Violence Légitime

autorité vient d’une autre origine que la nature. Qu’on examine bien, et on la fera toujours remonter à l’une de ces deux sources : ou la force et la violence de celui qui s’en est emparé, ou le consentement de ceux qui s’y sont soumis par un contrat fait ou supposé entre eux, et celui à qui ils ont déféré l’autorité. La puissance qui s’acquiert par la violence n’est qu’une usurpation et ne dure qu’autant que la force de celui qui commande l’emporte sur celle de ceux qui obéissent ; en sorte que si ces

pulsion, le lien entre la frustration et l’agressivité a été souvent souligné. Le sujet peut réagir à la frustration par des conduites de compensation ou de sublimation. Orgueil : opinion trop avantageuse de soi même de son importance. Sentiment légitime de sa valeur, de sa dignité. Irritation : colère sourde, action de stimuler, de soumettre à une excitation. Enervement : faire perdre sa force, sa vigueur à ; affaiblir. Perdre son calme, le contrôle de ses nerfs. Dépit : vive contrariété mêlée

HISTOIRE ANALYSE DE DOCUMENT VIOLENCE ET TOTALITARISME Consigne : Après avoir présenté le document et situé dans son contexte, analyser la place et le rôle de la violence dans l’idéologie fasciste et souligner sa mise en pratique ultérieure. Ce texte est un extrait du discours de Benito Mussolini prononcé lors du Congrès des fascistes du Frioul, à Udine dans le Nord-est de l’Italie, le 20 septembre 1922. Cet extrait de discours a été publié dans Autobiographia del fascismo, anthologia di testi

toujours. Cependant, certaines pièces mettent en scène des conflits, des affrontements et des scènes de violence. En effet, certains dramaturges affirment que le théâtre témoigne de la violence du monde. Mais cette violence est-elle acceptable au théâtre ? Nous verrons tout d’abord qu’il est vrai que certains spectacles violents peuvent être choquants et enfin, nous verrons que cette violence sur scène a malgré tout une fonction. Les conflits, sont très présents dans l’histoire du théâtre

Horace, IV, 5 de Pierre Corneille Compléter le plan d’étude suivant à l’aide de citations précises du texte. Dans cette scène, il s’agit d’étudier la situation extraordinaire permettant au héros de prendre toute sa dimension tragique car les violences naissent au cœur des alliances. I- Comment le dialogue prépare-t-il le geste final fratricide ? un violent antagonisme entre frère et soeur Horace : la force virile a- L’indignation d’Horace b- La volonté d’Horace d’imposer à Camille une soumission

guerres de religion du XVIe siècle. Il dénonce la violence des guerres de religion principalement par le biais d'une allégorie biblique, celle d’Esaü et de Jacob .Ces deux enfants représentent respectivement les catholiques et les protestants et leur conflit représente celui des guerres de religion. L’auteur représente la France comme une femme, il le dit clairement au vers 1 « je veux peindre la France une mère affligée « ceci dénonce la violence des guerres de religion car la mère en question

psaume, qui exprime une grande violence, a été exclu de la prière de l’Eglise : serait-ce le signe d’un déni de la violence contenue dans les textes sacrés ? D’un refus d’admettre la violence, qui serait une forme de reconnaissance de ce qui doit rester caché? D’une crainte que le texte ne permette pas une reprise de la violence dans l’espace sacré ? Qu’il engendre la violence plutôt que d’en préserver l’espace social? D’un déni qui empêche toute confrontation à la violence ? Dans les lectionnaires liturgiques

uns envers les autres, individuellement et collectivement, il semble légitime de s’interroger avec Freud sur le fond de la nature humaine. [Objectif de l’auteur] : Ce dernier, dans l’extrait de L’avenir d’une illusion que nous allons étudier, vise à réfuter la thèse, et même à dénoncer le mythe, de l’homme naturellement bon. [Question et thèmes] : Nous pouvons donc nous interroger avec lui sur les questions suivantes : la violence humaine, qu’elle soit physique ou morale, est-elle innée ou acquise

ne saurait être légitime s'il ne provient de l'abandon librement consenti de tout ou partie de la liberté attachée à la nature humaine. L'accession à la liberté : la raison Dès que l'homme est adulte, capable de se gouverner lui-même à l'appui de cette assertion : l'autorité paternelle " la seule qui soit naturelle " mais cesse dès qu'elle n'est plus exercée par un père dans le cadre strictement familial. L'autorité vient de la nature (paternelle) ou de la force "force, violence, emparé, tyran

Cours de religion – 5e secondaire Institut Ste-Marie-Providence (Jemeppe) Parcours 1 : Peut-on admettre la violence  ? Année 2007-2008 Mme Pirard Thématique : convertir la violence Entrée n° 1 : violence légitime ou non ? I. Phase d’éveil : agression d’un ado à l’école 1. Un triste mais banal fait divers Lis l’article (en annexe) et réponds aux questions suivantes : 1. Sur l’agression de Simon : a. Que voudrais-tu dire à Simon ? b. A ton avis, pourquoi Simon a-t-il été agressé