Vue Champ Lexical

Par la suite : · Nous pouvons voir un champ lexical de la vue : « regard », « voyons », « voir », « verrait ». Ø Ceci a pour effet de mettre en valeur le regard que le poète doit avoir sur ce qu'il doit surveiller. · De plus nous pouvons observer un autre champ lexical, celui de la lumière : « éclairé », « brillez », « lueurs », « lampe », « feu ». Ø Il évoque directement le sens de la vue. · Avec ceci, nous pouvons remarquer un champ lexical opposé à celui de la lumière, celui de l'obscurité

dualité un peu articielle ? 0.1 Jérôme, un personnage ambigu Un être humain en errance   Jérôme n'en sait rien  ne ...rien : locution négative qui ouvre sur une faiblesse du personnage : l'ignorance   regrette, si, peut-être → champ lexical de l'incertitude et du regret → doute et re- grette son parcours dans la vie + énumération de métiers impossibles :médecin, historien, sociologue...  `attente, attendre → répétition, ne sait pas où avancer  lui a joué

sentiments. I. Du lyrisme au pathétique. Des le début du sonnet,on observe une hyperbole : ''cent et cent fois'' (vers 1) On observe ensuite le champ lexical de l'amour :''cœur''V2 , ''aimer'' V10 , On remarque ensuite la présence des 5 sens : la vue : ''de beaux yeux''=> mise en valeur de la vue avec ''beau'' , ''Visage'' ; ''se peindre'' La vue est ici source d'amour mais également d'inquiétude. gustatif, v3 marqué péjorativement avec ''amertume'' renforcé avec l'adjectif ''extrême''

observation par la vue → champ lexical de la vue « contempler » (l.1), « regarder » (l.2), paraître (l.3), s'étonner (l.5). L'inquiétude apparaît avec « s'étonner », l'univers est donné en spectacle = mise en scène. Image de la grandeur donnée par la structure de la phrase (l.2) qui s'étend sur 5 lignes = graduation croissante qui crée un malaise, la perspective est infinie. Pléonasme avec « éclatante lumière » qui crée un effet d'éblouissement. l.6, le « Mais » va opposer la vue à l'imagination

l'homme animalité = champ lexical des animaux : chimpanzé mécanisation = homme machine, travail à la chaine abrutissement physique et moral hiérarchisation (capitalisme → monde machine à faire de l'argent) texte narratif et descriptif → temps : imparfait et passé composé registres : 1) pathétique 2) polémique 3) tragique (1) champ lexical de la déshumanisation, comparaison à un laboratoire, images des hommes mis a nus, champs lexical de la pluie (2) point de vue idéologique, dénoncé

gens du voyages : les saltimbanques, qui font des sauts c'est-à-dire, acrobates les baladins, ceux qui avancent c'est-à-dire, les nomades. Le poème commence et se termine par le terme du mouvement. I - Les nomades associés au voyage 1) Le champ lexical du mouvement opposé au non mouvement Tous les verbes, les noms et prépositions. Le verbe s'éloigner est utilisé de manière décalée, pas avec la bonne préposition car il n'y a pas de point d'origine. Non mouvement représenté par les lieux "villages"

victime de ses sens. Il met en valeur son point de vue à travers différents procédés destinés à frapper l'esprit du lecteur. I - Une vision négative de l'homme. A. L'homme est victime de ses sens. - Important champ lexical de la vue et de l'ouïe {associé à des situations concrètes (exemple du philosophe, de la poutre entre deux tours...} - Montaigne montre les conséquences des sens sur l'homme aussi bien mentalement (champ lexical de la peur) que physiquement (tremblement...) ---->

à analyser l’accommodation de l’homme. Tout d’abord, le terme « d’équalité et correspondance » paraît surprenant, puisqu’il laisse entrevoir le point de vue de Montaigne, et surtout le fait qu’il pense que l’homme n’est pas supérieur à la bête mais lui est ‘’équal’’. D’un autre coté et nous devinons que le point de vue ironique prend place, lorsque lors de la présentation, il décide d’aller de « […] nous aux bêtes.. » c'est-à-dire que de manière générale, cela a une connotation très

12. Souveraine qui contrôle tout même le destin, représenté allégoriquement comme un chien qui suit sa maîtresse (vers 10). Argument 2 : le poète utilise le lexique de l’amour pour évoquer la beauté :  Le rôle du regard évoqué plus haut  Champ lexical de l’amour : « baisers, bouche, charmé, charmant, amoureusement, ébloui, amoureux, j’aime ». Argument 3 : La notion abstraite devient donc une femme aimée du poète.  Le poète en fait son « unique reine » vers 27 : adjectif « unique » qui marque

Bélise utilise le champ lexical de la discrétion aux vers 284 et 285 avec des mots comme "secrètes" ou encore "muets" qui nous permettent de déduire que les codes de la préciosité engendrent souvent des quiproquos. On retrouve ici le champ lexical de la transparence : "pur", "aveu" ou encore "âme". L'emploi de ce champ lexical met en exergue une pseudo-transparence dans le langage précieux. Cette hypocrisie déguisée apporte une touche comique à l'extrait. Le champ lexical de la transparence