Vote Et Démocratie

l'œuvre de Jean Bodin : les Six livres de La République. Elle n'est plus, comme au Moyen-Âge, la propriété d'une personne, mais une fonction attribuée par l'État. S'est alors posée la question de savoir qui est titulaire du pouvoir souverain dans une démocratie. Selon Rousseau, c'est le principe de la souveraineté populaire : chaque individu possède une part de la souveraineté. Mais l'introduction du terme de « nation » durant la période révolutionnaire conduira à la consécration de la souveraineté nationale

Problématique: Peut on accorder des droits propres aux minorités sans nuire a la démocratie ? I ) Définitions : Démocratie: c'est le gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple Minorités: groupe(s) social(aux) composé(s) d'individu qui présente des caractéristiques culturelles différentes ( langue etc ) que les autres groupes sociaux mais qui forment un seul pays. Example ; les basques II ) Droit de vote des étrangers : Le sénat a adopté , jeudi 8 décembre 2011, une proposition

Education civique Introduction : Ces trois notions (citoyen, démocratie et république) sont des notions complexes qui ont une longue histoire. I Le citoyenneté A) Le citoyen : Citoyen : le citoyen est l’individu homme ou femme qui possède la nationalité d’un pays, exerce ses droits politiques (vote) et participe à la vie social et économique. La citoyenneté se définit donc par des droits mais aussi par des devoirs. B) Citoyenneté et nationalité. * Les conditions pour avoir la

concevoir des régimes démocratiques , des régimes autoritaires, des régimes dictatoriaux. Cependant,( comme les événements politiques récents (Tunisie, Égypte...) l'illustre parfaitement) la tendance est a promouvoir la démocratie pluraliste d'inspiration libérale. Les démocraties de type marxistes ont bien sur pâti de la chute du mur de Berlin et ne subsistent plus guère que des régimes originaux tel que le régime chinois ou encore le régime de la Corée du Nord. Cette conception pluraliste libérale

Démocratie : deux ou trois choses que je sais d'elle... Gérard PIROTTON Cet article a fait l’objet d’une publication dans « La Revue Nouvelle », N°12/1995. Page 66-77.n Voir :< www.revuenouvelle.be > Merci de citer la signature et les références : < www.users.skynet.be/gerard.pirotton > Au lendemain des élections du 21 mai 1995, le ton dominant des commentaires autorisés était à l'apaisement. Étonnante stabilité du corps électoral belge, vote davantage personnalisé, non éclatante victoire de

: Le processus social de construction de l’acte électoral En démocratie, les dirigeants ne sont pas « élus » mais « se font élire ». Ce constat, formulé par Moisei Ostrogorski dès la fin du XIXe siècle, invite à considérer le vote moins comme le résultat de l’intérêt spontané des individus pour la politique que comme le produit d’un travail d’enrôlement des citoyens par les professionnels de la politique (Ostrogorski, 1903). La sociologie de l’opération électorale implique l’évolution

Titre 2 Les principes applicables à l’expression de la volonté du peuple Dans la démocratie libérale il y a une représentation du peuple à travers les élections cependant il n’a pas toujours été ainsi et on trouve dans le passé des systèmes dans lesquels on ne prête aucun attention à la volonté du peuple et au contraire s’exerce un pouvoir autoritaire de la part du pharaon du roi ou d’un dictateur. Pour examiner le système qui s’applique aujourd’hui en matière de représentation il faut évoquer

En relation avec la démocratie vécu au quotidien, la notion d’abstention est importante afin d’en déterminer les causes et les conséquences. Il faut particulièrement insister sur la mise en péril de la démocratie par la montée de l’abstention : c’est d’ailleurs le thème retenu dans les campagnes d’affichage en faveur des inscriptions sur les listes électorales. L’abstention est-elle une forme d’expression ? Est-elle un danger pour la démocratie ? Pour répondre à ces interrogations, je me suis basée

Droit Constitutionnel TD n°6 L’élection est-elle une condition suffisante de la démocratie ? Fiches de lecture, synthèse Analyse des documents Document n° 1. Bidégaray, Ch., « Election », dans Y. Mény, O. Duhamel, dir., Dictionnaire constitutionnel, PUF, 1992, pp. 372- 373 L’élection est un mode de dévolution du pouvoir reposant sur un choix opéré par l’intermédiaire d’un vote ou suffrage. Mais elle a des limites : capacité électorale, type de suffrage (direct ou indirect), taille

ECJS ECJS Thème : Le droit de vote doit-il être rendu obligatoire en France Thème : Le droit de vote doit-il être rendu obligatoire en France Maxime Dumont 1°S3 Maxime Dumont 1°S3 SOMMAIRE : 1) Définir les mots du sujet I/Le droit de vote en France II/ Un taux d’abstention de plus en plus présent III/ Le vote obligatoire à travers le monde  2) Recherches Sitographie : http://www.bvoltaire.fr/mariedelarue/droit-de-vote-obligatoire-une-fumisterie-de-plus,11808 http://storage