Viscosité

contraintes. On distingue deux grandes familles de fluides en fonction de leur viscosité : les fluides dits "newtoniens" et les fluides "non newtoniens". Les différents types de fluides Les fluides "newtoniens", comme l'eau, l'air et la plupart des gaz, présentent une viscosité constante ou qui ne peut varier qu'en fonction de la température. En revanche, les fluides "non newtoniens" ont la particularité d'avoir une viscosité variable, en fonction de la vitesse et des contraintes qu'ils subissent

fluide et fond ensuite lentement pour atteindre vers 1400° une fluidité comparable à celle du miel. Si on refroidit du verre fondu il passe par les mêmes cheminements en sens inverse. Sa viscosité augmente progressivement, c'est-à-dire qu'on a de plus en plus de mal à le déformer, et il arrive un moment où sa viscosité est telle qu'on peut le considérer comme un corps solide sans qu'on ait pu déterminer une température précise à laquelle serait produite cette solidification. Le passage du solide au liquide

20Terre%20et%20interfaces%20-%20Tersonnier.htm a complter jsk a la diapo 61 diapo 61 diapo 63 graine solide + noyau externe liquide = dans ce noyau externe liquide on a de la convection. Le noyau n'est pas entièrement solide. C'est une viscosité très faible, proche de celle de l'eau. L'alliage fer nickel est très peu visqueux donc on a une convection, mvt de matière, important dans le noyau externe liquide. Deux choses contrôlent la convection : les forces motrices (qté de chaleur a évacuer)

allongé d'eau en boisson rafraîchissante, obtenu en faisant dissoudre une importante quantité de sucre dans de l'eau additionnée de fruits ou de plantes aromatiques puis en subissant une cuisson à plein feu avant d'être filtré et embouteillé. La viscosité provient des nombreuses liaisons hydrogène entre les molécules de sucre dissoutes, porteuses de groupements hydroxyle, et l'eau. Les sirops de fruits proviennent des jus extraits du fruit et concentrés par chauffage pour donner un sirop épais et

eu un ajout de réactif basique afin de modifier la viscosité du polymère ou de rendre le tensioactif ionique. Expérience: Protocole : Pour vérifier les hypothèses, nous préparons deux solutions: Dans un bécher 1 nous introduisons 10mL d'eau avec 0.1g de polymère + 5 gouttes de soude. Dans le bécher 2 nous introduisons 10mL d'eau, 0.1g de tensioactif et 5 gouttes de soude. Résultats: Dans le 1er bécher, nous apercevons que la viscosité de la solution augmente. Dans le second bécher rien

hydrodynamiques dépendent de nombreux paramètres, parmi lesquels les paramètres géométriques (dimensions et formes du palier), cinématiques et dynamiques (vitesse de rotation et charge appliquée), les caractéristiques du lubrifiant (essentiellement sa viscosité et dans certains cas sa masse volumique) et la nature des matériaux formant le palier. Ainsi la détermination des paliers hydrodynamiques ne dépend pas seulement de la théorie de la lubrification mais aussi d’un ensemble de conditions liées à l’environnement

et finalement 2  t .   1 Il n‘est pas évident que la vitesse instantanée soit uniforme… 2 On se trouve en régime inertiel et pas dissipatif ; pour obtenir un régime dissipatif (écoulement type Poiseuille) il faut augmenter la viscosité et diminuer la section du tube de manière à diminuer le nombre de Reynolds de l’écoulement. La durée totale de l’écoulement est alors donnée par ( ) H tfin  s g = 0 ⇒ H0  1 − tfin  S 2 H0  2  S 2 H0  = 0 ⇒ tfin =

1. Fonderie 5 2. Composite 6 B. Injection 7 III. La cire 8 A. Les Cires Végétales et Animales 8 B. Cires industrielles 9 IV. Caractérisation des cires 11 A. Propriétés importantes 11 B. Tests existants 11 1. Fluidité ou viscosité 12 C. Manipulations 13 1. Essais thermique 14 2. Essais de flexion 19 3. Caractérisation du retrait 22 4. Caractérisation de la dureté 24 V. Synthèse et perspectives 26 Conclusion 28 * Introduction Dans le cadre de notre

facteurs: 60 état de surface du solide la viscosité du fluide la vitesse du centre d'inertie G du solide par rapport au fluide. Pour les vitesses « faibles », f est proportionnelle à V et dépend de la viscosité du fluide: f = k .V avec k constante dépendant de la viscosité, (k en N.m-1.s ou kg.s-1) Pour les vitesses « plus élevées», f est proportionnelle à V2 et ne dépend plus de la viscosité du fluide: f= .V2 avec constante indépendante de la viscosité . 22-1 Etude expérimentale Au cours d'une

tube, une vitesse d’entrée en fonction du Reynolds ������������ = ������ ������ ������������ ������ 350 × 1,007.10−6 ⟺ ������ = = = 0,0035245 ������/������ ������ ������ 0,1 On prend comme viscosité celle de l’eau à 20°C. Nous avons modifié les paramètres par défaut de l’eau pour obtenir cette viscosité (������ = 103 ������������/������3 et ������ = 1,007.10 ������������. ������)  A la sortie du tube, une sortie sur pression 2.3. Création du maillage Nous créons un Maillage volumique avec