Vraisemblable Théâtre

l'intrigue de l’œuvre. -des didascalies nombreuses ex :l.2 « FIGGINS (vieux et atrabilaire) :» -l.49 « (bégayant d'émotion) » etc. → jeux de gestes, qui contribue également à dresser un portrait des personnages et qui met en avant les artifices du théâtre et ses conventions absurdes (comme les apartés ou les monologues) -l.14 « FIGGINS (fourrageant dans sa trousse) :» -l.18 « Déshabillez-vous. » -l.46 « (reculant il renverse une chaise) » -l.105 « (Médecin et policier échangent un regard et considèrent

l’esprit de jeu et l’apparente gaieté de l’atmosphère se disloquent à la fin, et laisse découvrir des personnages contraints et miséreux dans un monde bien en crise. La pièce est à tendance réaliste. C’est un théâtre de la vie qui est exposé, le contexte est véridique, l’histoire vraisemblable, et le temps suit le « réel » ,il n’y a pas d’ellipses et la pièce est continue, une histoire qui pourrait se dérouler en vrai en sommes. Mais de nombreux éléments apparaissent néanmoins comme loufoques et gênant

Heinrich von Kleist Sur le théâtre de marionnettes Passant l’hiver de 1801 à M…, j’y rencontrai un soir, dans un jardin public, Monsieur C…, engagé depuis peu comme premier danseur à l’Opéra de la ville, ou il connaissait un vif succès auprès du public. Je lui dis mon étonnement de l’avoir remarqué plusieurs fois déjà au théâtre de marionnettes dressé sur le marché pour divertir la foule par de petits drames burlesques entrecoupés de chants et de danses. Il m’assura que la pantomime de ces poupées

comédien fait passer ainsi d’une relation duelle de cofabrication du personnage à une relation « triangulaire », qui selon Robert Abirached constituerait le propre du théâtre : « Le théâtre se définit par la relation triangulaire qu’il met en œuvre entre le personnage, l’acteur et le spectateur » (La crise du personnage dans le théâtre moderne, 1994). Les comédiens apportent la part manquante du personnage, tout en faisant varier sa figure : « Tartuffe n’est ni grand, ni petit, ni beau, ni laid […] :

Bacchantes d’Euripide à la Comédie française, Le Sang des Atrides, d’après L’Orestie d’Eschyle, au Théâtre de la Bastille, Ajax de Sophocle au Théâtre du Granit de Belfort, Electre de Sophocle au Théâtre Sorano de Toulouse, Hécube, d'après Euripide, au Théâtre Gyptis de Marseille, Médée de Sénèque au Théâtre Rutebeuf de Clichy, et une variation contemporaine, Médée-Matériau d’Heiner Müller, au Théâtre des Amandiers de Nanterre. Qu’est-ce qui fonde une tragédie et la rend intemporelle ? Qu’est-ce qui

Beckett p. 3/6 - métathéâtralité explicite (= théâtre dans le théâtre) : "monologue-numéro" de Pozzo (G, 48-49) ou tentative avortée de chant de la part de Willie, transformée en spectacle par la réaction de Winnie : « (Elle bat des mains) Bis,Willie, je t'en supplie ! »,(BJ, p. 47) - métathéâtralité par syllepse, lorsque les répliques prennent un double sens (surtout dans G, 14, 23, 44, 50, 94, 96, 100, 112, 113…) - métathéâtralité réflexive (théâtre s'autodésignant comme tel) quand Winnie évoque

de la pièce. L’obstacle peut être extérieur ou intérieur au personnage. * Les péripéties : coups de théâtre, modifient l’action. * Le dénouement : est généralement heureux pour la comédie. Il est malheureux, souvent sanglant dans la tragédie, même si, d’après Racine, ce n’est pas « une nécessité qu’il y ait du sang et des morts ». La division en actes et en scènes : Dans le théâtre classique et romantique, l’action se divise en trois ou cinq actes délimitées par les entractes. Ils sont

fait la connaissance de James Joyce.  Après 1945, il commence à traduire ses ouvrages antérieurs – et notamment Murphy – en français, et à écrire des poèmes et des nouvelles dans cette langue. En 1953, En Attendant Godot est représenté à Paris au Théâtre de Babylone, dans une mise en scène de Roger Blin. Cette pièce connaît immédiatement un immense succès et signale le début de la carrière théâtrale de Beckett. C’est également grâce à ses pièces que Beckett acquiert une réputation croissante qui conduit

.................................................................................................................................................... 1  I.  Le théâtre, lieu politique............................................................................................................................................. 2  1. Le théâtre selon Sartre ............................................................................................................................................... 2 

Séance 6 Offrir sa vie en sacrifice Obj : Lecture analytique Support : Acte 5 scène 4 (v.2215-à la fin) Séquence 3 Ruy Blas Element d'introduction: Pièce de théatre la plus célèbre de Victor Hugo, pleine d e suspens et rebondissement. Nombreux thème amour, pouvoir, trahison et l'héroïsme. Mise en scène pour la première fois en 1838, drame romantique. Les deux personnages principaux: Ruy Blas et Don Salluste. Cette pièce parle de la vengeance de Don Salluste suite à sa disgrâce. Notre extrait