Violences urbaines

années 1980, les actes de délinquance juvénile étaient de 10%, alors qu’aujourd’hui ils sont à plus de 20%. Nous pouvons voir que les mineurs sont responsables d’environ 1/3 des cambriolages et destructions de biens d’autrui et de 45% de vols avec violence, et de 36% de délits sur la voie publique. Cependant il faut tout de même prendre en considération que la population des jeunes augmente, ce qui peut expliquer en partie l’élévation du taux de délinquance. Nous observons donc le rajeunissement

ou émergents d’encadrement de la jeunesse. Dans ce contexte, cet article expose une partie des résultats d’une recherche menée pour le compte de l'Institut National des Hautes Études de Sécurité (INHES) dans le cadre d'un programme sur « l'ultra-violence ». Cette enquête porte sur les interactions entre les jeunes jusqu’au-boutistes potentiellement violents, ou considérés comme tels, et la diversité des acteurs de la « socialisation des risques » (Boucher, 2007) présents dans une cité d’habitat social

immigrants sont victimes d’une marginalisation : “C’est un étonnement… venus du midi”. C’est un sentiment de xénophobie. Les travailleurs français commencent à marginaliser ces immigrants, et éventuellement ces actions débouchent sur la violence “La vague de ces étrangers… violence”. On peut voir un autre exemple comme celui-là avec celui d’Aigues-Mortes à la fin du XIXe siècle (massacre d’Italiens par des Francais). Ces étrangers, comme dit le texte, sont souvent accusés de ces incidents “Il faut jeter… sur

mettrent la pression a la rue pour récupérer le pouvoir. Ils veulent détruireles idées démocratiques de la Republique des années 30 . Ils expriment face à la population francaise, un sentiment de haine et de révolte envers l’Assemblée qui amène à la violence comme on peut le voir dans le Doc4 ou le fascisme est représenté par un poing qui écrase La chambre des Députés. Un message violent et direct qui cherche à « dissoudre » et non « résoudre ». Ces ligues antiparlementaires qui se veulent xénophobes

Violence en Amérique latine Situation générale : * pas de guerres entre États * gouvernée pour l’essentiel par des régimes démocratiques MAIS * une des régions du monde ou la violence est la plus présente Changement dans la violence : Avant : * la violence qui résulterait d’un pouvoir autoritaire * la violence qui résulterait d’un conflit armé entre un gouvernement et un acteur armé contestataire Aujourd’hui : * tout un ensemble de manifestations extrêmement

avait rabattu de toute part des troupeaux d'affamés sur Paris » écrit Michelet dans Histoire de la Révolution française à propos de la journée du 13 juillet 1789. Cette description souligne la violence qui anime les mouvements populaire, essentiellement provoqués par des crises frumentaires. Cette violence s’illustre souvent dans le contact entre masses populaires laborieuses et privilégiés oisifs accusés de vivre sur le dos des travailleurs. De 1789 à 1946 on observe ainsi la mise en place et la

prématurément en 1988. Il commence comme artiste de rue en peignant des graffitis, et devient un artiste d’avant-garde très populaire et pionnier de la mouvance dite « underground ». D’origine haïtienne et porto-ricaine, il évolue dans un environnement urbain et puise ses sujets dans la culture populaire, la société de consommation, et l’histoire du peuple noir. Son style pictural est violent et énergétique. Slave Auction témoigne de son intérêt pour les minorités opprimées. C’est un tableau de grand

contexte de militarisation de la compétition économique, des lieux d’affrontements, parfois très violents. On peut constater que partout dans le monde, les activités économiques sont sources de compétition, et donc porteuses de violence. Mais dans le cas de la Somalie, cette violence prend souvent le tour le plus cru, du fait de l’emploi généralisé des armes et faute d’institutions suffisamment robustes de gestion des conflits. Le pays offre un bon exemple de développement du capitalisme sauvage, très

se battre pour aller à l'école. On lui demandait de ramener de l'argent à la maison, pas des devoirs. Avec moi, pas de dialogue, il avait viré ma mère »4. Vivant dans un deux-pièces de la Cité Allende de Saint-Denis, elle-même classée en zone urbaine sensible5, son père le rudoie régulièrement depuis des années : « T'arriveras à rien, t'es qu'une merde ». Forcément, cela en devient une doctrine pour Joey. Plus tard, il s'imagine comme le personnage de Tony Baretta, « Flic et gangster. Drogué dans

facilement sa famille restée au pays. Aujourd’hui, la situation n’est pas brillante. Immigration non maîtrisée, intégration, discrimination,… sont des problèmes qui semblent aujourd’hui insolubles. Les uns montrant leurs malaises par la violence (émeutes urbaines, dégradations volontaires,…) quand les autres se réfugient dans la xénophobie. Aujourd’hui, 20% des français ont un parent ou un grand-parent issu de l’immigration.