Violence Selon Hobbes Et Rousseau

soumettre à la volonté de quelqu’un d’autre, c'est-à-dire avec le fait d’obéir. La véritable liberté n’est alors que la situation dans laquelle se retrouve l’individu lorsqu’il ne rencontre aucun obstacle. On peut ici penser à la définition que Hobbes donne de la liberté au chapitre XXI du Léviathan : « Les mots de LIBERTY ou FREEDOM désignent proprement l’absence d’opposition (j’entends par opposition les obstacles extérieurs au mouvement) » ; ou encore : « un HOMME LIBRE est celui qui, s’agissant

sexiste pourtant des différences de conceptions de l'Etat, selon qu'est plus ou moins grande la part de liberté laissée aux individus. - Locke, penseur de l'Etat libéral, estime pour sa part que le pouvoir de l'Etat doit être limité. Institué pour sauvegarder la liberté et la propriété privée, sa sphère de compétences n'excède pas le domaine public. Il n'intervient pas dans le domaine privé, qu'il s'agisse de religion ou d'économie. - Hobbes, au contraire, est partisan de l'absolutisme. Pour être efficace

On peut imaginer dans un premier temps que la « liberté » à laquelle il fait référence au début de l’extrait se rapporte à la liberté qui nous a été alloué par Dieu dans l’état de nature. Il faut donc dans un premier temps définir l’état de nature selon l’auteur pour comprendre la suite du raisonnement. Ainsi John Locke imagine l’état de nature comme un état d’égalité et de paix, où les hommes se portent mutuellement secours en cas de besoin. Ici l’expression « l’on n’est point assujetti à un pouvoir

un instrument nécessaire pour vivre en communauté car le langage permet de créer des règles et des lois pour distinguer le bien et le mal. Ces lois sont un ensemble de règles établi par l'autorité souveraine ( avec ou sans accord avec la société, selon la forme de l'Etat) dont le but est de régir les rapports entre le pouvoir politique ( souverain, qui a l'autorité) et la société et entre les individus entre eux. L'Etat apparait comme une nécessité naturelle puisque la cité est l'aboutissement de

 T Hobbes (5 avril 1588-4 décembre1679) est un philosophe anglais du XVIIe siècle, période  qui a  été caractérisée par des troubles sociaux-politique en Angleterre  (guerre civile, religieuse...) et qui a notamment beaucoup influencé  ses idées, il se considère comme l’un  des précurseurs de la philosophie politique ainsi  il développe de nouvelle idées sur les fondements du pouvoir et sa légitimité c'est dans ce cadre qu’il affirme que " que le pouvoir légitime n’est ni l expression de la volonté

spirituels, dont on n'explique rien par les lois de la mécanique. ROUSSEAU Rousseau, en s’interrogeant ici sur le fondement des inégalités se voit dans la nécessité de se questionner sur la nature humaine. En effet pour décrire ce sur quoi repose les inégalités, il faut déjà décrire le caractère naturelle de chaque homme. Selon Hobbes, cet état de nature est un état de guerre, ou la violence est présente naturellement en nous. Rousseau va tenter d’expliquer le naturel de l’homme d’une manière presque

finitude, car l’homme est constitué de besoins et de désirs qui le mène vers des rapports de concurrence et même de conflit avec les autres hommes pour le partage des biens du monde, en vu de sa survie et de la reconnaissance pour la vie commune. La violence de la guerre de tous contre tous est donc inscrite dans la réalité humaine. La guerre est une invention d’abord cultivée par des nations assemblés pour leur bien commun : « la diète des grec déclara à la diète de la Phrygie et des peuples voisins

guerres civiles et des conflits armés. (Il expliquera ce pouvoir sans limite du Prince par son monopole de force dans ses ouvrages.) • Théorie de la souveraineté indivisible selon Bodin. • Contrat de soumission pour Hobbes. Il est rationnel de se soumettre à l’autorité étatique. • Contrat social pour Rousseau : le peuple est souverain. 2 : Théorie et méthode de méthode de Machiavel : A : Contexte historique. Il faut d’abord replacer Machiavel dans le contexte de la crise de

un sort tout particulier au conflit violent, en définissant la violence comme le recours à la force pour soumettre quelqu’un contre sa volonté. Par extension, peut être considérée comme violence toute atteinte portée à la personne humaine, soit de la personne sur elle-même, soit sur celle d’autrui (le viol, l’agression, l’homicide, le harcèlement, l’intimidation, l’humiliation… sont ainsi des formes diverses et subtiles de la violence). Les conflits avec les autres ne se limitent pas, loin s’en faut

rigoureuse négation de toutes contraintes, pouvoir absolu sur soi, les autres et le monde3 . Le prototype d'une telle liberté serait Calliclès lorsqu'il déclare4 : "Car comment serait-on heureux, quand on est esclave de qui que ce soit? Mais ce qui selon la nature est beau et juste, c'est ce que j'ai la franchise de te dire à présent : que celui qui veut vivre droitement sa vie, doit, d'une part, laisser les passions qui sont les siennes être les plus grandes possibles, et ne point les mutiler;