Ville Modernité

Du rêve à la réalité Tout le monde rêve d’une ville idéale. Sauf ceux qui se disent déjà satisfait de la ville qu’ils habitent. Et ils sont rares. Aussi rares que ceux qui trouvent parfaite la société dans laquelle ils vivent. Ainsi pour le philosophe grec Socrate, il était évident que la population d’une cité soit divisée en trois castes distinctes : les artisans, qui fabriquent, cultivent, créent ; les guerriers, chargés de la protection de la citée ; et les magistrats, qui gouvernent. Chacune

de distinction. L’étude paysagère par le biais de l’odorat et du toucher est très intéressante mais beaucoup moins développée. Quick : Odora et toucher : moins étudié mais aussi important On peut se demander si les citadins qui ne voient que la ville comme habitat n’ont pas une fausse idée du paysage Paysages urbain = pas antinomique car il peut être minéral Le paysage n’est pas seulement horizontal, elle peut être assimilée à un format portrait (montagne, gratte-ciel, tour, parcs, jardins, arbres…)

1 LA VILLE A TROIS VITESSES Jacques Donzelot « La ville ne fait plus société », disions-nous dans un article précédent1. La formule est apparue à certains comme plus accrocheuse que sérieuse. Quand la ville aurait-elle justement fait société ? Durant l’ère industrielle ? Elle résonnait alors du conflit des classes, de leur confrontation sur le lieu de travail tandis que leur séparation dans les lieux d’habitat ne pouvait qu’ajouter l’irritation de la mise à distance aux affrontements dans l’usine

goût de la pensée conceptuelle ou systématique. Ceci est d’autant plus remarquable que nous sommes inévitablement portés à le comparer à ses contemporains et que Goethe a partagé son époque avec quelques-uns uns des plus grands philosophes de la modernité: de Kant à Hegel en passant par Fichte et Schelling. Même les écrivains et poètes de cette époque, qu’il a largement fréquenté, les Herder, Schiller, Hölderlin, Schlegel, Novalis manifestaient une passion philosophique autrement plus développée que

d’urbanisme qui remplacent les anciens schémas directeur, depuis l’entrée en vigueur de la loi SRU (solidarité et renouvellement urbain) du 13 décembre 2000 qui est la conséquence d’un débat national ayant pour thème habiter, se déplacer, vivre la ville en mettant en commun une politique d’urbanisme et une politique de déplacement pour un développement durable. Cette loi comporte 3 volets qui sont : l’urbanisme (rénovation des documents d’urbanisme), l’habitat (renforcer la solidarité entre les villes)

qu’avant, on a aussi une évolution des mœurs constituant de nouveaux stéréotypes. Il y a un changement d’alimentation, en effet impossible d’accepter qu’un mari n’arrive pas à nourrir sa famille maintenant les chinois observent une certaine forme de modernité en mangeant par exemple à McDo malgré les prix EXHORBITANTS ! Maintenant tout le monde achète de l’alcool, produit de beauté, etc. Cela montre une certaine forme de liberté. Finalement, plus qu’une Chine en voie vers l’individualisme, ce qui semble

qu’on vit encore en parasite de l’activité des autres. L’idée selon laquelle l’oisiveté est mère de tous les vices n’est certes pas nouvelle, elle accompagne dès ses débuts la morale chrétienne, mais ce qui est nouveau c’est la façon par laquelle la modernité engage ce proverbe au service de l’utilité sociale en inculquant aux individus l’idée qu’une vie passée dans l’oisiveté doit se payer d’un fort sentiment de culpabilité non seulement au regard de l’image de soi mais encore de l’image que l’on donne

alors réfléchir sur le projet des modernes et montrer qu'ils retiennent une certaine conception de l'Homme qui n'est pas celle des sociétés traditionnelles. DESCARTES : moderne ayant une nouvelle conception de l'Homme, aborde les grands thèmes de la modernité, on peut voir en lui un père / un tuteur. « Discours de la méthode » : écrit par DESCARTES. Il aborde les sujets de la raison, de la méthode. Le pouvoir de la raison. « Je suis un roseau pensant ». Pour exercer la raison il faut rejeter toutes

........................ 53 Une urbanisation massive Des situations contrastées Métropoles, mégapoles et mégalopoles Chapitre 2 > Les villes lieux de vie et lieux de pouvoir A B ......................... 58 Les espaces de la ville Les villes organisent l’espace Chapitre 3 > Vers les villes durables A B ..................................................................................... 63 Un environnement urbain menacé Vers une meilleure qualité de vie Module

mille  Introduction Appréhender, penser et définir la ville L’hypothèse de H. Lefebvre  [1], qui envisageait une urbanisation totale de la planète, se vérifie de plus en plus. En un siècle, le nombre de citadins au niveau planétaire a en effet été multiplié par 12. En 2009, pour la première fois de son histoire, la population mondiale est devenue majoritairement urbaine : plus de 3,7 milliards d’individus résident désormais dans une ville, soit plus de 50 % de la population mondiale. Chaque année