprime

est de même loué par la partie déboutée pour son impartialité. Mais délaissant très tôt les carrières juridique et administrative, il est attiré par la poésie, sa véritable vocation ; artiste mondain, sensible et spirituel, il fréquente les poètes Horace, Tibulle et Properce, et inaugure sa carrière littéraire à vingt-quatre ans, avec les Amours (19 av. J.-C.) ; ce recueil d'élégies développe tous les thèmes érotiques en une sorte de roman d'amour autour d'une certaine Corinne, une hétaïre sous le

classicisme, qui est culturel, artistique et esthétique. Œuvres Pierre Corneille a écrit plusieurs pièces de théâtres et de poèmes, mais les plus populaires sont ; Le Cid (1636 tragi-comédie), Cinna (1641 tragédie), Polyeucte (1642 tragédie) et Horace (1640 tragédie). Ecrivains contemporains Il y avait aussi d’autres écrivains bien connus comme corneille ; Molière, Racine et, La Fontaine.

narrative adoptée par La Fontaine - utiliser des animaux pour représenter les grands traits moraux des êtres humains - reste toujours aussi astucieuse et drôle. Le poète a souvent puisé son inspiration dans des fables plus anciennes, écrites par Esope, Horace ou encore Pilpay, et il a renouvelé ce genre en en réinventant totalement la forme : le court récit devient alors un élément essentiel, au même titre que l’est la morale didactique qui le conclut. Adonis (1658, publié en 1669) Poème de la captivité

HORACE : UNE AMOUREUX DE CONVENTION ? Un jeune damoiseau Horace répond au type de l’amoureux de convention, du jeune premier. Il est beau et à la mode, en quête d’aventure galante. Dans l’acte I, il emprunte à Arnolphe de l’argent et lui expose son goût pour les « divertissements » (v290). Sa jeunesse l’expose au reproche de superficialité et d’immaturité. En faisant d’Arnolphe le confident de son amour pour Agnès (v317 à 327), il témoigne d’une certaine imprudence. Il ne connaissait certes pas

Etude de Horace, IV, 5 de Pierre Corneille Compléter le plan d’étude suivant à l’aide de citations précises du texte. Dans cette scène, il s’agit d’étudier la situation extraordinaire permettant au héros de prendre toute sa dimension tragique car les violences naissent au cœur des alliances. I- Comment le dialogue prépare-t-il le geste final fratricide ? un violent antagonisme entre frère et soeur Horace : la force virile a- L’indignation d’Horace b- La volonté d’Horace d’imposer à Camille

qui se lamentent face à leur destin. 3) Les dramaturges Il y avait, comme dramaturge qui faisait partie de l’histoire de la tragédie classique du XVIIe siècle, Jean Racine et Pierre Corneille. Corneille à écrit « Le cid », « Cinna », « Horace », « Polyeucte » et « Nicomède ». Racine a écrit « Andromaque », « Britannicus », « Bérénice », « Bajazet », « Iphigénie » et « Phèdre ». Pierre Corneille Pierre Corneille, aussi appelé « le Grand Corneille » ou « Corneille l'aîné

Comme nous l’avons vu, Ronsard a la volonté de susciter chez Hélène un sentiment d’angoisse face au cliché affligeant de sa vieillesse à venir. L’image de la femme dans ce sonnet entre en opposition avec celle que le poète donne de lui-même et de son œuvre. Ronsard se dessine lui-même de façon méliorative. Il semble assez bien s’adapter à la mort du fait qu’il est certain de passer à la postérité grâce à son œuvre. Dans ce poème il se présente aussi bien comme mort et immortelle, il y a alors un