Vote nul

premier tour nous permettent de dire que le Général De Gaulle est en tête avec une moyenne de 54% des intentions de vote suivie de François Mitterrand avec 25,5% des intentions de vote, Jean Lecanuet 11,5% des intentions de vote, Jean-Louis Tixier-Vignancour avec 6 ,5% des intentions de vote, Pierre Marcilhacy avec 2% des intentions de vote et enfin Marcel Barbu avec 1% des intentions de vote. Lors du dépouillement du premier tour, le 5décembre 1965, le Général De Gaulle fini en tête avec 44,65% (soit

identifications comme moteurs de l’action » : l’appartenance à tel ou tel parti situé de telle ou telle manière sur l’échelle gauche/droite a souvent peu voire pas d’influence lors d’actions ou de réactions face à des situations concrètes. Ex. droit de vote des étrangers : N. Sarkozy ancien président UMP favorable en 2008, puis changement de discours durant la campagne de 2012 (peut aussi s’expliquer par le besoin de radicalisation du discours politique en vue de rassembler les voix de droite) ; F. Hollande

des pouvoirs et n’a quasiment aucun droit sur le pouvoir judiciaire, mis à part le droit de grâce. De plus, Il ne peut pas influencer le vote des députés, sa présence à l’Assemblée nationale ne peut être qu’exceptionnelle et limitée à certaines occasions. Le vote d’une loi se faisant entre l’assemblée nationale et le parlement, le président ne peut influencer le vote d’une loi, surtout si il y’a cohabitation. Même l’article 16 qui confère au président des pouvoirs très étendus lors d’une crise, présente

le président ne dispose pas à la différence des membres du gouvernement du droit d’entrée et de paroles aux assemblé, le président dispose d’un droit de message au parlement ces messages il les fait lire et il ne donne lieux a aucun débat ni à aucun vote afin de ne pas mettre en cause le chef de l’Etat. 2) L’inviolabilité pour les actes détachables de la fonction présidentielle. Il est responsable de ses actes personnels mais ils bénéficie de l’inviolabilité c a d un privilège de procédure

l'enseignement congréganiste (non laïque). Vice-président de la Commission du suffrage universel, il veut faire adopter le système de la représentation proportionnelle aux élections législatives, et se déclara d'opinion favorable au vote féminin. Il appartient à diverses Commissions (Commission d'assurance et de prévoyance sociales, Commission de l'hygiène publique). Président de la Ligue des Droits de l'Homme. Aux élections générales de mai 1924, il perdit son siège

stabilité des majorités. - La RP rend difficile la formation d'une majorité parlementaire stable, c'est-à-dire qui dispose durablement de la majorité absolue des sièges, condition nécessaire pour mener des politiques cohérentes. En effet, à l'issue du vote, les sièges sont parsemés entre de nombreux partis politiques. Ils sont donc contraints de s'allier pour gouverner. Conséquences : les majorités peuvent être instables. Ce fut le cas notamment sous la IVè République en France (document 2). Cela

paradoxe du vote ». Qu’est ce qui amène les gens à voter ? Aucune des 3 formes de rationalité ci-dessus ne l’expliques puisque le vote d’une personne en lui-même ne fait quasiment aucune différence sur le résultat de l’élection. Pourtant les gens votent. Boudon en conclut que les gens agissent parfois quand ils ont de fortes raisons de le faire. Ex :  le résultat n’est pas assuré mais j’ai une préférence claire et je pense vraiment que ce groupe de politique serait meilleur alors je vote. Je vote car je

|Cependant, pour certains, la démocratie sortirait fragilisée par l’importance de l’abstention (« premier | |...fragilisés par |parti de France ») comme à l’occasion des élections présidentielles de 2002 : un électeur sur 4 n’a pas voté.| |l’abstention… |L’abstentionnisme est le fait de ne pas aller voter lors d’un scrutin, soit par mécontentement envers les | | |partis politiques, soit par désintérêt...

dans sa circonscription; théoriquement, un candidat pourrait gagner avec deux voix, si chacun de ses opposants n’en obtenait qu’une. Les variantes de ce système sont le scrutin majoritaire plurinominal, le scrutin majoritaire à deux tours ou le vote unique non transférable, systèmes qui seront examinés plus loin. Une autre adaptation, également classée dans cette catégorie, a été utilisée au Népal au début des années 1990. Il s’agissait, dans ce cas précis, de tenir compte du faible taux d’alphabétisme

lourdement, certains électeurs refusant de répondre, d'autres n'osant pas dire pour qui ils ont l'intention de voter. C'est pour cette raison que les instituts effectuent des redressements. Si par exemple on interroge les sondés sur leur précédent vote et que l'on trouve 7% d'électeurs FN ( front National) alors que celui-ci avait obtenu 14% des suffrages, on en déduira que le score du FN est sous-estimé de moitié. On redressera d'autant son pourcentage dans le sondage. Les sondés peuvent être interrogées