Voyages Initiatiques Maçonniques

Lors de la cérémonie rituelle d’élévation au quatrième degré Maître Secret, le TFPM prononce ces mots au quatrième voyage de l’impétrant : «  Ce que la Maçonnerie vous demande, c'est d'aimer la justice, de marcher dans ses voies, de la servir de tout votre cœur. » De quelle justice est-il question au 4ème degré ? Comment le MSpeut-il la servir ? Par quoi cela doit-il se traduire dans le monde profane ? »Afin de répondre à ce questionnement, intéressons-nous, dans

qualités. Le levier est un outil qui fait partie de l’initiation de la Compagnonne lors du troisième voyage, il n’est donc accessible qu’à ce stade. Lors du premier voyage portant sur les 5 sens (vue, ouïe, odorat, toucher, goût) la compagnonne reçoit le maillet et le ciseau, outil qu’elle a déjà eu en tant qu’apprentie et qu’elle utilisera en permanence pour tailler sa pierre. Lors du deuxième voyage qui définit les 5 ordres à connaître dans l’art architectural (Dorique, Ionique, Corinthien, Toscan

une intégrité, une fidélité, un objet, la foi. Mais je vais m’orienter vers l’épreuve de l’esprit, mon sentiment c’est que cette épreuve initiatique prend tous son sens dans ma démarche de renaître dans une nouvelle vie. Les épreuves selon l’esprit maçonnique, c’est : Ensembles des moyens physiques et psychologiques employés pendant les voyages initiatiques pour sonder les dispositions, le caractère, et l’intelligence du récipiendaire. Feu : En pratique, cuire, réduire en cendre, éliminer

Les 3 Voyages de l’Apprenti Vénérable Maîtresse et vous toutes mes sœurs Par le passage du rituel des 3 voyages maçonniques l’être que nous sommes avec nos pieds pour AVANCER, nos bras pour PORTER, et notre tête pour PENSER, TRAVAILLER et TRANSMETTRE, va amorcer le véritable voyage qui consiste à accéder à son propre cœur, à trouver et ouvrir son temple intérieur. Par cette première initiation l’apprenti va commencer son ascension telle l’alpiniste escaladant une montagne. Il va ouvrir sa

L'initiation maçonnique Trois minutes de symbolisme L’initiation est l’acte fondateur par lequel le profane (pro fanum, celui qui attend devant le temple) est agrégé à une communauté. Il devient ainsi un Frère : l’emploi d’un terme à connotation génétique indique que le pacte acquiert la force d’un lien de sang. Premier constat : l’initiation est, impérativement, sociale, communautaire. Certes, il peut y avoir expérience personnelle, intime, à caractère initiatique : la mort du Père dans Don

salaire, pendant le rituel au quatrième voyage, nous avons eu comme une révélation en lisant sur l’une des cartouches, le nom de PYTHAGORE parmi les grands initiés que sont : MOISE JESUS MAHOMET et SOCRATE. Mathématicien Grec, PYTHAGORE : fut avant tout un initié de premier plan, un des maitres spirituels vénéré par la Franc-maçonnerie qui célèbre sa mémoire. Tout d’abord qu’est - ce qu’un « initié ». Selon le dictionnaire maçonnique, un Initié est celui qui, ayant reçu une initiation

Réflexion maçonnique sur la mort. Tout maçon est confronté à la mort dès son entrée en maçonnerie. Son premier souvenir est sans nul doute le passage dans le Cabinet de réflexion. La mort y est présente : la pénombre, un crâne, un tibia, l’inscription VITRIOL qui a marqué le chimiste que je suis. Nous avons même été invité à rédiger un testament. Cet exercice d’écriture, mais surtout d’introspection, nous offre la possibilité de faire le point sur notre vie d’avant et à nous

séjour forcément matériel sur terre. On ne peut dès lors qu’espérer que cette étape précédant la « récompense initiatique » ait véritablement amorcé notre quête du secret maçonnique. Lorsque nous frappons à la porte du Temple pour venir tailler notre pierre brute et la transformer en un cube parfait, lorsque nous venons commencer notre voyage initiatique, nos yeux nous sont bandés et nous sommes conduits au Cabinet de Réflexion. Cette descente vers la mort du vieil homme est le

« Libre et de Bonnes Mœurs » Vénérable Maître, Bien Aimés Frères, « Libre et de Bonnes Mœurs », c’est le thème qui a été soumis à ma réflexion pour faire l’objet de la toute première que je réaliserai dans ma carrière maçonnique. Banal apriori ! A notre époque qui ne se considère – t- il pas comme une personne « libre et de bonnes mœurs » au point de se sentir outragé si on lui disait le contraire ? Liberté et bonnes mœurs sont aujourd’hui deux concepts si galvaudés qu’ils sont devenus d’une banalité

Ma.Ru. La musique maçonnique. Il est presque banal de constater que, partout et de tous temps, l'homme a accompagné de musique toutes celles de ses activités qui sortent de l'ordinaire quotidien. Que ce soit pour les festivités de la famille ou de la tribu, lors des rituels cosmiques comme les fêtes des saisons, que ce soit aussi pour la commémoration des morts, les humains de toutes civilisations ont reconnu à la musique ses facultés incantatoires et de mise en condition. Si le tam-tam des primitifs