Violence Et Totalitarisme

nouvelles pratiques culturelles de la pop française 2° Les français depuis 1945 A. Les 30 glorieuses B. Les crises sociales et les mutations culturelles C. Une société urbaine insérée dans la mondialisation * 3 * Comment a violence guerrière boulverse-t-elle les relations internationales et les sociétés ? 1° L’expérience du combat avec la 1ere guerre mondiale A. Mobilisation des hommes et des états B. La déshumanisation des combattants dû à la guerre C. Une

LE TOTALISTARISME EN EUROPE Problématique : Comment le totalitarisme s’installe-t-il en Europe et quelles en sont les conséquences ? Totalitarisme Concept : Est totalitaire un pouvoir qui prétend diriger la totalité des activités des individus et cherche à imposer non seulement l’obéissance, mais également la croyance en ses valeurs. Sous un régime totalitaire, toute forme de pluralisme est pourchassée, les initiatives des individus sont découragées, les religions et les organisations

utilisant la violence pour encadrer la population. C’est notamment pour cela qu’il fut beaucoup critiqué, ainsi que pour son opposition virulente aux idées des Lumières. Selon Joseph de Maistre, la violence est un mal nécessaire en vue d’un plus grand bien. Cependant, peut-on véritablement appliquer à la pratique cette théorie et instaurer un régime fonctionnant par la violence ? I. La violence selon De Maistre, un mal nécessaire au service d’un plus grand bien 1) La violence permet de

sortie du totalitarisme est plus tardive). • Problématique : Quels sont les points communs et les différences entre ces trois régimes, à la fois dans leur mise en place et dans leur fonctionnement ? I. Quelles conditions ont permis la mise en place des régimes totalitaires ? A. Des problèmes ethniques et politiques avant ‰„ • Avant 1914, la question des minorités ethniques secoue l’Italie, l’Allemagne et la Russie et cette question alimentera la mise en place des totalitarismes dans l’entre-deuxguerres

domination et contrainte : A) Les thèses classiques en sciences politique : La violence légitime n'appartient qu'à l’État dans le but d'organiser la société selon Weber. Ce pourvoir de coercition dépend d'un projet mettant en œuvre des actions politiques. Ce pouvoir peut être exercé à l'encontre de la population. La police et l'armée sont les instruments de cette violence, cela pour éviter la justice par soi-même. La violence légitime se veut être positive et sans cesse remise en question. Les bases

Le totalitarisme nazi et communiste Introduction : Le totalitarisme est une notion synonyme de violence, de contraintes, et de tyrannie. Nous nous sommes demandé pourquoi, à la même période, deux grands états du monde se sont installés dans une dictature, et quelles ont été leurs motivations. Pour comprendre ceci, nous avons donc décidé de traiter un sujet sur le totalitarisme afin de saisir les desseins qui ont poussés ces deux dictateurs à installer ces autocraties. Au cours du XXème siècle

présenté comme le guide du peuple, qu’il ne faut pas contester : d’ailleurs, les termes de Führer, de Duce ou de Vodj – surnoms donnés à Hitler, Mussolini et Staline – signifient « guide ». B) Des régimes fondés sur la terreur de masse • La violence est exercée directement par l’Etat (ou par les organes du parti). On procède à des arrestations – souvent arbitraires – puis les suspects sont soit déportés dans des camps de travaux forcés (les camps du Goulag en URSS, le camp de prisonniers

Mussolini est méchant. Ses actes était mauvais.  1- Après avoir lu l’extrait de « La nature du totalitarisme » écrit par Hannah Arendt, on peut dire que la violence constitue le caractère fondamental du totalitarisme, car elle est dirigée contre le peuple innocent, sans aucune raison qui puisse être supportée, comme on le lit au tout début du premier texte, a la ligne trois: « La terreur devient l’essence d’un gouvernement seulement lorsqu’elle est dirigée contre des victimes qui sont innocentes »

Partie 3 du programme d’histoire : Le siècle du totalitarismes Le concept du totalitarisme reste encore très discuté, voir disputé par les historiens. D’abord par la naissance de ce concept. Pour certains historiens il est en né en Italie en 1923, dans l’esprit d’opposants au régime de Mussolini qui viennent de prendre le pouvoir. Certains l’attribuent à Giovani Amendola, un antifasciste. Mais pour d’autres c’est le mot de totalitarisme qui a été inventé en Italie par des antifasciste. Pour d’autres

il demeure des différences profondes : l'absolutisme de l'Etat nazi et la violence de la solution finale ne se retrouvent pas entièrement en Italie. Sans tomber dans une vision téléologique de l'histoire, on peut accepter l'interprétation de Pierre Milza qui évoque un développement du fascisme en quatre étapes, qui prend ses sources dans l'exacerbation du nationalisme et l'extrême droite et qui aboutit au totalitarisme. En ce sens, si l'Italie est à l'origine de la notion et du mot même de fascisme