Vision Du Monde Dans La Princesse De Clèves

Séquence n°1 : Texte : La princesse de Clèves De Madame de Lafayette La princesse de Clèves est un roman qui appartient au classicisme, écrit par Madame de Lafayette en 1678. D’abord publié anonymement, La princesse de Clèves nous fait découvrir la cour d’Henri II, au XVIème siècle, ainsi que ses deux héros, la princesse de Clèves, qui donne son nom au roman, et le duc de Nemours, dont elle va s’éprendre fortement, et dont l’amour réciproque leur provoquera beaucoup de souffrance et de malheurs

Madame de la Fayette écrit La princesse de Clèves en pleine période du classicisme et publie le roman en 1678. Cette oeuvre est considérée le premier roman moderne de la littérature française par ses analyses psychologiques. Le roman s'ouvre sur le tableau de la Cour de France sous le règne d'Henry II et narre le destin de la princesse de Clèves qui rennonce à son amour pour un autre homme. L'extrait qu'on va commenter est la scène de première rencontre entre Mme de Clèves et le duc de Nemours qui a

Déborah Pour vendredi 23 novembre 2012 Freva 1èreS5 Commentaire littéraire Observations : | Note : | Extrait de La Princesse de Clèves Le roman La Princesse de Clèves est écrit en 1678 par Madame de La Fayette, cependant il est d’abord publié anonymement, ce qui entraine de nombreux questionnements sur l’identité de l’auteur. Ce roman est considéré comme le premier roman moderne. En effet l’auteur explore la

Mme de La Fayette « Le portrait d’une beauté » La Princesse de Clèves (1678) Introduction : Marie-Madeleine Pioche de la Vergne, comtesse de La Fayette, est née en 1634 et morte en 1693. Elle entre dans l’aristocratie grâce à son mariage avec le comte de La Fayette, puis fait partie des précieuses en raison de son éducation raffinée et de sa fréquentation des salons. Cependant son style sobre et son tempérament réservé la distinguent des Précieuses ridicules de Molière. Auteur des premiers romans

dissert PDCTrouvez-vous satisfaisante la fin de la princesse de Clèves ? En 1678, lors de la publication du roman La princesse de Clèves, de nombreuses querelles et débats apparaissent. Ils concernent notamment certaines scènes du livre comme l’aveu de la princesse de Clèves de son amour pour le Duc de Nemours à son mari, ou encore la fin du roman. La fin de la princesse de Clèves est surtout basée sur le fait que la princesse refuse de vivre son histoire d’amour avec le Duc de Nemours

pourrait mourir lors d’un duel. L’accident survient lors de l’ultime duel d’un tournoi contre le comte de Montmorency : le roi reçoit un éclat de lance dans l’œil. Encore une situation tragique à mentionner c’est l’histoire racontée par le prince de Clèves à sa femme portant sur son ami Sancerre, amoureux de Madame de Tournon, une veuve de la cour qui vient de décéder. Celle-ci lui avait promis, ainsi qu'à monsieur d'Estouteville, de l'épouser en secret. À la mort de Madame de Tournon, Sancerre est

du regard, le romancier transmet sa vision de l’homme tandis que le narrateur raconte en adoptant un certain point de vue. Dans chacun de ses deux cas, le roman reste un moyen de porter un regard sur le réel. C’est dans cette optique que Madame de la Fayette écrit le premier ouvrage romanesque en 1678 intitulé la Princesse de Clèves. Mme de Clèves, ayant avoué à son mari son amour pour M. de Nemours décide de s’isoler dans sa maison à Coulommiers. M. de Clèves sur ses gardes, décide de faire suivre

majeurs sont le baroque ainsi que le classicisme dont Madame de la Fayette se rapproche à travers des analyses très fines et détaillés des émotions et des pensées de ses personnages. Madame de la Fayette à travers son œuvre La Princesse de Clèves fait une critique de l’extravagance et l’impiété de la haute société de la Cour dont elle fait partie depuis son mariage avec le comte de La Fayette ; François Motier. Ce nouveau statut lui permet également de tenir un salon littéraire

passions humaines. Au XVII e siècle notamment, les moralistes et les auteurs conduisent une analyse sans concession des passions. Ainsi, nous étudierons le regard porté sur les passions par Mme de Lafayette, qui publie anonymement La Princesse de Clèves en 1678. Étymologiquement, le mot passion vient du latin passio, qui signifie souffrir, supporter, endurer. Originellement, la passion est ainsi associée à la souffrance, à un tourment. Mais le mot s’utilise aussi pour faire référence

La princesse de Clèves, Madame de La Fayette. Le portrait de La princesse de Clèves. Le portrait de Mademoiselle de Chartres est mélioratif, élogieux, modèle de l’honnête femme. Le portrait du personnage éponyme (le premier portrait) est précédé d’une peinture de la cours : monde des apparences et des manières policées, elle apparaît surtout comme le royaume des intrigues et des « liaisons ». Le lecteur peut donc être perplexe puisqu’il ne sait si la princesse de Clèves sera une reine