Vitesse radiale

(ou qui lui est parallèle). Ceci implique le choix d’une origine, d’un sens et d’une unité de mesure de longueur (voir figure I.2). Figure I.2. I.2.2 : La vitesse moyenne La vitesse d’un mobile caractérise la variation de sa position au cours du temps. Soit deux positions du mobile P1 et P2 à deux instants t1 et t2 (t1 < t2). La vitesse moyenne du mobile entre les instants t1 et t2 est donnée par : vm (t1 , t 2 ) ≡ x 2 − x1 t 2 − t1 = ∆x ∆t (*) où x1 et x2 sont les coordonnées des points

médian B. le nerf ulnaire C. le nerf radial D. le nerf axillaire E. le nerf musculo-cutané Question n°4 : Parmi les muscles suivants, quel(s) est(sont) celui(ceux) qui est(sont) un(des) muscle(s) plat(s) ? A. carré des lombes B. grand pectoral C. biceps brachial D. quadriceps E. grand dorsal …/… -3- Question n°5 : Parmi les articulations suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) qui est(sont) une(des) énarthrose(s) ? A. scapulo-thoracique B. huméro-radiale C. tibio-tarsienne D. coxo-fémorale

canal carpien, celles du nerf radial, d'avantage une cervicarthrose Les signes cliniques - Statique : * Masse (any ) et douleur à la pression du creux sus-claviculaire. * Rechercher les pouls : axillaire, huméral, radial, cubital, Examen neurologique complet. - Dynamique : * Manoeuvre des scalènes ou manoeuvre d'Adson : Inspiration forcée bloquée, extension du cou et rotation de la tête du côté examine ... dimition pouls radial . * Manoeuvre costoclaviculaire

: la flexion – extension de l’articulation huméro-ulnaire (ginglyme) et la pronation – supination qui associe l’articulation radio-ulnaire proximale (trochoïde) du coude à l’articulation radio-ulnaire distale (trochoïde). L’articulation huméro-radiale (sphéroïde) est donc passive d’un point de vue physiologique. En pratique, le coude est le complexe articulaire qui permet la préhension (en extension – pronation) d’un aliment pour le porter à la bouche (en flexion – supination). L’amplitude

lavé les mains avec de la solution hydro-alcoolique, elle tâtonne au niveau du pli du coude, où était auparavant la crème EMLA. Tout en faisant la conversation, l’infirmière après avoir enlevé la crème Emla, commençe à chercher le pouls de l’artère radiale en tâtonnant le poignet du patient. Après avoir trouvé le pouls, elle se lave les mains, met les gants, désinfecte la partie de la peau où elle voulait piquer, avec une compresse imbibé de Betadine® alocoolique. L'infirmière met la compresse dans

du code de la santé publique, livre 3.( Recueil des observations[…]pulsations[…] ) III) LES DIFFERENTS POULS: Il est possible de prendre le pouls dans différentes régions du corps: Face et cou: - carotide Membre supérieur : - artère radiale (prise de pouls) - artère humérale (pose du stéthoscope pour la prise de TA) Membre inférieur: - artère fémorale (pli de l’aine) - artère poplitée (creux du genou) - artère pédieuse (dessus du pied) - artère tibiale-postérieure

E/ Le nerf radial : Il s’étend du plexus jusqu'à la main. Au niveau de l’avant bras il va se diviser en deux, on aura une branche antérieur et une branche postérieur. Au niveaux du bras il va innerver toute les extension du coudes, il va innerver le triceps brachial. Au niveau de l’avant bras, la branche postérieur va innervé les extenseurs communs des doigts. Cette branche postérieurs va innervé les différents extenseurs des doigts en particulier le pouce et l’index. Le nerf radial assure l’innervation

intermusculaire médial en arrière. • L'artère brachiale (ou humérale) fait suite à l'artère axillaire. Elle gagne le pli du coude et donne 2 collatérales importantes : o en haut l'artère profonde du bras (humérale profonde), qui accompagne le nerf radial dans la loge postérieure du bras, o et en bas les collatérales ulnaires, supérieure et inférieure. L’artère collatérale ulnaire supérieure accompagne le nerf ulnaire dans la loge postérieure, et l’artère collatérale ulnaire inférieure se divise en

n´ raux de la m´ canique quantique s’´ noncent sous la forme de cinq postue e e e lats. Le premier postulat d´ finit la notion d’´ tat quantique. Cette notion vient remplacer le e e concept d’´ tat classique d´ fini par la donn´ e des positions et vitesses des particules constie e e ´ tuant un syst` me. Le second postulat d´ finit l’´ volution temporelle d’un etat quantique en e e e nous donnant l’´ quation de mouvement quantique, appel´ e equation de Schr¨ dinger ; cette e e ´ o ´ equation joue le

Transformation des distances. . . . . . . . . . . 2.2.3 Disparition de la simultan´it´. . . . . . . . . . e e 2.2.4 Equivalence masse-´nergie. . . . . . . . . . . . e 2.3 Aspects philosophiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.4 Transformation des vitesses . . . . . . . . . . . . . . . 2.4.1 Transformation de la composante longitudinale 2.4.2 Transformation de la composante transversale . 2.4.3 Forme diff´rentielle . . . . . . . . . . . . . . . . e 2.5 Transformation des acc´l´rations . . . . . . .