Villon Le Lais

Biographie de Marcel Duchamp : Blainville-Crevon (Seine-Maritime), 1887 – Paris, 1968 Marcel Duchamp est le troisième d'une famille de six enfants, dont quatre sont des artistes reconnus : les peintres Jacques Villon (18751963) et Suzanne Duchamp (1889-1963), le sculpteur Raymond Duchamp-Villon (1876-1918) et lui-même, le plus célèbre. Ce sont d'ailleurs ses frères, ses aînés, qui l'initient à l'art. Après une scolarité à Rouen, Marcel Duchamp poursuit des études à Paris et fréquente l'Académie Julian

cas, elles sont voluptueuses et sensuelles, dans l’autre, la marque d’un laisser-aller et porteuses de cellulite. II- L’art du pastiche grotesque 1) Un portrait et une situation grotesques Tous les éléments du grotesque (parler de choses élevées, nobles, de façon triviale, voire vulgaire) sont réunis et exploités à plaisir par le poète qui usera souvent de ce procédé dans les Cahiers de Douai (voir le pastiche de Villon dans sa ballade des pendus). La laideur, la saleté, la trivialité-vulgarité

On pense à nouveau à Ronsard, à son exquis « Mignonne allons voir si la Rose... » ou au sonnet pour Hélène : « Quand vous serez bien vieille... ». Car c’est surtout la beauté féminine à l’épreuve des attaques du Temps qui frappe les poètes. Déjà Villon s’attristait sur le sort affreux dans la Mort du « corps féminin qui tant est souef ». Quant à Ronsard, que de fois évoque-t-il les ravages qui peuvent être causés, comme le fait ici Brassens, à une « mignonne qui ferait les frais du « jeu du Temps

 ∆  De la Brièveté de la vie ou Médée Saint Augustin, Les Confessions (397-398) (extraits) Moyen Âge La Chanson de Roland (vers 1100) *Le Roman de Tristan (de Béroul [entre 1165 et 1180], Thomas [vers 1170] et textes connexes) Marie de France, Lais (vers 1155-1189) Quelques poèmes de troubadours  comme  Guillaume  d’Aquitaine  (mort  en  1126),  Bernard  de   Ventadour (mort vers 1170), Arnaut Daniel (actif entre 1180 et 1200) *Chrétien de Troyes, Le Chevalier au Lion (Yvain vers 1177-1181)

avuiset de nos Christus mercit |Que le Christ nous ait en sa pitié, | |Post la mort, et a lui nos laist venir |Après la mort, et qu'à lui il nous laisse venir | |Par souue clementia. |Par sa clémence. | Résumé de Tristan et Iseult Rivalen, le roi de Loonois

Isembart) - 1er textes respectant les conditions. -strophes assonancées qui permettent une musicalité. Strophes assosiées selon 2 gds principes : ---> principe de l'enchainement : dernier vers de la laisse précédente repren 1er vers de la suivante. ---> principe de similitude : qd la laisse reprend un mm moment narratif en changeant de point de vue (=focalisation) -vers épiques décasyllabique et présentant une césure après la 4e syllabe. -1er mélange entre réalité et fiction. La chanson de

Baudelaire, Les Fleurs du mal, (1857). T4 : La courbe de tes yeux – Paul Eluard, Capitale de la douleur (1926), p. 268. Lectures cursives Comment les poètes décrivent-ils et jugent-ils le monde qui les entoure ? L’épitaphe Villon (ou la ballade des pendus) – François Villon (1489) Les tragiques, VII – Agrippa d’Aubigny (1616) Les fleurs du mal (1857) – section Spleen et Idéal – Charles Baudelaire Documents et activités complémentaires Histoire des Arts : Le surréalisme, un art de l’étrangeté 

notre pouvoir de décision et d’action ,c ‘est-à-dire l’étendue de notre liberté dans notre existence et plus particulièrement par rapport au temps :  dans quelle mesure le passé sur lequel je n’ai plus de prise et qui me constitue peut-il encore me laisser libre ,  voire être l’objet d’un choix ?     1 En quel sens peut-on dire que je ne suis que l’effet du passé ?                           1.1 ce que je n’ai pas choisi :   a ) le poids de l’hérédité : la couleur de mes yeux , la forme

diagonale lui fait pendant en permettant de former une cuve, typique de la composition des peintres flamands et permettant une vision panoramique du paysage. D’ailleurs, c’est ici au creux de cette cuve que Bruegel s’est posé. Tout comme Van Eyck qui laisse sa signature au-dessus du miroir qui le reflète dans le portrait des époux Arnolfini, Bruegel signe sa position. Il le fait d’ailleurs avec beaucoup d’humour, car un personnage du tableau a remarqué la présence du peintre : un chien de la meute

homme (par ses caresses) et possde mme une me, du fait du passage delle la femme, de la progression par laquelle, au fur et mesure que la chevelure se transforme en femme, lamour du jeune homme grandit enfin, de la disparition de la chevelure qui laisse place la femme le narrateur insiste alors sur les caractristiques les plus sexualises de la femme, sur laspect ondulant de son corps elle devient femme et matresse, pourvue dune certaine position sociale, conduite au thtre. Mais la nouvelle nest