Vue Champ Lexical

|Interprétation | |ou procédés d’écriture | | | |Champs lexicaux |« verdure » (v.1), « rivière » (v.1), « montagne » (v.3), «|États opposés | |Nature |rayons » (v.4), « val » (v.4), « cresson » (v.6)

14 avril 1802 à Paris (composé en Angleterre). Courant, genre et forme littéraires : Courant du Romantisme de 1re génération (aristocratique et personnelle) avec un genre narratif et de forme autobiographique. Liens avec le contexte : D'un point de vue politique nous sommes dans une période postrévolutionnaire, qui amène un exil des aristocrates de France pour Angleterre (révolution Française de 1789). Sujet posé : Démontrer la souffrance du héros, son lien privilégié avec la nature environnante

amour pour Cibot». c)En troisiéme sous pari, on va se poser deux questions : elle passe pour un modèle pour les voisins ? Ou pour les peintres ? Le narrateur nous renseignent sur le portrait physique de son personnage, pour cela il utilise le champ lexical de la beauté: «La beauté des femmes du peuple dure peu», «les traits durcis», «s'infiltrent dans le teint», «ne mûrit plus vite». 2 Des effets de distortion : Le narrateur nous parle ensuite de ses agissements, des sest tenues a) Le teint

qui est insensé et expliquer pourquoi il est réalisé. Je dois citer le souhait du personnage qui est décris dans le texte. (Champs lexical insensé) et expliquer comment a-t-il fait pour le réaliser. 2) Quelle personnalité a le personnage. Montrer en quoi l’auteur insiste sur celle-ci en relevant le chant lexical associé à sa personnalité. 3) En m’appuyant du point de vue et du lexique utilisés, et en m’aidant du premier paragraphe, comment l’auteur si prend t-il pour nous faire partager les

l'éteindre » , «  Les ombres que tu crées n'ont pas droit à la nuit ». Il veut lui faire comprendre que la passion qui le submerge est trop forte, qu'il ne peut résister. Il évoque le champ lexical de la nature: « pluie des vallées », « le ciel de terre », « les oiseaux » et « des bois et des ruisseaux ». Grâce à ce champ lexical il met en place implicitement un cadre romantique. La troisième oeuvre de Paul Eluard, « Nous avons fait la nuit », écrit en 1936 qui provient du receuil Les yeux fertile est

opposition 1) Un monde fantastique * Champ lexical du fantastique « sabbat » l.42 : référence à Faust sur le Brocken, scène de sorcières « comme par magie » l.55 « merveilles » l.25 et leurs description, mise en scène (utilisation du passé simple l.33 « s’illuminèrent » l.35 « s’agitèrent ») * Personnification des « merveilles » « les paupières des personnages représentés » l.37 « frémir » l.39 2) Un homme entre la vie et la mort * Champ lexical de la mort « mourir » l.29 ; « silence »

« Ô douleur ! ô douleur ! ». Cette répétition et cette exclamation excessive montre le désespoir que vie le poète. Finalement, dans la dernière strophe, le poète utilise plusieurs mots qui évoquent violence tels que mange, ronge et le sang. Ce champ lexical insiste sur l’image péjorative du Temps. « L’IDÉAL » 1. Résumé : Le poète énumère des éléments que normalement les gens aimeraient, mais qui ne le satisfait pas. Plus tard, on apprend que ces éléments réfèrent une femme. Le poète sait qu’il

Le champ lexical du corps en détailles est présent dans le texte avec les mots « sexe », « cou », « hanche droite », « bras », « taille », « gorge », « cuisses », « genoux écartés » et « reins ». Le narrateur nous décrit un miroir, « regardant avec attention dans la glace », permettant à Nana de se contempler ce qui suggère le réalisme d’une fille qui se fascine au regard de ses caractéristiques de développements du corps comme une jeune fille. Cette idée est approfondi avec le champ lexical de la

Seconde Etude de texte Page 139 La narration – le point de vue – la description Extrait du roman Les Misérables (1862) de Victor Hugo 1. Quel lieu est décrit dans ce passage ? A quel lieu mythique fait-il référence ? Le lieu décrit est un jardin que la main de l’homme a cessé d’entretenir, donc de corriger, de contraindre, comme cela est indiqué dans le premier paragraphe dans les expressions « décloués par le temps », « pourrissant »

le petit malade » (l.2) « petit corps » (l.5) « frêle carcasse » (l.22) +C’est une victime tragique : -champ lexical de la mort « mourir » (l10) « agonie » (l.18 ) « mort » (l.27) ou encore « empoisonnée » (l.26) qui révèle une idée de tragique puisque la mort causée par un poison est bien souvent inévitable -d’autre part le malade éprouve de la souffrance, comme le montre le champ lexical de la souffrance « souffrances » (l.12) « la douleur »(l.13), « mordu à l’estomac » (.19) « pliait » (l.19)