Violence Utile

Tarentino en 2012. Digne de ses productions, le film comporte, ironiquement, un mélange de violence et d’humour. Tarentino utilise l’humour intelligemment pour atténuer le bouleversement émotionnel du spectateur provoqué par l’horrible violence et pour éviter qu’il tombe dans l’ennui du sérieux du sujet traité. Le réalisateur met en scène les valeurs suivantes: le courage, la passion, l’intelligence, la violence, la justice, et la conformité via les personnages de Django, Dr. Schultz, M. Candie et Stephen

naturelle • « la puissance paternelle » L.5 ( naturelle • « elle finirait aussitôt que les enfants seraient en état de se conduire » L.6-7 ( devenir adulte • Seul l’autorité paternelle est naturelle B- Autorité par la violence • « loi du plus fort » L.18-19 • « tyran » L.24 ( qui obtient le pouvoir par la force • « usurpation » L.13 • « ne dure qu’autant que le force de celui qui commande l’emporte sur celle de ceux qui obéissent »

mais de l'homme. Diderot explique les deux formes d'autorités humaines, car pour lui tout dépend toujours de ces deux là : - la force et la violence - le consentement (la personne qui à l'autorité ne là pas pris elle même, elle est en accord avec ceux qui ont donné cette autorité) 2ème paragraphe : Si quelqu'un prend l'autorité par la violence, il l'obtient de façon non officiel (illégale). L'autorité que la personne à obtenue par la force, dure tant que sa force est supérieur à ceux

 Dissertation Toute violence est-elle légitime dans un texte, du moment qu’elle se met au service d’une bonne cause ? Depuis l’Antiquité, la littérature est une arme servant plus ou moins justement l’inspiration et les opinions des poètes, les exprimant parfois violemment. Depuis Homère dont les personnages s’insultaient jusqu’à Mauriac, jugeant que la violence fait partie des hommes. Cependant, on peut se demander si la violence est toujours légitime dans la littérature

constater que la littérature à ce sujet se concentrait essentiellement sur différents aspects qui ne touchaient pas de manière directe au domaine culturel : l’aspect juridique et l’aspect sociopsychologique lié à l’exposition d’une jeune personne à la violence sur les petits et grands écrans sont les dimensions les plus reprises lorsque l’on aborde la question de la protection des mineurs. Cependant, la problématique de la censure qui entoure le contrôle de l’audiovisuel et du cinéma ainsi que les législations

POURQUOI LA VIOLENCE RENAIT-ELLE DE SES CENDRES ? Dr Guillaume Monod Pédopsychiatre Intersecteur 92 I 03, hôpital Théophile Roussel, Montesson (Yvelines) Comme le phénix que tout le monde connaît et que personne n’a jamais vu, la violence fait partie de notre quotidien mais ne se laisse jamais apprivoiser. Malgré une pléthore de penseurs politiques et des générations de législateurs, la violence, et plus particulièrement la violence des mineurs, échappe encore et toujours au pouvoir politique

autorité vient d’une autre origine que la nature. Qu’on examine bien, et on la fera toujours remonter à l’une de ces deux sources : ou la force et la violence de celui qui s’en est emparé, ou le consentement de ceux qui s’y sont soumis par un contrat fait ou supposé entre eux, et celui à qui ils ont déféré l’autorité. La puissance qui s’acquiert par la violence n’est qu’une usurpation et ne dure qu’autant que la force de celui qui commande l’emporte sur celle de ceux qui obéissent ; en sorte que si ces

Impact éducatif des nouvelles technologies Souvent les parents, les éducateurs, les professionnels de la santé, et même les politiciens tendent à diaboliser les nouvelles technologies comme une source d’incitation à la violence, à la pornographie ou encore comme source de conduites de dépendance (surtout envers les jeux en ligne). Bien que ce constat s’applique à une minorité d’adolescents, en général vulnérables, la majorité des jeunes, garçons autant que filles, s’adapte relativement bien à ces

autre autorité vient d’une autre origine que de la nature. Qu’on examine bien, & on la fera toûjours remonter à l’une de ces deux sources : ou la force & la violence de celui qui s’en est emparé ; ou le consentement de ceux qui s’y sont soûmis par un contrat fait ou supposé entr’eux, & celui à qui ils ont déféré l’autorité. La puissance qui s’acquiert par la violence, n’est qu’une usurpation, & ne dure qu’autant que la force de celui qui commande l’emporte sur celle de ceux qui obéissent ; ensorte que si ces

bien sûr que la fin (la paix) justifie les moyens (la guerre)? La non-violence propose de sortir de cette contradiction entre la fin et les moyens: « la fin vaut les moyens » disait Gandhi. Autrement dit, on ne peut obtenir la paix par les moyens de la guerre. Mais, rétorquera t-on, que faire quand l'autre ne veut pas entendre raison? Il y a des situations extrêmes certainement où le pacifisme serait faiblesse. « La non-violence suppose le pouvoir de frapper » disait encore Gandhi pour bien la