Violence Et Democratie

notamment en Allemagne, sous le contrôle du Traité de Versailles. Les actions de provocations entreprises par l'Allemagne, poussent les démocraties à réagir et à débuter une nouvelle guerre. Cette dernière, d'envergure mondiale, du Japon aux États-Unis, va également entraîner la France et ses soldats à jouer un rôle. Les civils subiront également les conséquences d'une violence sans limites. Nous nous interrogerons donc dans quel contexte le régime de Vichy naît-il? Comment la Résistance s 'organise-t-elle

parlementaire. * Les maires. C) Les citoyens : * Associations. * Experts. * Personnalités. * La religion (Eglise Catholique,…) D) Le poids de la démocratie d’opinion et de la démocratie représentative dans ce débat. E) Organigramme résumé. V) Les limites du débat. * Les violences. * La PMA et la GPA. VI) Conclusion. * Organigramme. I) Introduction. Le projet de loi du « Mariage pour tous » a été proposé par Christiane Taubira à

souveraineté qui interdit la révolte. L’analyse de Kant consiste à dire que, dans le cas où le pouvoir exécutif est sorti du cadre de ce contrat, le droit à la révolte n’en est pas acquis pour autant : il reste illégitime de répondre à la violence par la violence. Ceci repose sur le présupposé que le chef de l’Etat ne saurait vouloir le mal de ses sujets. Or Hobbes (philosophe anglais, 1588-1679) et Locke (philosophe anglais, 1632-1704) ont eux, au contraire, voulu envisager cette hypothèse : «

spontanés, et, par conséquent, d’imposer sa volonté. D’un autre côté, pourtant, le registre du langage est antinomique par rapport à celui de la violence : « la violence qui parle, c’est déjà une violence qui cherche à avoir raison, c’est une violence qui se place dans l’orbite de la raison et qui commence déjà à se nier comme violence » (Paul Ricœur, La violence, 1967). Le fait de vouloir agir et intervenir dans l’élément du langage (« prendre la parole ») semble donc relever d’une démarche rationnelle

|1-Introduction ; sport et violence, une relation problématique : | | | | |

les velléités morales de la communauté internationale : pour preuve, l’impossible résolution de la question kurde au nom de l’intégrité territoriale de l’Irak, de l’Iran, de la Syrie et de la Turquie ; – un système de valeurs, où la défense de la démocratie et des droits de l’homme (Kosovo) l’emporte sur le principe de souveraineté et sur le droit international, où l’intervention militaire peut être illégale mais légitime, et dans lequel s’effacent et les contraintes stratégiques de la puissance et

La synergie des médias au Burundi: une voie pour des élections apaisées ? Introduction Alors que dans les démocraties occidentales, les élections sont un facteur de paix et de stabilité des institutions, elles sont au contraire le plus souvent une voie de tensions et de violences dans la plupart des pays africains. Rares sont des élections apaisées, livres et transparentes. Au Burundi, à quatre jours des élections communales, aucun incident n’est reporté mais la pré-campagne avait déjà

Pierre CLASTRES in La société contre l'État . L’ethnologue a ainsi observé que dans certaines sociétés primitives il existe un chef qui n'a d'autres fonctions que celle de médiateur usant de la parole. Il n'établit pas de règles et le recours à la violence n'est pas monopolisé par le chef de tribu. Ainsi il n'existe pas dans ces sociétés d'État , définit comme un espace de pouvoir reconnu, différencié au sein de la société. La coupure politique dont parle CLASTRES dans son texte naît de la façon dont

notre ère= période de la Grèce dite archaïque jusqu’à la période dite classique 5ème s-4ème s, enfin la période hellénistique cad 4- 3 ème s av notre ère. * La période archaïque c’est celle de la fondation de la démocratie athénienne * La période classique= l’âge d’or de la démocratie athénienne, la domination de Périclès par ex * La période hellénistique, après la défaite de la dém athénienne face à la puissance macédonienne c’est le triomphe des écoles philosophiques hellénistiques donc

projet totalitaire qui vise au contrôle de toutes les activités du pays et des individus. Il rejette la démocratie car c’est un régime où l’individu peut décider grâce aux votes. Il rejette aussi le socialisme parce que ce dernier pense en termes de lutte des classes. Le fascisme justifie la violence politique. La violence extérieure va justifier l’expansionnisme colonial (Ethiopie 1936). La violence intérieure entraîne la construction d’un ordre social basé sur la terreur. Le fascisme est un totalitarisme