Violence étatique

donc pas du tout l’habitude de voir peut lui entraîner des troubles psychologiques. Le professeur L. Howell Huesmann, de l'Université du Michigan, a conclu que : « la violence des médias pousse les enfants à se conduire de manière plus agressive et continue à les affecter plus tard en tant qu'adultes ». Deuxièmement, la violence des medias peut aussi marquer la mémoire. Certains supports médiatiques peuvent, en utilisant les images, marquer d’avantage la mémoire que de nombreux discours. Les

de contextes sociaux favorisant le maintien et le développement de conduites agressives. • Télévision et agressivité: Parmi les causes sociales de la violence, la télévision tient une place particulière. Elle est souvent accusée de détruire le dialogue familial, de provoquer des troubles du sommeil et enfin d’être un véritable facteur de violence. Les scènes très fréquentes de délits, d’agression, de guerre provoqueraient la construction de schémas mentaux que nous aurions tendance à reproduire

Depuis longtemps, la violence est présente dans le monde du sport. Elle s'articule sous une forme physique, mais également verbale, et constitue un véritable débat pour nos sociétés actuelles. Peut-on aujourd'hui, parler de sport sans pour autant évoquer le sujet de la violence ? La question semble délicate. De nos jours, le sport incite la violence. Prenons l'exemple du football. La violence est présente lors d'affrontements entre deux équipes, mais également entre supporters de camps adverses

primaire de l’individu par le biais des films, des séries et des jeux vidéo. Les modèles peuvent a ce moment la être plus diversifiés (voir Doc 4), entre Blanche Neige qui fait la cuisine (modèle traditionnel) et le jeu « Tomb Raider » montrant la violence, les armes et faisant allusion a la guerre et remettant les stéréotypes féminins en cause.

l’enfance à l’adolescence. L’adolescent, dont le corps subit une profonde mutation, est souvent animer d’une frénésie de changement, de nouveauté et de découverte. a) Modification pubertaires Cette transformation du corps, si rapide, peut faire violence au jeune. Elle vient comme une cassure brutale entre l'enfance et l'adolescence. Le corps de l’adolescent change à une telle rapidité qu’il en devient autre et le jeune peut venir à s’interroger sur cet « autre » qu’il devient. Tout le travail de

par des barrissements « il barrit presque ». B. ne comprend alors plus J., souligné par le champ lexical de la parole avec une gradation dans les didascalies « je ne comprends pas » « parler plus distinctement »  « vous articulez mal ». Ainsi la violence finale avec l’affrontement invisible dans la salle de bain est réalisée par les effets sonores. La métamorphose passe par le langage et par le corps : le jeu de l’acteur parait fondamental et doit être violent puisque J. acquiert une force surhumaine

plus tard pour constater les dégâts. Ces actes de bandits ne s’accompagnent malheureusement de mort d’homme. » Depuis l’assassinat du chargé d’affaire du Gabon au Togo Avril 2000 par un groupe de malfrats, ils s’est instauré une nouvelle forme de violence liée à la facilité d’accès aux armes : c’est le vol de mototaxis (Zémidjan) souvent soldés par des meurtres. En ce 3ème millénaire, au Togo, le prix d’une vie humaine se résume à la valeur marchande d’une moto. Quelle tristesse ? Les boutiques,

VIOLENCE ET JEUNESSE VIOLENCE ET JEUNESSE * Introduction Depuis quelques années (environ dix ans) on observe que la violence, qui par définition est : l’utilisation de la force physique ou psychologique afin de contraindre ou dominer un individu ; impliquant des préjudices tel que coups, blessures, souffrance physique ou moral, est de plus en plus présente, notamment chez les jeunes. En effet d’après les chiffres de l’Insee le pourcentage de violences physique et d’injures subit est

« Nul ne fait le mal volontairement.» Cette citation nous vient de Socrate, un philosophe grec, qui a fait dire cela à son élève Platon. Dans cette citation Socrate parle bien évidemment non pas du mal de la nature comme la maladie mais du mal causé par l’homme. Le mal de l’homme est une atteinte aux biens ou à la santé morale ou physique d’autrui. Les maux sont très variés : voler, tuer, mutiler, violer, blesser, le vandalisme, la maltraitance, … Le mal est une notion assez subjective : une chose

chiasme dans la phrase : « Ils ne mourraient pas tous mais tous étaient frappés ». Ceci est accentué par la présence d’une anadyplose du terme « tous ». Dès le début on a une répétition du mot « mal » accompagné d’un déterminant indéfini. 2. La violence • Registre dramatique :  - Allitération en r : « répand, terreur, guerre »  - Hyperbole, vocabulaire violent, rimes masculines (fureur, terreur) : dureté 3. Les victimes Tous les animaux étaient frapppés par la peste. « Ils ne mourraient pas