Violence Selon Hobbes Et Rousseau

droit constitutionnel vise à encadrer les phénomènes politiques selon des règles déterminées. Par exemple, il cerne l’exercice du pouvoir ; un phénomène politique suscité afin de réguler les conflits entre les citoyens d’une société, selon les règles du jeu politique. Le terme pouvoir a engendré, à son tour, une conquête entre les acteurs politiques pour détenir ce pouvoir et l’exercer. Ce qui nécessite des forces et donc une violence. Et donc les règles du jeu politique ont l’intention de limiter

préséance. La guerre : expression extrême du pbm politique ou bien critère de l'existence politique de la communauté ? L'autorisation de l'autorité politique ; un pbm sans solution. Le cercle entre force et droit, ou le pbm de la violence légitime. Le cercle entre liberté et soumission, ou le pbm de la constitution juste. Le cercle entre fondation et histoire, ou le pbm de l'existence du corps politique. Le sens de la vie politique : un pbm caduque ? Le bien

croire en lui. Donc Dieu n'impose pas son pouvoir mais il la propose ce n'est pas une mauvaise autorité Cependant l'Homme ne peut pas être totalement autonome, libre de ses choix et l'anarchie a montré beaucoup de faille du à la nature de violence de l'homme. En effet, ce monde idéale sans règles, ni contraintes et difficile à mettre en place car à l'état de nature, l'Homme est violent, cela fait partie de son instinct de se dégager, de s’élever par rapport à ses compatriotes afin de les

Thomas HOBBES nous dit ainsi dans son ouvrage philosophique Léviathan que l’état de nature est une guerre perpétuelle de tous contre tous. Pour lui, seul l’Etat peut venir borner les désirs de chacun en créant des lois et ainsi mettre fin à la violence assurant l’ordre et la sécurité. La cité antique désigne comme une communauté de citoyens liés par des liens politiques qui apparaissent par la réalisation de leur propre nature. Selon Aristote

besoins. Face aux difficultés de la vie, longtemps l’Etat laissait à l’Eglise le soin de s’occuper des plus démunis. Au XX e siècle se développe «  l’Etat providence » qui prend en charge la maladie, le chômage, la vieillesse… 2) sécurité = Hobbes : Il imagine que les hommes vivaient d’abord à l’état nature. Sans société, il n’y a pas de lois, pas de limites. Chacun devient alors une menace et un rival pour l’autre. C’est la guerre perpétuelle, le risque permanent de la mort : « L’Homme

nous des rivaux et risque de gnrer des conflits voire des actes de violence. Pour Hobbes, cette identit des dsirs va donc impliquer la ncessit dune organisation politique. Pour les libraux, la fonction de lEtat est de permettre que lgosme humain change de direction empch dtre violent, il se canalisera dans lactivit conomique (production, changes). 2) Mais trs souvent le rapport est diffrent. Cest ce quanalysent trs bien Rousseau (et plus rcemment R. Girard). Je dsire ce que lautre dsire parce quil

DM PhilosophieSujet:La guerre est-elle pour l’homme un état de nature? La guerre est une forme de violence d’origine humaine basée sur le concept d'affrontement et d’ennemi.L’affrontement se définit dans le fait de heurter ,de lutter contre un adversaire que l’on considère comme une menace,un obstacle,un ennemi. Au cours des derniers siècle,l’humanité connaît plusieurs période de guerre ;ce qui ne nous laisse pas d’interroger la guerre comme étant consubstantiel à l’homme.En effet les récit de combat

diffèrent selon les philosophes qui les étudient. Cela aboutit-il pour autant à des conceptions différentes quant à la mise en place d’un Etat ou quant à la forme prise par celui-ci ? Pour Aristote, L’homme est un animal politique, autrement dit, l’homme ne peut se concevoir que dans le cadre de la société. Pour les Anciens, le monde suit une hiérarchie, un ordre naturel. L’essence précède l’existence et chacun a une place dans le monde qui lui revient selon sa nature. Le mal, la violence procède

animal rationnel et social.   Pour Grossius, l’Homme est naturellement enclin à se comporter de façon juste, la justice serait alors inscrite dans la nature de l’Homme Et quand l’homme n’agit pas de façon juste c’est parce qu’il n’agit pas toujours selon sa nature. Il pense que les hommes agissent de façon juste uniquement lorsqu’ils agissent conformément à leur attirance naturelle pour la société. D’une certaine façon cela facilite le rôle du droit qui devra simplement codifier ce qui est juste par

sur le sujet nous invitent à traiter. I - Hypothèse selon laquelle l’obéissance aux lois suffit 1) L’obéissance aux lois peut apparaitre d’abord comme une vertu. Sans elle, il n’y aucun ordre, aucune stabilité possible dans une société. Cette valeur fondamentale a été incarnée par Socrate modèle de l’homme juste qui refusa de s’évader de sa prison alors même que la condamnation légale qui le frappait était injuste. L’homme juste selon Socrate, c’est celui qui préfère subir l’injustice plutôt