Vote nul

français, Jean-François Revel, déclare paradoxalement, dans un Entretien avec Pierre Assouline en 1988 que : « La civilisation démocratique est entièrement fondée sur l’exactitude de l’information. Si le citoyen n’est pas correctement informé, le vote ne veut rien dire. » Il admet donc par cette thèse, qu’un individu , prenant part au scrutin, ne va pas forcément voter pour la cause qu’il défend, cela étant dû à sa méconnaissance du sujet. Son suffrage est donc insignifiant et fausse le résultat

décret et fait démissionner Gambetta  à division au sein des républicains.   Elections du 8 février 1871 = élections en semaine, au chef lieu du canton… vote massif pour la paix et l’ordre (l’opposition est la liste jacobine de Gambetta) envoie une grande majorité de monarchistes. En l’absence de campagnes électorales, les ruraux ont voté pour des figures connues.  Assemblée « introuvable » réunie à Bordeaux : Président : Jules Grévy. Mais le chef du pouvoir exécutif (le 17 février) = Thiers qui

respecter les droits et les intérêts de ses adversaires ? Une assemblée de représentants serait plus à même de respecter mieux les libertés de la minorité que le peuple lui-même, elle est plus raisonnable moins démagogue. Dans un régime représentatif, le vote est un mode de désignation et pas un transfert de responsabilité. Les élus tirent leur légitimité, non par délégation de la souveraineté de leurs électeurs, mais du fait même de leur élection qui est donc un mode d'investiture dans la fonction. L'électorat

ayant un âge minimum de 18 ans. Au bout de deux ans de service dans l’armée athénienne, le sujet concerné devient citoyen athénien. II- Athènes, une cité démocratique. À Athènes, tous les pouvoirs dépendent de l’Ecclésia qui désigne par vote ou tirage au sort l’Héliée qui est un tribunal, la Boulè (conseil qui prépare les lois) et les magistrats, dont les stratèges (qui dirigent l’état). C’est une démocratie directe car tous les citoyens peuvent décider directement des lois, de la guerre

manquent de rappeler que cette dernière a conduit, il y a moins d’un siècle, à l’instauration d’une dictature. Ainsi lors de sa promulgation le 4 octobre 1958, la Constitution proclame par les articles 6 et 7 que l’élection du Président se fera par le vote d’un collège électoral plus large que le Parlement - première victoire – composé outre les membres des deux assemblées, des représentants des collectivités territoriales et de l’Outre-mer soit en tout près de 800 000 électeurs. Le seul scrutin de

commune jusqu’à ce qu’ils soient parvenus à 1 accord unanime. Donc en pratique, jamais aucun Etat ne sera a priori d’accord pour adopter à la majorité : le mode de votation au sein du Conseil des ministres, qui deviendra la règle de droit commun, sera le vote à l’unanimité. Cela signifie que jusqu’en 1986, les Etats qui gardent la maitrise de la production normative au sein des communautés, la gardent dans le respect de leur souveraineté. Ainsi, ce compromis du Luxembourg est 1 frein à l’intégration de

| | | |Toutes les décisions se prennent à la majorité, après vote à main levée pour que chacun soit obligé de se mouiller : l’on note ici un sens| | | |aigue de la responsabilité qui permettra à chacun des membres du comité à

«gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple» (art.2). La Constitution rappelle par ailleurs que la souveraineté est une et indivisible, puisqu’«aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice» (art.3). Le vote est l’expression de la souveraineté. La Constitution prévoit que «le suffrage peut être direct ou indirect» et qu’il est «toujours universel, égal et secret» (art.3). Le rôle des partis et groupements politiques, dans la formation démocratique de

il demande le retour du plus illustre des français et demande au parlement d’i investir De Gaulle. Si le parlement refuse d’investir De Gaulle, Coty menace de démissionner. De Gaulle est investi le 1er juin 1958 par 392 voix contre 224. L’assemblée vote les pleins pouvoirs à De Gaulle, et le pouvoir de modifier la constitution. II – L’élaboration, l’adoption et la mise en place de la Vème république A – De l’élaboration à l’adoption de la constitution de la Veme république : une affaire grandement

quand il ne peut obtenir la nomination du Parti républicain. Woodrow Wilson est élu grâce à la division au sein du Parti républicain ; le total des votes de Taft et de Roosevelt est en effet supérieur à celui obtenu par Wilson1. Candidat | Parti | Vote populaire | % | Collège électoral | Woodrow Wilson | Démocrate | 6 293 152 | 41,8 | 435 | Theodore Roosevelt | Progressiste | 3 484 980 | 35,0 | 88 | William H. Taft | Républicain | 3 483 922 | 23,2 | 8 |