Vivre Sans Superstition

où le peuple veut servir le tyran est historique et que quelque chose a dû nécessairement se passer, pour que les hommes tombent de la liberté dans la servitude : «… quel malencontre a été cela, qui a pu tant dénaturer l'homme, seul né de vrai pour vivre franchement [librement] ; et lui faire perdre la souvenance de son premier être, et le désir de le reprendre ? » Le Malencontre est un accident tragique dont les effets ne cessent de s'amplifier au point que s'abolit la mémoire de l'avant, au point

Lumières, à la fois philosophie, mouvement culturel et politique, lequel a cherché à instituer la raison dans tous les domaines de l’esprit. Le projet des Lumières est de substituer la raison partout où c’est possible: face à la foi aveugle, à la superstition, au régime arbitraire et à la force brute les philosophes des Lumières s’engagent sur un grand nombre de sujets d'abord fondée sur la foi dans la raison , le progres et le bonheur . Les Philosophes des lumieres sont né de l'acceceleration des

corrompre par nos passions ou par les préjugés plus faciles à écouter mais pourtant beaucoup moins bons pour l'âme, et de rester ainsi dans la vérité et donc dans la sagesse, selon Epicure : bien vivre : « Ne les perds pas de vue quand tu agis, en connaissant clairement qu’elles sont les principes de base du bien vivre ». L 11 à 21 : Epicure nous définit ce que sont les dieux, c'est-à-dire des êtres éternels et exaucés mais il nous oppose à l'imagination de l'opinion humaine qui invente des dieux pleins

a. Les croyances sylvestres : la persistance des superstitions séculaires. Les forêts, par leur caractère lugubre et sombre, entretenait dans l'esprit superstitieux des premiers hommes un mélange de crainte et de vénération., d'où sa présence très ancienne dans les cultes de nombreux peuples. Proches de la terre, des eaux, des bois, de la vie quotidienne des bergers, paysans et bûcherons, les créatures mythiques de la forêt semblaient vivre en harmonie avec les hommes comme avec les bêtes. Elles

payer leurs péchés pour mener une vie de plaisirs, et à l’Eglise qui fait de la religion une superstition et une transaction commerciale. Nous verrons donc en premier lieu comment les faux-croyants rachètent leurs péchés et la prétention qu’ils en tirent, et dans un second lieu nous analyserons les points sur lesquels Erasme critique la religion, à savoir son intérêt financier et sa déviation vers la superstition. Nous verrons, en même temps que ces deux mouvements, la manière dont Erasme donne à ce texte

pays, observaient nouvelles sociétés et civilisations et les comparaient avec la leur, petit à petit ils ont commençaient à se questionner à propos de meilleures façons de vivre la vie et d’améliorer leur société. Ils ont critiqué et dénoncé les maux sociaux comme les inégalités, l’esclavage, le fanatisme religieuse, les superstitions etc. en utilisant l’arme de l’écriture afin de faire ouvrir les yeux des gens et leur pousser à réfléchir. En comprenant les nouvelles idées et les nouvelles philosophies

génies serviles, des esprits pusillanimes qui se laissent effrayer par les conséquences où conduit l’irréligion, & qui n’osant sortir un instant du cercle des vérités établies, ni marcher dans des routes nouvelles, s’endorment sous le joug de la superstition. Mais on doit avoir une idée plus juste du philosophe, & voici le caractere que nous lui donnons. Les autres hommes sont déterminés à agir sans sentir, ni connoître les causes qui les font mouvoir, sans même songer qu’il y en ait. Le philosophe

grandes valeurs philosophiques des Lumières, enfin, on s’intéressera à la façon dont il procédait pour critiquer, dénoncer, ou attaquer des institutions et des individus. Le philosophe des Lumières ne se fit pas aux préjugés et aux superstitions détériorant le 18ieme siècle grâce à son raisonnement et ses principes de vie. Tout d’abord, il est un homme de raison n’ignorant pas la puissance des sentiments. « Un raisonnement n’est valable que dans la sphère de sensations » écrivait Kant

l’adolescence il sera attiré par l’écriture. À vingt ans , il s’installe à Paris et commence, contre son gré, des études de Droit. C’est pendant son séjour à Paris qu’il rencontre de grandes personnalités de l’époque. En 1844, il quitte Paris pour aller vivre à Croisset, près de Rouen dans une propriété appartenant à sa famille, où il commence à rédiger une première version de L’éducation sentimentale , laquelle sera réécrite en définitif en 1864. Gustave Flaubert va commencé en

ne sait pas lire, qui ne comprend pas le latin. Tout ce qu’il sait est transmis par ses ancêtres, ses parents. On est dans un monde de superstitions, qui reviennent parfois aujourd’hui : chat noir, vendredi 13, horoscope… Ce monde des superstitions rend compte d’une certaine forme d’athéisme pratique. Ce chapitre des superstitions est instructif par rapport à la théorie du Moyen Âge mais délicat à manier. Il faut dire que pour l’Église, les athées sont ceux qui