Volonté générale

celles qui n'en dépendent pas. Il est insensé et destiné au malheur de faire porter son désir sur ce qui ne dépend pas de nous. Il faut au contraire concentrer toute notre volonté sur ce qui dépend de nous, c'est-à-dire nos pensées, nos jugements sur les choses, nos sentiments, etc…. C’est dans un certain exercice de la volonté qu’il existe la liberté, cet exercice est de désirer ce qui est conforme à notre nature humaine. Tout ce qui ne dépend pas de nous est indifférent à notre égard. Il faut s'en

octobre 2006 à 21 h 17 Nerval 2 message(s) Pourquoi désirer l'impossible ? Pourquoi désirer l'impossible ? um…très bonne question....n'est-ce-pas ? Le désir est par essence la nécessité de combler un vide, un manque. Le désir est une volonté innée chez l'homme d'obtenir ce qu'il ne possède pas. Ce qui est impossible, c'est ce qui ne peut pas être, ce qui n'est pas possible matériellement, politiquement, socialement, moralement... Misère de l'homme que de vouloir ce qu'il ne pourra donc

raisonnable de renoncer à ses désirs. Néanmoins l'Homme ne peut vivre sans désir car ce dernier est, au même titre que la raison, une des essences de l'être humain. Mais tout désir ne serait pas forcément déraisonnable, il l'est tant qu'il n'est pénétré de volonté et d'intelligence.

question « tout choix est-il une mutilation ? » ne nous invite pas à nous interroger sur le fait qu’un choix entraîne une mutilation mais plutôt à se demander si la mutilation est systématiquement présente lorsqu’on à le choix. Choisir est l’acte d’une volonté indépendante à toute contrainte, extérieure comme intérieure, qui décide par et pour elle-même de ce qui est juste ou vrai. Choisir c’est se déterminer en faveur d’une option contre une autre. En effet, il y a choix quant plusieurs possibilités sont

Parfois on doit opposer ce qu’on désire faire et ce qu’on croit devoir faire. Il faut alors séparer dans l’esprit plusieurs facultés : celle qui permet de connaître (raison, entendement) et celle qui pousse à agir (les désirs). On distingue parfois la volonté soit comme le souhait rationnel, délibéré, éclairé et guidé par la raison, soit comme simplement un désir plus puissant ou le dernier qui l’a emporté. Les philosophies éthiques traitent donc ce problème central de l’action : qu’est-ce qui nous

« Est-ce qu’on délibère sur toutes choses, autrement dit est-ce que toute chose est objet de délibération, ou bien y a t-il certaines choses dont il n’y a pas de délibération ? Nous devons sans doute appeler un objet de délibération non pas ce sur quoi délibérerait un imbécile, ou un fou, mais sur ce quoi peut délibérer un homme sain d’esprit. Or, sur les entités éternelles il n’y a jamais de délibération : par exemple, l’ordre du Monde ou l’incommensurabilité de la diagonale avec le coté du carré

définition, un Homme libre agit donc entièrement selon sa volonté. Pourtant, toute société qui garantit la liberté de ses individus comporte des interdits. Le pouvoir de volonté de chacun n’y est pas absolu. Nous en venons donc à nous poser plusieurs questions ; dans ces sociétés qui promettent la liberté, où s’arrête celle de chaque individu ? Quel rapport existe-t-il entre liberté, état de celui qui n’est soumis à aucun maître, et volonté, qui est la faculté de déterminer librement ses actes en

Commencez par vous demander pourquoi on vous pose la question de manière à déterminer le problème du sujet. On oppose souvent le désir à la raison. Le désir en effet, nous conduit à faire des choses qui ne sont pas raisonnables, il nous rend dépendants, il nous fait perdre le contrôle de nous- mêmes et à terme, nous rend malheureux puisque par essence, il n'est pas possible de le contenter dans la mesure où à peine satisfait, il se déplace sur autre chose. Il serait donc tentant de considérer qu'il

élevé, n'ont pour source que ce besoin irrésistible de sortir de cet état de non-liberté, pour s'approprier le monde par la représentation et la pensée. D'autre part, la liberté dans l'action consiste à se conformer à la raison qui exige que la volonté devienne réalité Liberté rapport avec le savoir Le savoir est-il essentiel pour être libre ?

que nous sommes. C’Est-ce que Sartre affirme en disant que « l’existence précède l’essence ». Cela signifie que qu’à notre naissance, nous ne sommes pas soumis à des conditions telles que notre passé. La capacité d’être libre se différencie de la volonté d’être libre. Par exemple, face à un régime trop stricte, l‘ensemble des individus peut se révolter. Le libre-arbitre permet aux individus de douter et de juger leur situation. Ils peuvent ainsi avoir leur propre opinion et agir en conséquence. C‘est