Virgile Les Géorgiques

la nature des dieux, liv. I, c. XI, semble en attribuer la découverte : « Pythagore a dit que Dieu était un esprit répandu et agissant dans toute la nature, et que nos âmes étaient des parcelles de sa substance. » Virgile a développé cette doctrine dans ces beaux vers de ses Géorgiques, liv. IV, vers 221 et suiv. : Deum namque ire per omnes/Terrasque tractusque maris, coelumque profundum ;/Hinc pecudes, armenta, viros, genus omne ferarum. Mais ce système d’une âme universelle n’empêchait pas que

scientifique a longtemps constitué un genre majeur, assumant une fonction d’exposition, de célébration, de diffusion et de commentaire des connaissances scientifiques ou techniques. Illustrée par des œuvres antiques aussi prestigieuses que les Géorgiques de Virgile, elle s’appuie, dans la culture humaniste et classique, sur une « confiance dans la poésie comme discours du savoir » (T. Cave). Dans ce régime, savant et homme de lettres se lisent et se citent, en une circulation harmonieuse. En 1799, Cadet

p. 361) - Sénèque, Phèdre; vers 875-900 - Racine, Phèdre, IV, 1 vers 1001-1034 - Pradon, Phèdre et Hippolyte, III, 4 - Zola, La Curée, chap V NATHAN Interro des lycées 2008 Le mythe d’Orphée et d’Eurydice (corpus 19, p. 358) - Virgile, chant IV, vers 464-527, Georgiques - Anouilh, Eurydice, acte II (extrait) - Cocteau, Orphée (texte intégral du script) Doc iconographique : Poussin, Orphée et Eurydice NATHAN Interro des lycées 2008 Figues de sirènes (L – juin 2007) - Homère, L’Odyssée, chant XII

p. 361) - Sénèque, Phèdre; vers 875-900 - Racine, Phèdre, IV, 1 vers 1001-1034 - Pradon, Phèdre et Hippolyte, III, 4 - Zola, La Curée, chap V NATHAN Interro des lycées 2008 Le mythe d’Orphée et d’Eurydice (corpus 19, p. 358) - Virgile, chant IV, vers 464-527, Georgiques - Anouilh, Eurydice, acte II (extrait) - Cocteau, Orphée (texte intégral du script) Doc iconographique : Poussin, Orphée et Eurydice NATHAN Interro des lycées 2008 Figues de sirènes (L – juin 2007) - Homère, L’Odyssée, chant XII

Combeferre comparait entre eux les traducteurs des Géorgiques, Raux à Cournand, Cournand à Delille, indiquant les quelques passages traduits par Malfilâtre, particulièrement les prodiges de la mort de César 9 ; et par ce mot, César, la causerie revenait à Brutus. – César, dit Combeferre, est tombé justement. Cicéron a été sévère pour César, et il a eu raison. Cette sévérité-là n’est point la diatribe. Quand Zoïle 10 insulte Homère, quand Mævius insulte Virgile, quand Visé insulte Molière, quand Pope insulte

Combeferre comparait entre eux les traducteurs des Géorgiques, Raux à Cournand, Cournand à Delille, indiquant les quelques passages traduits par Malfilâtre, particulièrement les prodiges de la mort de César 9 ; et par ce mot, César, la causerie revenait à Brutus. – César, dit Combeferre, est tombé justement. Cicéron a été sévère pour César, et il a eu raison. Cette sévérité-là n’est point la diatribe. Quand Zoïle 10 insulte Homère, quand Mævius insulte Virgile, quand Visé insulte Molière, quand Pope insulte

Tournes, 1549, puis 1555. Pontus de TYARD, Solitaire second, ou prose de la musique, Lyon, Jean de Tournes, 1555. Pontus de TYARD, Solitaire Premier, Edition BARIDON, Genève et Lille, Droz, 1950. VIRGILE, Les Enéydes, Paris, Antoine Vérard, 1509. VIRGILE, Géorgiques, Paris, Les Belles Lettres, 1956. VIRGILE, Enéide, Paris, Folio, 1997. VIVÈS, De l’Institution de la femme chrétienne, Lyon, Jean de Tournes, 1543, 1547, 1549.   >  " Rainer Maria RILKE, Elégies de Duino. Sonnets à Orphée, Paris

pratiquait cette « imitation » des auteurs anciens qu’il admirait tant. Dans les Géorgiques (II, v. 291-292), Virgile évoque un chêne indéracinable : quantum vertice ad auras aetherias / tantum radice in Tartara tendit ? (« et autant part sa cime, il tend vers les souffles de l’éther, autant par sa racine, il s’enfonce vers le Tartare »). La Fontaine personnifie l’image (« tête », « pieds ») et renverse la valeur : Virgile soulignait la puissance du chêne, La Fontaine montre sa fragilité. Substituée

Nous sommes d’accord. » Napoléon se trompait. Ils n’étaient plus d’accord. Il n’avait pas pris une minute de sommeil, tous les instants de cette nuit-là avaient été marqués pour lui par une joie. Il « César rit, Pompée pleurera. » Virgile, dans ce vers des Géorgiques, évoquait le triomphe de César sur Pompée à Pharsale. 11 – 35 – avait parcouru toute la ligne des grand’gardes, en s’arrêtent çà et là pour parler aux vedettes. À deux heures et demie, près du bois d’Hougomont, il avait entendu

Balzac, Le Cousin Pons, Ed. Calmann-Lévy, p. 172. Émile Zola, Le Docteur Pascal, p. 227. [71] Max Scheler, Nature et Formes de la sympathie, trad., p. 270 [72] Novalis, Journal intime, suivi … de Maximes inédites, Paris, p. 143. [73] Virgile, Géorgiques , livre I, vers 84 et suiv. [74] [75] [76] [77] Pierre-Jean Fabre, loc. cit., p. 6. De Malon, Le Conservateur du sang humain, Paris, 1767, p. 135. De Pezanson, Nouveau Traité des fièvres, Paris, 1690, pp. 30, 49. Voir Cahiers