Violence Légitime

nous allons étudier sont les sections 10 et 11 qui nous racontent les insultes antisémites à l’égard de ce petit garçon de 10 ans, qui lui ne comprend pas cette violente exclusion. Nous allons nous demander quels effets produit le contraste entre la violence du Camelot et la réaction de l'enfant ? Dans un premier temps, nous étudierons l'image très probante du dominant, et du dominé. Puis dans un second temps le contraste entre le comportement et le langage des deux protagonistes principaux de la scène

Agrippa d’Aubigné use également du principe de la violence pour marquer le lecteur. Ainsi on retrouve le registre épique tout au long du poème notamment avec les verbes « arracher »(v.9), « défend « (v.13) , « crèvent »(v.20), « poursuivant »(v.28).La violence que transmettent les verbes choisis par l’auteur est un facteur pour marquer les lecteurs. On remarque aussi le superlatif « le plus fort, orgueilleux» (v.3) qui accentue cette idée de violence. De plus un champ lexical de la blessure est présent

desobéissance civile Thèse : il exsiste des lois injustes / les lois peuvent être et son injustes Problématique : Qui dit que ces lois sont injustes ? Quel est le devoir des citoyens face aux lois injustes ? Thème : Désobéir à la loi peut etre légitime. → la justice/injustice la désobéissance civile à la Thoreau est faite de trois mouvements de recul : le premier consiste à retirer son soutien à la loi et au gouvernement, et par conséquent à accepter dans un second temps les sanctions

premières aient un minimum d'organisation, « un contrat social », une entente minimal pour éviter leur disparition. Très vite dans un groupe, il y a des litiges, des tensions, or qui dit violence dit envie de vengeance. Ceux qui n'ont pas su canaliser cette violence vont disparaître. Cela implique un cycle sans fin de violence : le triomphe de la loi du plus fort. N. Roulant auteur d' « une anthropologie juridique » et Verdier font passer comme message : « s'il est capable de raisonner, ce qui le distinguerai

Cours : Violence à l’école, enseignement et EPS (1) Présentation « L’éducation consiste en une action exercée par un être humain sur un autre être humain – le plus souvent par un adulte sur un enfant – pour permettre à « l’éduqué » d’acquérir certains traits culturels (savoirs, ou manières d’agir tant techniques que morales) que les usages, le sentiment ou une conviction raisonnée font considérer comme souhaitables » Jacques Ulmann (1976). La pensée éducative contemporaine. Paris: PUF (p.9)

contre l'humanité, en juillet 2001 d'un discours télévisé de J.Chirac déclarant ressentir une montée de l'insécurité qui sera d'ailleurs le thème de la campagne électorale de 2002. Ou encore, en décembre 2001 c'est le début de plusieurs jours de violence urbaines à Vitry-sur-Seine après la mort de Djelloul Belhaouas 21 ans abattu par la Brigade Anti-criminalité alors qu'il venait de commettre un braquage. En 2002, au 1er janvier l'Euro devient officiel et c'est le 17 février 2002 que l'on peut

une conquête comme une expression de notre volonté de ne pas subir passivement des contraintes et au contraire d'exprimer notre liberté. On peut aussi remarquer que la vie est faite de contraintes qui ne sont pas toujours considérées comme étant légitimes. Hobbes dans l'extrait "hors de la société civile chacun jouit d'une liberté très entière, mais infructueuse" défend l'idée selon laquelle la vocation d'un état bien établi est de trouver le juste équilibre entre la liberté qu'on enlève à chacun

après avoir épuisé les recours légaux. D’après Clotilde MOTEIRO, La désobéissance civique ne cherche pas a détruire la démocratie mais empêche son dévoiement. Elle est également un antidote à la violence et le gouvernants ne reste pas sans voix face à ses revendications illégales, certes, mais légitime. Dans un cas contraire, l’histoire ne cesse de démontrer que l’absence de réponse politique aboutit toujours à l’insurrection. Perrinne WILLIAMME explique également que les activistes, en contestant

d'abord que la liberté d'expression est un droit. Puis en quoi il est nécessaire de fixer des limites, comme pour toute liberté. Puis nous poserons le principe d'une liberté d'expression infinie, en se fondant sur l'idée qu'une telle liberté reste légitime. 1) La liberté d'expression est un droit - La liberté d'expression est une liberté (= un droit) reconnue par la plupart des Etats modernes, spécialement républicains et démocratiques, au même titre que la « liberté de pensée », la « liberté

Il y a quelques années le monde fut bouleversé par les images poignantes venues du sud-est de l’Asie, région sinistrée pour un terrible tsunami ravageur qui, dans sa violence, envoya vers leur mort des milliers de victimes innocentes, tristes spectateurs impuissants d’une nature déchainée et cruelle. Ce bouleversement, aussi violent fût-il, n’était ni le premier ni ne sera le dernier que l’homme doit affronter. Chaque sinistre d’une telle ampleur suscite néanmoins des interrogations et des questionnements