Violence Et Democratie

l'absence d'ordres, de limites. Mais cela sans penser que nous serions alors plus en démocratie mais en situation d'anarchie, ce qui implique naturellement une instauration de la "loi du plus fort" (qui n'est en réalité, bien sûr, pas une loi en soi). C'est donc pourquoi dans cet extrait de Propos d'un Normand, Alain s'est interrogé sur les vertus du citoyen. La démocratie repose-t-elle sur ces vertus ? Et la démocratie, à travers ces vertus, rend-elle l'homme libre ? La thèse d'Alain repose sur les

UNE DEMOCRATIE PEUT-ELLE TOUT SE PERMETTRE DANS SA LUTTE CONTRE LE TERRORISME ? [pic] Depuis le 11 Septembre 2001, la lutte contre le terrorisme est devenue une priorité ; dans cette lutte sans merci contre la barbarie les enjeux sont immenses. Il ne s'agit pas seulement d'une lutte contre un ennemi dont la cruauté est sans commune mesure, il s'agit d'une lutte pour préserver la démocratie. Les Etats l'ont bien compris et ont décidé de s'engager dans la lutte contre le terrorisme international

À la fin de la 1GM, la démocratie libérale semble triompher. Pourtant, durant l'entre-deux guerre, elle est rejetée par une nouvelle forme de régime politique née en Europe, appelé totalitarisme. Celle-ci propose une forme de gestion de l'État spécifique dans trois pays : l'Italie fasciste, l'Allemagne nazie, et l'URSS stalinienne. Leur genèse plus ou moins rapide les conduit à prendre légalement le pouvoir. D'autres points communs s'expriment dans la mise en œuvre totalitaire de ces pouvoirs mais

dissertationSujet  : « Il est faux de dire que la démocratie est moins orgueilleuse, moins dispendieuse, moins égoïste, moins ambitieuse ou moins avare que l’aristocratie ou la monarchie. Cela est faux et ne se vérifie nulle part dans l’histoire. Ces passions sont les mêmes chez tous les hommes, dans toutes les formes de gouvernement, et lorsqu’elles ne sont pas régulées, elles produisent les mêmes effets : fraude, violence et cruauté. » John Adams, Lettres à John Taylor

première guerre mondiale, trois pays Européens se sont transformés en régimes totalitaire : L’Allemagne(1933), L’Italie(1922) et la Russie qui est devenue l’URSS(1929). Un régime totalitaire est l'un des trois grands types de système politique avec la démocratie et l’autoritarisme. C'est un régime à parti unique, n'admettant aucune opposition organisée et dans lequel l'Etat tend à confisquer la totalité des activités de la société créé à entre la 1ère et 2nde guerre mondiale. Les totalitarismes : un seul

sélectionner les meilleurs d’une race pour en faire une race pure. 3) Les états totalitaires sont les états en total rupture avec la démocratie bourgeoise et qui prônent l’état communautaire (l’état est prioritaire sur l’homme), contre l’individualisme. Ce sont des états hérités de la grande guerre, ils sont marqués par la violence. (La population qui a intégré bcp de violence pendant la guerre va se sentir comprise dans une société qui a bcp de pouvoir brutalisation de la société). L’état totalitaire :

« La violence trouve son seul refuge dans le mensonge, et le mensonge son seul soutien dans la violence. Tout homme qui a choisi la violence comme moyen doit inexorablement choisir le mensonge comme règle. » Durant l’antiquité, la violence faisait déjà partie intégrante de la vie en société. Des exemples de cette barbarie s’y trouvent déjà, notamment dans Antigone de Jean Anouilh. On y note en effet la présence d’une violence politique menée par le pouvoir en place. De surcroît, le 20ème siècle

gouvernements ont-ils l’obligation dissoudre ces partis (ou groupes) pour le bien de la République ou de la Démocratie ; ou au contraire, de les laisser en place malgré leurs propos parfois injurieux ? En premier lieu, nous verrons qu’il est possible pour les gouvernements d’interdire ces partis extrémistes ; ensuite, nous étudierons que les supprimer est contraire aux principes de la démocratie ; et enfin, nous nous intéresserons aux limites d’action de ces partis extrémistes. I Pour l’interdiction

logiques et les dynamiques du passage à la violence politique ? Plan : I. Une notion complexe impliquant différentes formes * 1) Définition et historique de la notion de violence politique. * 2) Typologie. * 3) Trois formes de violence politique. II. Les différentes logiques de la violence politiques * 1) Construction et affirmation identitaire par la violence. * 2) Rôle et conséquences de la violence dans l’échange, la négociation. *

comparaison. Expériences franco-britanniques », in C. Thiriot, M. Marty et E. Nadal (Dirs), Penser la politique comparée, Paris : Karthala, 2004 : 167-179. Ou Mardi le 5 avril : Analyse critique de : Gerardo L. Munck et Vicente Palermo, « La démocratie en Amérique latine : les acteurs sociaux, la représentation et l’État », Sociologie et sociétés, vol.30, no 1, 1998 : 159-172. N.B Selon qu’ils choisissent de faire l’analyse du premier ou du second texte, les étudiants doivent remettre une analyse