Violence Légitime

cortèges de sanctions, est-ce contre nos intérêts, voire pour nous déposséder de notre libre volonté ? Y a-t-il du sens à s’obliger à respecter la loi ? Ou est-ce nous interdire l’exercice de notre liberté propre ? La loi peut-elle être, de manière légitime, condition de ma liberté ? La réponse de Locke, sa thèse, est nette : la loi ne limite en rien la liberté d’un sujet ; elle la rend possible et l’accomplit. Pour établir cela, l’auteur va défaire d’abord l’opposition apparente entre la loi et

logiques et les dynamiques du passage à la violence politique ? Plan : I. Une notion complexe impliquant différentes formes * 1) Définition et historique de la notion de violence politique. * 2) Typologie. * 3) Trois formes de violence politique. II. Les différentes logiques de la violence politiques * 1) Construction et affirmation identitaire par la violence. * 2) Rôle et conséquences de la violence dans l’échange, la négociation. *

utilisant la violence pour encadrer la population. C’est notamment pour cela qu’il fut beaucoup critiqué, ainsi que pour son opposition virulente aux idées des Lumières. Selon Joseph de Maistre, la violence est un mal nécessaire en vue d’un plus grand bien. Cependant, peut-on véritablement appliquer à la pratique cette théorie et instaurer un régime fonctionnant par la violence ? I. La violence selon De Maistre, un mal nécessaire au service d’un plus grand bien 1) La violence permet de

plus fort. Il y utilise l’exemple du brigand pour appuyer son argument contraire à celui de ses adversaires : la thèse dudroit du plus fort n’existe pas en tant que la force n’est pas un droit ; son utilisation pour soumettre une personne n’est pas légitime. Dans cet exemple, le brigand ne laisse pas le choix et contraint, contre sa volonté, sa victime à donner son bien. La contrainte, induite par la force, ne laisse pas l’exercice de la volonté propreet impose d’agir à l’encontre des choix faits.

une maîtrise de psychologie, un DESS en sciences cognitives et a été formée à l'improvisation théâtrale. Elle a travaillé durant 7 ans comme consultante en organisation en entreprise. Depuis quelques années, elle se consacre à la prévention de la violence familiale et scolaire. Elle a également publié « Le monde change... et nous ? ». Les concepts principaux : autoritarisme, permissivité, autorité éducative, sanction, coopération. Bref résumé : L'évolution de la société a profondément modifié les

actuelle, la violence semble omniprésente au sein de nos sociétés et fait des ravages à de nombreux niveaux, que ce soit sur le plan physique ou psychologique. On peut donc se demander légitimement quelle place occupe-t'elle dans nos sociétés dites "modernes". Pour la philosophe Blandine Kriegel, la violence est « la force déréglée qui porte atteinte à l’intégrité physique ou psychique pour mettre en cause dans un but de domination ou de destruction de l’humanité de l’individu.» La violence est ainsi

point que les habitants de Pompéi furent interdits de manifestations sportives durant dix ans et les associations de « supporters » dissoutes. Au risque d’employer un terme anachronique, ces spectateurs furent les premiers hooligans romains ! La violence dans le sport, que ce soit sur le terrain (et les jeux de gladiateurs n’avaient rien à envier aux matches de football d’aujourd’hui !) ou parmi les spectateurs, semble être née avec les grandes manifestations sportives. Bien que le contexte sportif

matière. C'est une énergie qui se libère ans les mouvements naturels ou sociaux. VIOLENCE : c'est un instrument, un outil qui vise à augmenter la puissance. Elle consiste à s'imposer par la force, pour différentes raisons. - il y a la violence juste, légitime, maîtrisée : lorsqu'il n'y a pas de solution pacifique, l'action violente peut être nécessaire pour des raisons de sécurité, pour contrôler une violence illégitime par exemple. Les forces de l'ordre, l'armée, les huissiers de justice, les

Plan I- NATURE ET FORME DE LA VIOLENCE A. Définition de la violence B. La violence en milieu scolaire II- FORME DE LA VIOLENCE EN MILIEU SCOLAIRE 1) Les causes CONCLUSION I- NATURE DE LA VIOLENCE EN MILIEU SCOLAIRE A) Définition de la violence Violence : du latin « violentia », abus de la force. A l’origine, le terme désigne le fait d’agir sur quelqu’un ou de le faire agir contre sa volonté, en employant la force ou l’intimidation

La violence sur le plan politique = elle est l’élement de la conquète du pouvoir. Son pouvoir sur les exprits passe pas la mise en scène et les discours. ( MACHIAVEL) elle se dissout dés qu’elle a cessé d’intimider. L’état ( MAX WEBER) a le monopole de la violence c’est qu’il a su s’en faire reconnaître le seul agent légitime. CITATIONS IMPORTANTES : Introduction de la violence = Nietzshe «  vivre c’est essentiellement s’approprier , subjuguer l’étranger et le faible, l’opprimé