Vue Champ Lexical

ville immense et s’appuie sur ses bâtiments et son organisation. Pour lui, NY est la ville de l’immensité et de la grandeur par excellence. Pour le montrer, il va utiliser différentes figures de style ainsi qu’un champ lexical adapté. On constate tout d’abord qu’il utilise le champ lexical de l’immensité avec de nombreux adjectifs tels que « ensembles massifs », « grandes perspectives », « grands rails » Il décrit NY à l’aide de comparaisons et de métaphores, par exemple « comme les grandes plaines

s’échappait d’elle une odeur tiède, une odeur de linge blanc et de chair fraîchement lavée", "un air pénétrant et âcre". - au toucher : "au premier baiser", "elle passait des bras débiles de Camille dans les bras vigoureux de Laurent". - à la vue : avec le champ lexical de la lumière : "lueur blanche", "lumières ardentes", "elle rayonnait". 2 - La relation entre Thérèse et Laurent On peut remarquer que Zola a pris le parti d’exclure tout romantisme. En effet, pour lui, les émotions, les pensées dépendent

être un : Objet ( table – crayon…….) Lieu ( école- jardin ………..) Activité ( travail – sport ….) Percéption ( vue- odorat …) Sensation (chaleur – froid .) Sentiment ( joie- tristesse..) Idée ( tolérance – respect..) E X E R C I C E D’ A P P L I C A T I O N 1 - Observez bien les séries suivantes et dites à quel champ lexical appartient chacune d’elles ! Les séries Champ lexical Votre réponse réponses Scène- drame- coulisses- rôle – décor – jouer – actrice- souffleur Le théâtre Chapitre

thème d’isolement qui se trouve dans le poème « Cage d’oiseau » dans Poésies complètes d’Hector de Saint-Denys Garneau. Nous nous intéressons à ce thème en analysant le symbolisme de la métaphore le long du poème, les champs lexicaux de l’enfermement et du malheur et le point de vue du poète. En regardant en détail ces trois aspects qui se trouvent dans le poème, on va conclure que ce poème est une réflexion de la souffrance interne du poète. Ce poème-ci se compose d'une grande métaphore, au premier

I. Une description d’un lieu : * Un site en bordure de mer * Champ lexical du littoral : « la mer » (l.3) « en pleine mer » (l.38) « île » (l.2) «le port » (l.35) et la métonymie « quelques voiles » (l.36)   * Situation géographique du lieu : « l’île » (l.2) « la Méditerranée » (l.9 et 26) « espagnole » (l.16 et 25) « campaniles » (l.23) « palmiers » (l.38) ile située au beau milieu de la Méditerranée * Un monastère * Terme qui renvoie au monastère « ce monastère »

découlent de l’usage de l’alexandrin et de la parataxe. ( Le premier vers met également en place un champ lexical de la « luminosité ». Cf. « rayons » et « lumières » (prolongement au vers 5 « ténèbres premières. D’où l’opposition « lumière pour le commun des mortels/obscurité pour les aveugles). ( Au vers 2, le pathétique passe par l’hyperbole « vingt mille ans ». ( Il semble que, sans l’usage de la vue, le temps s’étire à l’infini. Le supplice que vit l’aveugle est long ; longueur qui est aussi marquée

symbolique Si la nature est sacrée, elle est également énigmatique puisque qu'on arrive pas à saisir son sens facilement. Nous sommes, par exemple, obligés de décryptés cette nature qui s’exprime à travers «des forêts de symboles».On remarque ainsi un champ lexical de la confusion dans les deux premiers quatrains par les citations suivantes: «confuses», «se confondent», «ténébreuse et profonde» et «nuit». Le «on», qui se trouve dans le deuxième quatrain avec «longs», «sons», «confondent», «profonde» et «répondent»

ficelle » était sa dernière phrase. Les champs lexicaux Dans cette nouvelle « la ficelle » on trouve beaucoup de champs lexicaux, parmi lesquelles :  -Le champ lexical de lieu : les routes ; le marché ; Goderville… -Le champ lexical de temps : midi ; ce matin ; entre neuf heures et dix heures ; la nuit ; le lendemain … -Le champ lexical de l’humain : paysan ; femmes ; hommes ; humaine… -Le champ lexical des animaux : bête ; vache ; poule … Le point de vue de l’auteur La focalisation zéro 

celle de sa famille. Elle est complètement dégoûté à la vue d'elle-même. Elle se sent comme un animal de zoo. Dans cette extrait nous pouvons voire qu’Ourika est dans un état d’extreme solitude qui vient de la conscience de sa différence et qu’elle est très confus, agitée, et malheureux. Duras utilise plusieurs champs lexicaux pour décrire Ourika et sa découverte. Le premier champ lexicale est celle de la solitude extrême. Ce champ lexicale apparaît clairment dans les mots suivant « la perte de

 L'originalité du poème réside dans l'utilisation du champ lexical du bien-être et de la sérénité pour évoquer la mort. En effet, dans le premier quatrain, le narrateur décrit une nature chaleureuse, voire idyllique et dans le second il dépeint un soldat qui y dort, tout en continuant à décrire la beauté de la nature et les sensations que le lecteur pourrait ressentir s'il s'y trouvait. Le lecteur pourrait presque envier le soldat endormi au sein d'une nature bienveillante et apaisante Ce